Elle les avait trouvés. Sif était soulagée mais ne baissait pas sa garde. Honnêtement, la seule raison pour laquelle elle ne tranchait pas, sans autre forme de procès, la nuque de son beau-père [BOUARK] était la présence de Luhan. Dans la tête du fils de Shufen, Vladimir Ranevskaia était encore son gentil "Diédouchka". Sif ne souhaitait pas être la cause du traumatisme de son neveu. Histoire de contrôler ses nerfs, elle se contenta de le tenir en respect de la pointe de sa lame tout en, discrètement, maintenir le petit hors portée de mains du grand-père.
Shufen surgit du portail invoqué plus tôt. Elle laissa mère et fils se retrouver tandis qu'elle maintenait encore Vladimir loin d'eux. “Shufen, tant que j’y pense… Tu passeras le bonjour à mon fils de ma part ?” Le regard de Sif, dès que son cerveau traita la pique lancée à sa belle-sœur, se fit plus froid. RO PUTAIN! Elle allait le butter là! En écho à sa colère, déjà grande, Shufen prit les devants et, armée d'une lame - Sif reconnu la marque de sa femme, se précipita sur le mafieux.
Evidemment. Cela aurait été trop simple. Vladimir se téléporta. ATTENTION! Sif hurla quand elle cru, l'espace d'un instant, que Shufen allait s'auto-empaller sur son épée. Heureusement, les réflexes des deux femmes permirent d'éviter un drame. A peine le temps de respirer qu'une main empoigna la chevelure ébène de sa belle-sœur. Shufen! Dans le même ton de désespoir, elle entendu Luhan appeler sa mère tandis que cette dernière disparaissait à travers le portail. Pas le temps de niaiser, Sif prit son neveu, qui s'était caché derrière elle, dans ses bras et sans autre mot, sauta dans son portail pour réattérir là où elle avait laissé Hector et le corps du gros balaise.
Elle retrouva une partie du groupe - l'autre étant celle partie à la rescousse d'Ezekiel - qui observait Vladimir tenir en otage Shufen. Luhan, garde ta tête dans mon épaule et bouche-toi les oreilles. C'était peut-être vain mais elle ne voulait pas que le cadet des Ranevskaïa observe cette scène. Un grand-père, qu'il croyait aimant, torturer sa propre famille.
Elle résorba, d'un coup d'épée, son portail.
Bordel, mais quand on croit les galères finies, l'univers - tout entier, s'il vous plait! - semblait leur envoyer un message qui semblait dire "Ha Ha Ha! Nope!"
Vladimir vola la flute fétiche de Shufen - celle-là par laquelle elle contrôlait sa phytokinésie - pour neutraliser certains de leur groupe (Hector, Azael et Emma, ainsi que Thomas qui débarquait en renfort).
Dans le point de de vue de l'autre groupe, la voiture volée par l'autre partie de leur groupe pour emmener Ezekiel et Aurelio en lieu sur, en se la jouant Fast&Furious, pour emmener les blessés du groupe.
Sif ignorait si elle aurait été capable de téléporter un véhicule entier et ses occupants en lieu sur et préféra ne pas prendre de risque, préférant faire confiance au chauffeur qui connaissait la route.
L'important était de neutraliser Vladimir bien à l'abris derrière son bouclier d'onde. Pas facile avec Luhan en mode "koala sur son arbre" avec elle.
Roulette Russe Il étaient a présent sortis de l'entrepôt en flammes, mais pas tirés d'affaire pour autant, puisque le feu s'était propagé a la forêt qui s'étendait a l'arrière. Le dénommé Midas avait raison, il ne fallait pas trainer. Mais avec les deux blessés... d'ailleurs, en voyant que celui qu'elle soutenait n'était pas en mesure d'avancer, ni même de tenir debout d'ailleurs, la dame finit par l'entourer d'un bras pour le hisser par dessus son épaule, faisant passer l'un des bras par dessus sa nuque pour s'équilibrer et le soulever pour avancer. L'exercice n'était peut être pas des plus délicats, mais il lui garantissait une plus grande stabilité et plus de sécurité que si elle l'avait porter a la force des bras. Ainsi, elle pouvait marcher vite en direction de la voiture, abandonnant l'extincteur désormais vide sur les lieux, mais au moment ou elle s'y dirigea, elle vit avec une certaine exaspération le jeune Thomas immobile, visiblement hypnotisé par les flamme...
"je vais finir par croire que finir en gratin dauphinois est ton plus grand fantasme!"
Revenant vers lui, elle voulut le tirer de son bras libre, mais elle entendit ses paroles a ce moment la: “Ils sont là ! Eze, bro, je t’aime. Crève pas maintenant, ok ? Je vais te ramener la tête de ce connard sur un plateau d'argent.” En effet, entre les branches, du moins, celles qui n'étaient pas encore prises dans les flammes, une certaine agitation pouvait être perçue. Après un soupire, Bella Donna s'éloigna du jeune homme, prête a rejoindre le reste du groupe dans la voiture:
"Va les rejoindre si tu veux, mais passe par un endroit ou il y a pas encore le feu. Et pas d'idiotie, comprit?!"
Enfin, ils pouvaient monter dans la voiture. Cain et Ezekiel a l'avant, elle et l'homme criblé de balles a l'arrière, qu'elle hissa avec autant de précaution que possible a ses cotés, tendit que celui ci était toujours inconscient. Une fois les présentations faites, Caïn lui demanda des nouvelles de Aurelio. La dame verifia si celui ci avait toujours un poul et confirma ce fait:
"pour le momentil tient le coup! "
"Pour le moment" mais combien de temps pourrait il encore tenir?
"Restez avec moi comprit? Je vous ait pas sauver pour que vous me claquiez entre les bras. On ramène tout le monde, c'était prévu comme ça."
Dit-elle, espérant ainsi encourager l'homme evanouis contre elle a lutter pour sa survis ️ 2981 12289 0
Résumé:
Bella Donna houspille encore une fois @Thomas V. Anderson, mais elle le laisse finalement aller aider l'autre partie du groupe, respectant ce choix. une fois dans la voiture, elle veille sur @Aurelio Gallo
Elle est sympa finalement, la blonde. Comme si nous étions des potes elle et moi, la voilà qui s’inquiète de mes agissements. T’en fais pas madame, je suis plus résistant que tu sembles le croire ! Bon, ok, j’ai le dos cramé et des fringues en moins (RIP mon T-shirt Nirvana, à jamais dans mon coeur, promis je te rachète dès que j’ai la thune) et peut-être un peu beaucoup de sang sur la gueule. Mais c’est le jeu, ma pauvre Lucette ! C’est la vie quand on décide de se mêler des affaires de la mafia.
“Meeeeeerde !”
C’est tout ce que je sors en voyant débarquer des lianes qui n’ont absolument aucune foutue raison d’être là. Hé mais…c’est le pouvoir de Shufen, ça ! Pourquoi est-ce qu’elle me ferait…wait. Qu’est-ce qui se passe ici ? Pourquoi est-ce que ce type utilise exactement la même magie ?! Oh et puis merde. S’il croit que ça peut arrêter le grand Thomas, il se fourre le doigt dans le cul jusqu’au coude ! L’oeil, Thomas. L’oeil. Pas le cul. BREF.
Je tire sur les lianes qui entravent mes poignets, et les porte à mon visage. Mes dents plongent dedans, crocs acérés et indestructibles qui déchirent sans mal la végétation mouvante. Bon…c’est plus simple que ce que je pensais, mais ça reste quand même contraignant. Une liane arrachée, voilà que d’autres la remplacent. Si bien que même si j’approche progressivement du groupe en question, je suis outrageusement lent. Mais ma voix par contre, elle n’est clairement pas entravée.
“Eh, ducon ! Hnn…t’es déjà mort, kapiche ?! Alors juste…crève…et…oh et puis MERDE !”
Je commence à sérieusement fatiguer, et ces trucs qui me retiennent encore et encore n’arrangent pas les choses. Dans un cri de rage, je me dégage une bonne fois pour toute des lianes et me précipite vers la zone de combat, le regard furieux et le visage encore taché du sang de mes malheureuses victimes. Un peu plus de poils, et on croirait débarquer un ours des montagnes. Plus de muscles aussi, en fait. Et de griffes. BON OK c’est absolument pas un ours, mais l’intention est là. D’ailleurs, je ne remarque même pas encore qu’une énorme bestiole s’est joint au combat, et ne suis certainement pas en mesure de comprendre qu’il s’agit simplement d’Hector.
« Accrochez-vous, ça risque de secouer. » Effectivement, le risque est confirmé ; cela secoue plus que dans une machine à laver et cela le fait bien évidemment grimacer de déplaisir mais, silencieux pour une fois, il se contente de croiser les bras contre son torse douloureux, sans véritablement comprendre pourquoi ils mettent autant d’efforts à sauver la vie du pouilleux à l’arrière. Qu’ils se soient autant démenés pour le sauver, lui, c’est parfaitement compréhensible, mais Aurelio ? « J’ai faim. » Marmonne-t-il en remontant ses paumes tatouées contre son visage cireux, sans réellement savoir ce qu’il veut manger, ni même si son estomac est prêt à recevoir la moindre nourriture. Parce qu’il a faim mais il a aussi la nausée ; peut-être que son corps a décidé d’être aussi pénible que son esprit, ce soir ? « J’ai soif. » Ne cherchez pas, il parle à la seule personne capable de le comprendre dans l’habitacle : lui-même. Ce n’est donc pas la peine de lui répondre et si jamais quelqu’un le fait, il l’ignore.
Pendant que que Caïn entreprend de discuter avec Bella Donna — qu’il appelle Ruby d’ailleurs mais le russe n’a pas la force pour le reprendre sur ce point, il appuie simplement sa nuque contre le dossier de son fauteuil, guidant l’une de ses mains sur la portière afin de presser le bouton permettant à la vitre de s’abaisser de moitié, laissant le vent frais de ce début de soirée venir chatouiller son visage, si bien qu’il ferme les yeux en soupirant avec complaisance. « L’hôpital le plus proche est à une petite demi-heure d’ici, je peux réduire à dix minutes. Non Ezekiel, ça n’est pas pour toi, promis. » Sans bouger l’orientation de son visage incliné vers l’extérieur, il se contente de relever son pouce en direction de Caïn. « Mais si tu pouvais prendre mon portable pour les appeler, histoire qu’ils se préparent à recevoir notre ami… » Croyant qu’il parle à Ruby, puisqu’il ne se sent pas du tout concerné par le ‘’notre’’ invoqué, le bouclé ne bouge toujours pas, parfaitement immobile et apaisé ; il commencerait presque à s’endormir… « …qui est toujours bel et bien vivant, n’est-ce pas, mademoiselle ? Vous le maintenez, hmm ? » Il comprend que la phrase précédente lui était adressée lorsqu’il sent le téléphone glisser sur ses cuisses, obligeant son menton, et sa nuque, à se redresser pour le saisir entre ses doigts égratignés. « Pour le moment il tient le coup ! » C’est qu’il n’en a pas pris assez, des coups. Pendant que Bella Donna rassure Caïn, Ezekiel prend le téléphone dans sa main droite et, sans quitter le conducteur des yeux, il balance purement et simplement le portable par la fenêtre, sans la moindre trace d’hésitation dans le regard. Après quelques secondes d’une contemplation partagée entre les deux hommes, le plus jeune finit par dire, sans trop de conviction et sans volonté aucune de convaincre qui que ce soit : « Oh. Mince. » Si Caïn et Bella Donna s’énervent, Ezekiel hausse les épaules avec dédain. Si Caïn et Bella Donna ne disent rien, Ezekiel hausse les épaules avec amusement. Si Caïn et Bella Donna le sermonnent, Ezekiel hausse les épaules avec indifférence. Dans tous les cas, vous l’aurez compris, il hausse les épaules.
Et lorsque la voiture arrive en trombe sur le parking de l’hôpital en provoquant un crissement de pneus, le russe attend sagement que le véhicule s’immobilise pour se tourner de nouveau vers Caïn, puisqu’il est le seul à sa portée pour l’instant : « Dans les salles d’attente il y a des machines, tu sais, tu tapes un numéro et ça te donne des trucs à boire et à manger… » Oui, il parle d’un distributeur automatique : il n’a pas le mot dans son lexique pour le moment donc va falloir faire avec. Sans, plutôt. « Je veux à boire et à manger. » La politesse étant restée quelque part dans les bois, il ne tarde pas à reprendre la liste de ses souhaits : « Et je veux rentrer chez moi, aussi. Tu peux appeler un taxi ? » Il lui faut quelques secondes pour se rappeler qu’il a balancé le dit téléphone quelques minutes auparavant, et il cligne donc plusieurs fois des cils sous cette réflexion qui sort de la brume. Si vous lui demandez, de toute façon, il dira que c’est de la faute d’Aurelio. « Ah. » Il presse ses lèvres l’une contre l’autre d’un air à la fois résigné et enfantin, avant de faire un vague geste de la main pour se détourner de son interlocuteur. Puisque Caïn n’est d’aucune aide, il se retourne plutôt vers Bella Donna, appuyant sa main sur la bordure de son fauteuil, prêt à lui demander si elle a son téléphone sur elle mais, tout à coup, il a d’autres priorités. « Il a pourri le cuir de la banquette avec son sang ! » Appuyant son menton sur la surface de sa main posée sur le haut du siège, il soupire par avance en contemplant les dégâts causés par l’italien. « Il va m’emmerder jusqu’au bout, celui-là. » C’est la fine conclusion de cette observation minutieuse et, une fois que celle-ci est achevée, il redresse ses yeux cernés vers Bella Donna, mais la jeune femme est trop occupée à maintenir le presque-mort en vie. « Laissez-tomber, je vais me débrouiller. » Comment ? Il ne le sait pas encore mais ça va venir.
Si du personnel hospitalier se précipite vers la voiture, il ne le voit pas : étant donné que personne n’a la bonté d’âme de l’aider lui, c’est vers la portière qu’il se tourne, entreprenant de l’ouvrir pour quitter le véhicule mais, bien rapidement, ses jambes lui font comprendre qu’elles ne le suivent pas dans ce projet audacieux. Tant pis, se dit-il, il va attendre là, assis de côté sur son siège, la tempe appuyée contre le moelleux de ce dernier, la moue boudeuse, les mains sur ses cuisses, en attendant qu’un taxi passe dans le coin. Au pire, qu'est-ce qui l'empêche de partir avec la voiture ? Ne serait-ce pas l'idée du siècle ?
Ezekiel est Ezekiel. Et Ezekiel veut manger, boire, mais surtout rentrer chez lui. Bisous.
TROUBLE NEVER LOOKED SO DAMN FINE ᭸ I came back and brought the crown with me. I might, just might kick your butt, go run amok then paint my nails. Never learned to raise my hand, was too busy raising hell.
La première sensation qui s’impose, alors qu’elle revient à elle, c’est l’herbe mouillée contre son visage, humidité qui gagne peu à peu son hanfu. Humidité désagréable, mais humidité bienvenue, qui la pousse de plus en plus hors de l’inconscience. La deuxième, plus désagréable encore car elle reconnaît aussitôt sa provenance, est la mélodie en mode mineur qui semble résonner tout autour d’elle. Pour avoir joué de cet instrument toute sa vie, Shufen reconnaîtrait entre mille le son de la flûte de la famille Lin. Combattant la lourde fatigue qui s’est emparée d’elle, la jeune femme force pour ouvrir les yeux. Dans son champ de vision, la forêt, rongée peu à peu par le feu, une créature gigantesque, puissante, qui charge en sa direction. La Ranevskaia par alliance pousse sur ses coudes, puis ses mains, doucement, pour se relever. Elle n’aura pas le temps d’esquiver cette charge… Mais elle n’en aura pas besoin. Discret, le champ de force autour d’eux n’est pour autant pas invisible. Pas tout à fait transparent, une texture familière. Shufen ne comprend pas. Sa flûte, ses champs de force… Le minotaure percute le champ de force, en même temps que les éclairs de sa nièce. La protection cède.
Vladimir fronce les sourcils. Il ne peut que saluer l’inventivité de ses adversaires, même si ce n’est clairement pas sa priorité. Prudemment, il fait quelques pas en arrière, son regard se posant sur sa belle-fille, assise au sol. Il jauge la position de chacun. Hector… le minotaure, près de lui. Emma et Azael, plus loin derrière ce dernier. Sif, avec son petit-fils dans les bras, sur sa gauche. Le cannibale -l’herbivore ?- qui progresse lentement vers eux. Son analyse de la situation est interrompue par une voix féminine, un autre adversaire qu’il n’avait pas vu. A peine retourné, il se retrouve à devoir se téléporter pour esquiver un projectile envoyée par la femme au vocabulaire si fleuri. Mais sans qu’il ne comprenne pourquoi, il s’était téléporté sur la trajectoire : le projectile percute son épaule, assez fort pour la déboîter. Mais aucun râle de douleur ne lui échappe : il ne leur fera pas ce plaisir. En revanche, il a lâché la flûte, qui roule un peu plus loin, récupérée par Shufen qui s’est traînée jusqu’à elle. Un rire force la barrière de ses lèvres, la main sur son épaule blessée.
“Quelle curieuse façon de se battre… Soit.”
Vladimir se téléporte près d’un arbre, utilisé le tronc pour remettre en place son épaule. Shufen combat la sensation de brouillard mental qui pèse sur elle, portant à ses lèvres la flûte, afin de vérifier ce qu’elle craint. Une mélodie tremblante s’élève… mais les ondes restent inchangées. Il n'a pas simplement copier son pouvoir… Elle ne peut plus l’utiliser. Il l’a tout simplement volé. Elle glisse sa flûte dans sa manche et se met debout avec peine, prenant appui sur un arbre. Vladimir fait rouler son épaule pour dissiper un peu la douleur, marchant tranquillement vers eux. La fête vient de commencer.
Le père Ranevskaia sourit et lève la main devant lui. L’arbre, outil pour réparer sa blessure quelques instants plus tôt, s’arrache du sol, s’élevant au-dessus d’eux. A sa suite, deux autres arbres se mettent aussi à voler. La main s’abaisse, et le premier arbre fond sur Hector et Emma. Les deux autres fondent sur Azael et Shufen, qui s’était rapprochée de sa belle-sœur, ainsi que Thomas, qui venait de les rejoindre. Sif est ignorée, pour l’instant ; Vladimir a besoin de son petit-fils vivant, après tout. Vladimir se tourne ensuite vers Black Cat. Un sifflement aigu, des pattes qui foulent le sol. Trois ou quatres coyotes sortent de l’obscurité, se dirigeant droit vers la blonde pour s’en prendre à elle.
Shufen reprend connaissance et parvient difficilement à se mettre en position assise, pendant que le champ de force cède face aux assauts d'Hector et Emma. Vladimir tente d'esquiver le sac-projectile de Felicia, mais on remercie son pouvoir de malchance car il se téléporte dans la trajectoire et le reçoit sur l'épaule, qui se déboîte. Il lâche la flûte, récupérée aussitôt par Shufen.
Tandis que Vladimir remet en place son épaule, Shufen tente en vain d'utiliser son pouvoir. Elle utilise ensuite un arbre pour se relever et se rapprocher d'Azael et Thomas.
Nouvel assaut de Vlad : à l'aide de la télékinésie, il arrache trois arbres du sol et les envoie sur Hector et Emma, ainsi que Thomas, Azael et Shufen. Puis, il appelle un petit groupe de coyotes afin d'attaquer Felicia.
Je viens de m'arrêter, après seulement quelques marches. L'escalier m'appelle, mais quelque chose d'encore plus fort me pousse à stopper l'ascension. Je me retourne, observe le sol terrestre, et j'hésite. Je ne devrais pas, je sais que tant de choses merveilleuses m'attendent en haut. La paix, le repos, la quiétude, la famille, le bonheur... Mais il y a quelqu'un, ici bas, que je ne dois pas abandonner, pas tant qu'elle ne sera pas en sécurité, avec son fils, chez elle. Je me tourne vers ma mère, qui me tiens toujours par la main, et je lui dis, tout simplement : Shufen... Elle me sourit, lâcha ma main et commença à monter l'escalier, seule. Je lui demande : Tout ira bien ? N'est ce pas ? Elle se retourna et me répondit, avec un grand sourire : Dieu seul a la réponse, mio pollo. Retourne auprès d'elle, veille et protège les, elle et son enfant. Quoiqu'il arrive, nous serons fiers de toi... Nous t'attendrons tout le temps qu'il faudra. J'essuie une larme et la regarde partir. Lorsqu'elle eu disparu, je redescends l'escalier en courant et plonge sans hésiter dans l'obscurité de la nuit, seulement éclairée par les flammes.
Lorsque je rouvre les yeux, je ne suis plus face à l'entrepôt. L'horloge sur le mur indique que des heures ont déjà passé. Je me trouve dans une chambre d'hôpital, à en juger par la blancheur des murs, le lit occupé et les bruits de machines qui pourraient donner la migraine à n'importe qui. Le corps qui git sur le lit est branché à de multiples câbles. Je reconnais sans mal un respirateur, ou quelque chose comme ça, je ne suis pas infirmier ou médecin, ainsi que d'autres appareils que je ne reconnais pas. Je sais cependant une chose : ils sont là pour maintenir le corps inerte en vie. Je me penche vers ce dernier. Je reconnais sans mal mon visage, mortellement pâle. Une large plaie propre et soignée barre ma joue, mon torse et mes jambes sont recouverts de bandes, mon intimité est dissimulée sous un drap d'où un autre câble ressort. Ainsi donc, j'ai été sauvé ? Je me penche vers le rapport, attaché au bout du lit et accessible aux médecins. Mes plaies ont été soignées, mais j'ai du être réanimé suite à deux arrêts cardiaques. Un à l'arrivée et l'autre pendant l'opération.
D'après le rapport, mon état est instable, ce qui justifie que je sois placé sous coma artificiel. Voilà pourquoi je peux me voir, allongé dans ce lit, je ne suis pas conscient. Je suis ni vivant ni mort, je suis dans cet état intermédiaire qui peut tout faire basculer en un battement de cœur. Je lâche un soupir. Le temps va être long. J'espère sincèrement que Shufi et son fils vont bien. Quand je serais réveillé, si je me réveille, j'irais supplier Ezekiel de me garder, et je mettrais de côté toute arrogance et tout ego pour le servir sans broncher. Je dois tenir cette promesse que j'ai faite à ma mère, jusqu'à mon dernier souffle, je serais auprès de Shufi, et je veillerais sur elle et son enfant.
Aurelio a été sauvé grâce à Bella, Midas et aux bons soins des médecins et infirmiers. Son état est encore instable, d'où le coma. Au moins, il n'ira pas chercher Ezekiel avant un moment
L’attaque combinée eut raison du bouclier et même, déstabiliser momentanément Vladimir. Ivre de victoires, Hector pensait que c’était le bon moment pour frapper, il comptait mettre ce mutant aux cheveux neiges en pièces, le réduire en bouillit sous ses puissants points pour n’en laisser qu’une masse de chaire et de sang informe et répugnante. Pour cela il chargea, concentrant toute sa colère sur les quelques mètres le séparant de ca cible, se rappelant de tout le mal qu’à commise cette ordure.
Mais aveuglé par sa fureur, il ne fit que plus tard Vladimir contre attaquer. Décidément il était bien résistant et débordait autant d’énergie que ses enfants. Ce dernier ayant esquiver des balles, fit voler des arbres, usant d’une puissance psychique pour les arracher de la terre et les lancer comme de simple javelot sur ceux osant venir à son front.
Le Minotaure vit arriver celui qui lui fonçait droit dessus à la manière d’un train à vive allure. Serait-il assez fort ? On allait le découvrir. Il attrapa l’énorme tronc en plein vol qui le fit tout de même reculer de plusieurs mètres. Le mercenaire luttait contre des forces bien grande. Ses énormes muscles mutants chauffaient fortement, d’imposantes veines apparaissaient tout le long. A travers un grand effort, il parvint à supprimer l’emprise de la puissance de Vlad dessus pour le rejeter plus loin, en direction de Félicia où il voyait quelques créatures sauvages courir vers lui, Hector n’était pas un défenseur de la nature quand même.
En tapant sur le sol pour se dégourdir après ces efforts ayant bien fait chauffer ses muscles, Messner tenta une approche quand il arriva dans le dos de Sif.
-L'AFFRONTER DIRECTEMENT SERA DUR FAUT UNE STRATEGIE !
Il remarqua alors le pauvre petit Luhan, complétement tétanisé et blottit contre l’épaule de l’asgardienne. Le pauvre devait être terrorisé, voir traumatisé par toute cette violence. Hector eut de la compassion pour lui, mais il se disait qu’il était préférable un Luhan vivant malgré les horreurs qu’il pourrait voir. Ceci-dit, l’avoir avec elle devait bien handicapée la guerrière.
-TU PEUX MIEUX L’ATTEINDRE QUE MOI ! CONFIES LE GAMIN JE VAIS LE METTRE EN LIEU SUR !
résumé:
Hector use d'une grande force qui l'épuise pour dévier l'arbre qui lui foncait dessus et le renvoyé sur un des coyotes qui attaquaient @Felicia Hardy . S'approchant de @Sif Ranevskaia il propose que ce serait mieux qu'elle s'approche de Vlad et lui protége Luhan pour le mettre à l'abris
On se bat tous pour quelque chose, surtout pour ce qui nous manque.
code by Laxy dunbar
Emma Ranevskaia Petit Orage / Karma Membre du Devil's Club
Roulette russeQuand il n’y a plus de solution, reste la vengeance.Notre attaque combiné a celle de notre chat noir avait réussis a blesser le vieux mais que pendant un court temps. Il remit son épaule en place et nous attaqua encore en nous lançant des arbres par télékinésie. Par chance j’avais avec moi Hector qui attrapa l’arbre pour le jeter un peu plus loin en direction d’animaux prêt a bondir sur le chat noir. Hector s’apprêtant à l'attaquer voit Sif arriver et lui propose de s’occuper de Luhan pour qu’elle puisse se battre. Presque contente de me battre avec elle, je me concentre sur le vieux qui toujours sourire aux lèvres nous regarde. Tata Shufen et maman ont eux aussi reçu un arbre mais malgré que je m’inquiète je ne peux pas partir les voir , ce serait risqué d’être blesser ou de blesser quelqu’un.
Pensant au couteaux que j’ai sur moi, je les fait léviter autour de moi avant de les envoyer aussi vite que possible sur Vladimir en les touchant avec un des mes éclairs espérant pouvoir le toucher ou au moins le déstabiliser. Le feu continue et si on ne règle pas ça vite il nous touchera bientôt et malheureusement on a pas de manipulateur de feu pour nous aider, en espérant que Vladimir n’en soit pas un.️ 2981 12289 0
Roulette RusseQuand on créer un monstre il ne faut pas s'étonner qu'il nous chasse et qu'il agisse comme tel il a été créer.Les attaques d’Emma, Hector et notre chat de gouttière ont réussi à mettre vladimir a mal mais pas assez longtemps pour pouvoir faire quelque chose pour l’arrêter. Très vite il remet son épaule en place et nous envoie des arbres, Emma est avec le minotaure mais moi et Shufen n'avons personne pour réceptionner cet arbre. Mon armure est résistante mais le poids de l’arbre aura malgré tout raison de moi mais je n’ai pas le temps de peser le pour et le contre. Je me jette sur Shufen pour le pousser et prendre l’arbre à sa place. Il me tape sur le côté et vient s’abattre sur moi. Il m’écrase mais je pousse aussi fort que possible pour essayer de tenir le temps que Thomas puisse essayer de le soulever assez pour que je sorte.
Il appuie sur mon ventre et je pousse sur mes bras mais je ne tiendrais pas longtemps et mon armure non plus. Le plus important reste que Shufen ait esquivé cet arbre et ne soit pas blessée.️ 2981 12289 0
Roulette Russe Visiblement, malgré son état, Ezekiel n'était pas assez mal en point pour arrêter de se pleindre, non pas de ses blessures comme on aurait pu s'y attendre, mais de choses primaire, comme un enfant: La fin, la soif...
"Et tu veux pas faire un arrêt pipi aussi pendant qu'on y est?"
Railla elle, Un peu blasée de cette attitude puérile, mais a la fois rassuré de voire que son ami n'était pas a l'article de la mort, comme l'homme inconscient installé a coté d'elle. Et pour poursuivre dans les futilités, ce cher Ezekiel ne trouva rien de mieux que de balancer le téléphone de Caïn par la fenêtre de la voiture, arrachant un soupire d'exaspération a la blonde. Un enfant qui rechignait a montrer ses bobos a un docteur. Bella Donna ne savait pas vraiment si elle trouvait la situation attendrissante ou pathétique. Peut être un peu des deux.
Enfin, la voiture arriva sur le parking de l'hôpital et en quelques instants, les brancardiers avaient prit en charges le dénommé Aurelio qui, au grand soulagement de la dame, ne lui avait pas claquer dans les bras. Restait encore a gérer la diva Ezekiel, qui s'adressait a leur conducteur d'une bien singulière manière: « Dans les salles d’attente il y a des machines, tu sais, tu tapes un numéro et ça te donne des trucs à boire et à manger… »
"Des distributeurs automatiques. C'est comme ca qu'on les appel."
Il voulait a boire et a manger. Logique, puisqu'il se plaignait il y a quelques minutes d'avoir faim et soif. Il avait encore de la suite dans les idées. Plutôt rassurant après ce qu'il venait de vivre. Il voulait aussi rentrer chez lui. appeler un taxi? Etait-ce bien raisonnable? Bella Donna avait encore son téléphone sur elle, qui lui, était intacte. Mais elle se garda bien de le dire, pour le moment. Sans surprise, il se tourna vers elle, sans doute pour lui demander et... « Il a pourri le cuir de la banquette avec son sang ! »« Il va m’emmerder jusqu’au bout, celui-là. »
"Je suis certaine qu'il en sera désolé. Je ne sais pas ce qu'il se passe entre vous, mais je n'ai pas pour habitude de laisser mourir quelqu'un si j'ai rien a y gagner, en particulier quand il s'agit d'un allier."
« Laissez tomber, je vais me débrouiller. » La lubie du taxi lui était elle finalement passé? Visiblement non. Et voila qu'il cherchait a sortir de la voiture. Nouveau soupire de la dame, avant qu'elle ne sorte a son tour du véhicule pour aller le soutenir avant qu'il ne s'écroule au sol, avant de l'aider a se réinstaller sur le siège passager. Quel âge avait-il déjà? vingt-sept ans ou six ans? C'était a se poser la question.
"Sérieusement mon ami, désolé de te le dire, mais tu es pire qu'un enfant en bas âge. Va falloir te montrer un peu plus coopératif, j'ai pas signer pour faire du baby-sitting."
susurra elle avec un petit ton moqueur, espérant ainsi calmer les jérémiades de son ami bouclé. Malgré toute la bonne volonté dont elle faisait preuve, Bella Donna n'était pas conditionnée pour avoir la fibre maternelle, en particulier avec un grand gaillard proche de la trentaine. ️ 2981 12289 0
Résumé:
Après la prise en charge de Aurelio, Bella Donna joue malgré elle les nounous avec Ezekiel
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