Survolant légèrement les affrontements, deadpool vit spiderman interpellé Erik
Ne me dites pas qu’il va le faire ?
Mais on vient de revenir
Finissant sa course par un magnifique salto, genoux au sol le visage tourné vers l’araigné
Il semblerait que si !
Le discours de fin d’évent !
Écoutant attentivement pour ne pas en perdre une miette
Il a de la voix le petit
C’est sur! il est à quoi, une 30aines de mètres et tout le monde l’entend. le discours est pas mal pour un bleu, même si ça fait un peu rediff. un peu comme un dimanche aprem sur france télévision.
Wade finit par regarder autour de lui pour voir les rescapés. ayant loupé tout le combat. Voyant le soldat de l’hiver revenir à la charge.
Bucky! calme tes ardeur t’as pas assez de swag pour finir aussi chromé qu’un enjoliveur de fan de tuning !
Avant d'être interrompu par la reprise de Barton.
Falcon! le mec fait de la redite de redites ? AH AH AH ! Déja qu'on est sur du pompage de notoriété de captain USA, mais là ça devient ridicule !
Se tournant vers Hawkeys
En parlant de ridicule, C’est cool que le symbiote qui s'était emparé de ton style capillaire ait décidé de rester sur un quelque chose de plus … conventionnel.
Marchant vers des décombres, wade souleva deux trois blocs de pierres, finissant par mettre la main sur les reste du cadavre qui l’avait mené ici, passant son katana le long du cou dans des allez-retours sanglant, pendant plus de rouge encore qu’il n’y en avait déjà sur la place.
Je récupère juste mes affaires et je vous laisse. Eh mer.. c’est émoussé !
Entendant Magneto rappeler ces troupes,Wade laissa tomber ces épaules
Je veux bien que ça soit plié, mais fait un effort
C’est un cliffhanger, Wade !
Ohhhh!
Finissant par récupérer la tête, Wade commença à se diriger vers un camion de pompier, certain qu’il pourrait jouer avec la sirène.
Pour dire la vérité, je n'étais pas sûr de mon coup. Je faisais face à un homme qui n'a pas l'air de rigoler. Monsieur Barton avait les yeux écarquillés en me voyant retirer mon masque. Je ne pouvais pas lui en vouloir d'être surpris, après tout je risquais de dévoiler mon identité au monde entier alors que je m'étais promis de protéger mon anonymat pour encore plus protéger les gens que j'aime. M.J, tante May et Happy en tête de liste. Cependant, il fallait que je tente le tout pour le tout face au chef des mutants dissident. Celui-ci félicite ses hommes et reprend certains réfractaire à ses décisions. Le maitre du magnétisme annonce alors qu'il voulait simplement tester ses forces et tester les Avengers. Qu'elle égoïsme de sa part ! Il était prêt à mettre des vies en jeu pour tester sa force de frappe. Je serre alors le poing devant ses paroles. Je pensais au début avoir affaire à une personne qui avait un code d'honneur et un sens éthique. Encore une fois, Peter Parker, tu es bien naïf.
« Oh Spiderman a enlevé son masque ! C’est le moment, zoom sur son visage ! »
« Je ne peux pas ! Le mec qui lévite dans les airs m’empêche d’avoir quoi que ce soit. »
Ce type a beau être égocentrique il a raison sur un point. Jamais nous ne nous étions préparés à affronter plusieurs adversaires. D'abord, Wanda ensuite, la louve géante et pour finir une escouade de mutant terroriste. Depuis la vague grandissante des mutants aux États-Unis nous pensions que nous avions encore à faire face à l'ancien monde, combattre des ennemis comme le vautour ou Mysterio était presque de l'histoire ancienne comparé à ce qu'il m'attend dans l'avenir. C'est malheureux à dire, mais nous nous somme préparer à affronter simplement la sorcière sombre et non d'autres antagonistes qui pourraient s'avérer tout aussi dangereux. Malgré les mauvaises intentions de ce mutant en face de moi il fallait avouer qu'il nous avait offert un retour à la réalité et un apprentissage qui était non négligeable. Décidant de rassembler une nouvelle fois ses troupes, le maitre des mauvais mutants décide de s'en allez je ne sais où. En tout cas, il y a de fortes chances que nous le recroisions à nouveau. Au moment où il décide de s'en allez, je remets mon masque au dernier moment.
« Ça y est ! L’autre fou furieux est parti, vas-y zoom sur la tête de Spider… Oh non ! »
« Je crois bien qu’on a loupé notre chance… »
Je ne le savais pas encore, mais il semblerait que part un énorme coup de chance, mon anonymat soit encore resté intact, mais pour combien de temps ? Petit à petit, les choses commencent à se tasser et je profite de fixer une autre toile pour m'en aller un petit peu plus loin des ravages que cette bataille avait causés. J'avais le cœur serré et je m'en voulais profondément des personnes que je n'avais pas pu sauver aujourd'hui. Les mots du professeur me touchaient au plus profond de mon être et je sentais les larmes commencer à monter. Je m'assois alors pour reprendre mes émotions sur le bord d'un immeuble. Je ne sais pas comment monsieur Stark supportait ce poids des responsabilités, parfois c'est tellement dur que j'ai seulement envie de tout lâcher et de vivre une vie normale de lycéen. Madame Potts va sans aucun doute m'en vouloir, mais je n'ai pas l'esprit à aller manger au restaurant avec elle, cette issue de cette bataille me laisse un terrible gout amer dans la bouche.
« Monsieur Stark… Je crois qu’on a besoin de vous plus que jamais. Je n’ai pas vos épaules pour assumer tout ça. »
Je devais, comme ce pauvre professeur, perdre l'esprit. Voilà que désormais, je me mettais à parler tout seul. Pourtant, à la fin de mon propos je sens une tape amicale sur mon épaule. Pendant quelques instants je sentais une présence presque paternelle et familière derrière-moi, je me retourne et je ne vois rien ni personne. Quel sentiment étrange, est-ce que quelqu'un là-haut serait en train de m'observer ?
Sans l'intervention de Falcon, les affrontements auraient pu durer encore un moment, et pour des conneries en plus. Les Avengers ne s'étaient jamais montrés anti-mutants, on en avait même dans notre équipe. A qui jouait cet abruti de Lehnsherr, franchement, à quoi ça rimait tout ça ? J'eus un léger sourire en coin en entendant le petit discours de Wilson. Simple, concis, efficace. Il commençait à bien endosser son nouveau rôle de Captain America.
La réponse de Lehnsherr me fit à nouveau bouillir. Il voulait "tester ses forces" ? C'était quoi pour lui, un jeu ? Des tas de gens étaient morts aujourd'hui, autour de nous ce n'était que ruine, désolation et cadavres. Et monsieur voulait faire mumuse juste pour voir ce qu'on valait ? Mais on n'avait rien à lui prouver à cette enflure prétentieuse ! Ses insultes et son ultime provocation avec la statue me firent perdre patience, et comme son sbire baveux m'avait renvoyé mon arc, je le pris en main à nouveau, décidé à donner une bonne leçon à cet imbécile.
Je sentis alors une main froide à la poigne puissante se poser sur mon bras. Tournant la tête, je vis Bucky, la mine sombre, qui me fit simplement non de la tête. Je lui adressai un regard furieux, mais ma colère n'était pas dirigée contre lui. Je baissai les armes, dents et poings serrés. Lehnsherr ne perdait rien pour attendre…
« Okay les gars, on rentre au bercail. »
Comme je faisais de gros efforts pour contrôler mes pulsions de rage, je n'entendis même pas la remarque du bouffon sanglant au costume noir et rouge. Heureusement, en un sens. Je me fermai comme une huître et restai muet durant tout le trajet du retour. On allait avoir du boulot. On avait peut-être gagné, en quelque sorte, mais cette victoire avait un goût amer…
Bien que Jean avait été l'unique voix des dénigrantes insultes portées à son encontre, c'est étonnement sur Soraya que le Blob avait décidé de charger, lui fonçant dessus avec une force aussi prodigieuse que dévastatrice, si bien que la malheureuse avait été projetée quelques mètres plus loin. Immobile, comme paralysée par ce qu'elle venait de voir, Jean l'avait suivie du regard tout en fronçant durement ses sourcils : sentant qu'une colère aussi brûlante que la lave d'un volcan commençait à bouillir dans ses veines, elle avait pincé ses lèvres tout en décalant son menton de quelques degrés pour prendre au piège sa cible : de multiples morceaux de bétons, lourds de plusieurs tonnes, étaient venus s'abattre tout autour du Blob pour l'interrompre dans sa course effrénée. Si sa force tout à fait colossale lui permettait de déjouer cette attaque sans aucune difficulté, Jean avait crispé ses doigts vers l'intérieur de sa propre main pour guider les blocs de béton à venir frapper le Colosse afin de l'étourdir et le mettre hors d'état de nuire pour un moment... Un moment écourté par l'attaque inattendu d'un ennemi qui était resté jusqu'ici invisible.
Des flammes étant tout à coup venues lécher la peau fine de son poignet, Jean avait poussé un hurlement déchirant tout en courbant son dos, appliquant instinctivement son propre bras contre son buste tout en grimaçant de douleur, la morsure du feu ayant laissé une lésion irritée sur celui-ci. Elle avait l'impression que des dents imperceptibles étaient en train de dévorer sa peau, mastiquant son épiderme arraché pour dévoiler des plaies rougeâtres, dont la surface était sèche comme une corrosion acerbe. Reprenant ses esprits au bout de quelques secondes, Jean avait lancé un regard alarmé vers Soraya avant de tourner son visage vers le responsable de sa blessure : un jeune homme qui devait avoir son âge, et dont les cheveux blonds étaient presque couverts sous la poussière et la cendre. S'il semblait se réjouir de son attaque furibonde, il perdit bien rapidement son rictus lorsqu'elle le fit voltiger à son tour de l'autre côté, l'amenant à s'écraser durement contre un immeuble dont la façade avait déjà été accidentée. Profitant d'être débarrassée de l'adolescent pyromane, Jean s'était précipitée auprès de Soraya pour l'aider à se relever, sans faire attention à la blessure de son poignet brûlé.
« Soraya ! Est-ce que ça va ? Viens, il faut partir d'ici... »
Si elle nourrissait à présent une colère vengeresse envers Erik et ses sbires, sa priorité était avant tout son amie mal en point ; leur lançant un regard emplit de haine, elle avait glissé son bras autour des épaules de la brune pour l'accompagner à marcher, s'éloignant en sa compagnie pour se mettre à l'abri du combat, quittant les lieux aussi rapidement que possible.
THE FIRE FINDS A HOME IN ME ᭸ clipped wings, I was a broken thing, had a voice but I could not sing. there's a scream inside that we are frightened,we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we are frightened, I’ll shout it out like a bird set free.
Le jour des hérosEvent soraya n'eu pas vraiment le temps de savopurer d'aventage sa victoire, car la boule de gras titanesque sur deux pattes fonca vers elle. Avant d'avoir pu réagir, la jeune femme se sentit pendant un instant comme aspirée par la chaire flasque avant de se retrouve progetée a plusuirs mètres, en poussant un cri.
A présent au sol, un peu sonné, elle tenta de se relever péniblement, couverte d'écorchures du coté ou elle était tombée au sol, sur le bras et l'épaule, mais aussi sur la jambe, son Jean ayant été déchiré également lors de sa chute. Mais au moment de pose son pieds au sol, elle grimaca et laissa échapper un petit gemissement de douleur avant de s'effondrer a nouveau en comprenant que sa cheville enflée ne pouvait plus la porter
"Merde.... TAAARRRREEEEEE!!!!"
Hurla-elle a l'adresse de Fred, tendit que le petit groupe improvisé de mutant se formait. bien que Soraya, toujours au sol faisait de son mieux pour aider ses camarades d'infortune grâce a son bouclier invisible, il était évident qu'elle n'était pas faite pour le combat et ressentit un certain soulagement lorsque celui ci prit fin. Laissant jean l'aider a se relever, étant donné quelle ne pouvait pas le faire seule, elle laissa sa nouvelle amie l'entrainer hors du champ de bataille
"Je crois que j'ai une cheville en vrac, mais ca va. Et toi ?"
C'est sur cet échange que la bataille prit fin, alors que chaque groupe quittaient la zone de combat avec leurs blessés respectifs.
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