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 [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven

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MessageSujet: Re: [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven - Page 6 EmptyDim 15 Nov 2020 - 12:18

 
Vers l'infini et au-delà ! × ft. Raven & Peter
 
Une femme incroyable ? Vraiment ? J’étais presque sûre que tu disais cela parce que tu étais bien content que je sois sous tes ordres et que je t’obéisse au doigt et à l’œil. J’haussais néanmoins les sourcils, posant mon regard dans ta direction montrant ma surprise. Tu savais vraiment comment flatter les femmes mais je n’allais pas me laisser entrainer dans ce piège. La séduction était un art et tu semblais la maitriser à la perfection.

Gardant toujours mon rôle je m’accroupie à nouveau pour ramasser l’assiette qui était, elle miraculeusement intacte ainsi que le plateau. Rabattant ces pieds, je posais l’assiette dessus posant le tout bien loin du lit afin de ne pas risquer à nouveau un « accident ». Je me relevais m’apprêtant à me pencher pour prendre le plateau et le ramener à la cuisine quand tu repris la parole. Tu étais visiblement un peu déçu mais à la fois content que je t’ai obéis alors que je me trouvais sur toi tout à l’heure. C’était assez étrange mais cela m’allait. Un petit sourire vint se nicher au creux de mes lèvres. C’était bien ce que je pensais tu m’avais dis d’aller passer le balai plus comme un petit défi pour voir si j’allais le faire ou pas. Et … étant à tes ordres, évidemment je l’avais fait. Alors même si cela avait entrainé une certaine forme de frustration tu avais l’air content que je sois si docile.

Je penchais alors la tête sur le côté, pour bien regarder la zone que tu m’indiquais. Tu voulais donc que je m’assois. Oui. Très bien. Mais pas simplement à côté de toi, plutôt sur toi, peut-être dans la même position que tout à l’heure. Cela voulait-il dire que … ? Non.

-          Bien Monsieur, c’est vous le patient, vous décidez.

Je fis les quelques pas qui me séparaient de toi pour venir me poser délicatement sur toi. A nouveau je m’assis sur ta bosse demandant tout de même si cela ne devait pas te faire mal. Mais … Contrairement à tout à l’heure où j’étais face à toi, cette fois ci, j’étais de dos. Tu avais donc une magnifique vision de mon dos et de l’arrière de mon costume et tout ce qui allait avec.

-          Il faut que je regarde votre pansement Monsieur Quill.

Est-ce que j’étais volontairement provocatrice en me penchant un peu pour bien voir ta cuisse, améliorant peut-être encore un peu ton point de vu ? Peut-être un petit peu. Je menais mes mains à ma bouche, en formant un creux afin de souffler dessus comme si je cherchais à les réchauffer. Une fois chose faite je posais avec douceur mes doigts sur ta cuisse blessée observant le pansement. 

J’avais envie de voir dans quel état c’était en dessous et il le fallait de toute manière pour voir si je devais le changer ou pas. Tu aurais été capable de le faire tout seul bien sur … Mais … Il fallait bien que tu profites de la petite blonde qui te servait d’infirmière non ?

Avec précaution, je soulevais un des pans du pansement pour voir ce qui se trouvait en dessous. Je grimaçais légèrement. Non pas parce que ce que je voyais était horrible, couvert de pu ou de sang. Non. Tout simplement parce que cela me rappelait que tu avais été blessé en tentant de me sauver la vie, à moi, mais aussi aux autres, à tes anciens compagnons d’armes, les Ravageurs.

-          La plaie est propre. Néanmoins, il faudra changer ce pansement avant que je ne vous quitte.

Avec soin je replaçais le côté collant de ton grand pansement, appuyant dessus avec légèreté pour le remettre bien en place. Ce n’était pas le moment qu’il se décolle. Et le refaire n’était plus une priorité au vu de ce que j’y avais vu et de ce que je sentais sous moi.

Toujours dos à toi, je contractais un peu mes cuisses et mes abdos pour me laisser glisser, assez lentement pour ne pas t’écraser non plus, vers l’arrière. Les jambes repliées, toujours de chaque côté de tes hanches, mon dos étant maintenant contre ton torse. Je vins caler ma tête sur ton épaule puis déposais un petit baiser dans le creux de ton cou. Je savais que cette position n’était pas des plus ordinaires mais j’avais eut envie de te sentir tout contre moi, tout en restant bien sage.

A nouveau, comme ce matin ou hier soir, je ne me rappelais plus vraiment … Je fis en sorte que mon nez frôle la peau de ton cou, tout en douceur alors que je me calais confortablement contre toi, mes fesses remontant légèrement je n’écrasais plus la partie la plus virile de ton anatomie.

Cette position avait deux gros avantages. Je ne savais pas vraiment si elle avait un nom … L’Andromaque inversée ? La déesse aux cheveux longs ? Ma lecture du Kâma-Sûtra et des différents livres de positions de yoga remontait à bien loin. Et … De toute façon il n’était pas question de cela. Revenons aux avantages… Premièrement mon corps était presque en entier à portée de tes mains, bien que … Je ne m’étais pas mise comme cela pour ça… Enfin … Pas seulement pour ça. Deuxièmement, tu n’avais absolument pas besoin de bouger pour que je sois dans tes bras et que tu me câlines. Je n’étais pas non plus contre des moments de tendresse et je devais avouer qu’avoir dormi dans tes bras m’avaient peut-être un peu plus plut que je ne voulais bien l’admettre. Déjà les deux ou trois dernières fois j’avais apprécié, mais là encore plus. Je ne savais pas vraiment pourquoi. Etait-ce parce que tu étais souffrant ? Blessé et que je devais prendre soin de toi ? Je l’ignorai mais ce que je savais c’était que j’aimais être dans tes bras. Je murmurais alors :

-          Je le changerai Monsieur Quill mais pas toute suite.

Il y en avait peut-être même un troisième. C’est qu’en me redressant à peine, je pouvais avoir accès à tes lèvres. Tu n’avais qu’à tourner la tête pour que je puisse en profiter. Pour le moment ce n’était pas encore le cas,  tu semblais surpris par la position que j’avais adopté. Bon … Il fallait dire que c’était moi qui était sur toi, et cela ne collait pas vraiment avec ce rapport d’obéissance qui c’était installé entre nous mais …  Comme je l’avais dis, ou, plutôt pensé, je t'offrais totalement mon corps dans cette position et tu étais maitre d’en faire ce que tu voulais, ou pas d’ailleurs. 

Tu pouvais aussi bien passer tes bras autour de moi, et nous aurions pu nous endormir de la sorte. Je n’étais d’ailleurs pas contre une petite sieste de … 3 ou 4h00 dans tes bras. Rester dans cette position ne me dérangeait pas étant donné l’incroyable souplesse de mon corps. J’aurai peut-être des petites douleurs en me relevant si je m’endormais comme cela, mais elle disparaitrait en très peu de temps. Je repris à nouveau la parole, ma voix étant peut-être plus chaude et douce que d’habitude.

-          Vous n’avez pas été abrupte. Vous avez simplement exprimé vos désirs.

Oui … D’accord cette phrase pouvait à nouveau être prise à double sens. Mais peut-importait. Elle pouvait dire de nombreuses choses … Vous avez exprimé vos désirs et je les ai satisfaits. Vous pouvez continuer de les exprimer je me ferais une joie de m’y plier. Bon … Evidemment si tu me demandais de nettoyer tout le vaisseau de fond en comble je n’allais pas être enchantée mais … S’il le fallait je le ferais. J’avais néanmoins un peu peur de ce que j’allais trouver à certains endroits. La chambre de Groot notamment, ou bien celle de Rocket. Y entrer pour faire le ménage sans l’expression de leur accord me paraissait un peu comme violer leur intimité.

Où d’ailleurs pouvait bien donc dormir Mantis ? Dans ton lit ? C’était peut-être pour elle ta petite réserve ? Ou … Dans la couchette libre de la chambre de Rocket ? Après tout il y avait encore quelques pièces du vaisseau que je n’avais pas encore découvert. Elle avait peut-être une chambre bien à elle, seule. Et .. L’homme qui s’appelait Drax ? Et la femme qui s’appelait Nebula, ou bien encore la fameuse Gamora ? Bon … Elle je ne me faisais pas trop d’illusions sur l’endroit où elle dormait. Là où j’étais. Enfin … là j’avais passé la nuit, à tes côtés, car en ce moment je n’étais pas du tout à tes côtés, mais bel et bien sur toi.

-          Et je n’ai fait que d’y répondre du mieux que je pouvais.

A nouveau je déposais un petit baiser sur ta peau, mais cette fois ci sur le coin de ta mâchoire alors que je laissais mes bras retomber le long de mon corps, juste à côté nos deux corps, ensemble, l’un sur l’autre. Je continuais à déposer de doux petits baisers restant toujours dans cette zone comprise entre la naissance de ton cou et ta mâchoire.

Le fait de penser aux autres Gardiens de la Galaxie m’avait un peu perturbé. Je savais qu’en temps normal ils dormaient là mais … Il ne semblait y avoir personne sur le vaisseau. Enfin du moins je l’espérais. Je n’oserai imaginer la scène si Groot nous trouvait dans cette position, ou pire … Rocket. Enfin. Remarque, cette fois ci je serai plus vêtue. Cela serait toujours affreusement gênant mais au moins j’avais encore des vêtements sur le dos. Je n’avais croisé personne dans ma petite tenue d’infirmière coquine en allant te faire à manger ou en nettoyant tes bêtises mais ils étaient peut-être confinés dans leur chambre. Groot à jouer aux jeux vidéo et Rocket à bidouiller une nouvelle arme destructrice.

-          Etes-vous sur que nous sommes bien seuls ?

Je ne pus m’empêcher de poser la question car elle commençait à un peu trop envahir mon esprit, et clairement en ce moment ce n’était pas à cela que j’avais envie de penser. Mais bien à toi.  
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MessageSujet: Re: [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven - Page 6 EmptyDim 15 Nov 2020 - 23:13



Vers l'infini, et l'au-delà!
Raven ξ Peter 


La blonde avait semblé surpris de mon terme incroyable. Pour moi, ce n'était pas un mot anodin à son égard. Je le pensais réellement. Raven était incroyable sur tous les aspects. D'ailleurs, elle était vraiment incroyable d'avoir nettoyé tout ça, de continuer à jouer ce petit jeu d'infirmière si obéissante et docile jusqu'au bout. La jeune femme ramassait ce qui restait sur le sol, entre autre le plateau et l'assiette. Elle pris le soin de mettre ça un peu plus loin dans la chambre, loin du lit pour être certain que l'assiette ne tombe pas à nouveau et que celle-ci casse tout comme la tasse avant elle. Tout de même, je voulais que la mutante revienne tout près de moi par la suite. C'était pour ça que je lui avais indiqué qu'elle pouvait revenir s'asseoir sur mon si elle le désirait. Enfin, de toute façon, elle était obligée de m'obéir si on continuait les règles de notre petit jeu. Comme je l'avais pensé, elle me fit savoir que c'était moi qui décidait et je n'avais pas pu m'empêcher d'afficher un sourire tout en l'observant se rapprocher vers le lit, vers moi. Tout doucement, Raven se posait sur moi. Comme tout à l'heure, elle était en position assise directement sur mon entre-jambe. Ça ne faisait pas trop mal tant qu'elle ne fait pas exprès pour mettre tout son poids. D'ailleurs, la blonde avait également évité de toucher à ma jambe blessée. Donc, je n'avais eu aucune douleur.

Seulement contrairement à tout à l'heure, elle s'était assise à l'envers. C'est-à-dire qu'elle me tournait le dos. Pourquoi ? La simple et bonne raison que l'infirmière voulait regarder mon pansement et ma blessure. C'était ce qu'elle venait de dire. C'était assez logique sinon, la blonde ne se serait pas installé de la sorte. Bon, à moins qu'elle voulait me montrer une fois de plus ses jolies formes dénudés. Peut-être que c'était un peu le cas parce qu'elle se penchait un peu. Bon d'accord, c'était sans doute pour mieux voir ma blessure, mais quand même, ça m'offrait une plus belle vue encore. Seigneur ... Je n'avais pas pu résister à déposer délicatement mes mains sur ses fesses alors je ravalais ma salive, un peu surpris de cette situation. Bon en fait, il n'y avait plus rien de surprenant avec la mutante de ce côté-là. Elle savait très bien comment m'allumer, comment mettre ses formes à son avantage, je le savais très bien maintenant. Ressentant des doigts sur ma cuisse, sur ma blessure, je n'avais pas eu mal, mais j'avais eu comme réflexe de caresser ses fesses, mais également son dos comme pour me concentrer sur autre chose. Comme si je me préparais à ressentir une douleur tôt ou tard. 

Tout doucement, l'infirmière soulevait une petite partie du pansement et je ne savais pas trop pourquoi, mais je ressentis une légère douleur suite à cela. Peut-être parce que la plaie n'était plus bien compressé ou tout simplement parce que la blessure était à l'air frais ? Je ne savais pas trop, je n'y connaissais rien dans le domaine. Quoi qu'il en soit, je ne le laissais pas paraître, continuant mes caresses avec le bout des doigts, faisant une légère grimace à cause de la douleur, mais la demoiselle ne pouvait pas le voir. Bonne nouvelle, la plaie était propre. C'était déjà ça de gagner au moins. De plus, Raven me prévenait qu'on devrait changer de pansement avant qu'elle parte. Cela ne pressait pas. On pourrait faire ça dans quelques heures.

« C'est une bonne nouvelle. »

En disant ces mots, la jeune femme replaçait le pansement correctement. En s'assurant qu'il reste bien collé contre ma peau, en appuyant légèrement dessus. Avec cette petite pression, je ressentis une légère douleur, mais rien de très grave. Encore une fois, c'était moins pire que ce que j'avais pu ressentir hier soir. Toujours dos à moi, elle se redressait légèrement puis, venait tout doucement s'étendre sur moi, faisant en sorte que son dos pratiquement dénudé soit contre mon torse. Elle faisait sans doute en sorte de pas mettre trop de poids sur moi pour ne pas m'écraser et me faire mal. Ses jambes étaient d'ailleurs repliées, de chaque côté de mes hanches. Son visage était contre mon épaule et elle se tourna pour m'embrasser directement dans le cou. Fermant les yeux au contact de ses lèvres douces sur ma peau, mes mains étaient de chaque côté de la jeune femme, les posant doucement au niveau de sa taille pour le moment. Frôlant son nez contre mon cou, cela me chatouillait légèrement au contact et je ressentis quelques frissons parcourir sur mon corps alors que je gardais les yeux fermés et qu'un sourire plutôt amusé s'affichait sur mes lèvres. La mutante remontait également légèrement ses fesses pour laisser mon organe masculin respirer un peu même s'il était toujours en dessous de mon boxer bleu. Je me sentais ... très bien dans cette position. Avoir Raven contre moi, ressentir sa peau contre la mienne, avoir des caresses de la sorte, c'était le bonheur total. Je ne demandais rien de plus. Bon d'accord, une partie de jambe en l'air c'était tout aussi bien voir plus, mais ça, c'était peut-être ça le plus important, non ? D'être tout simplement ... collé l'un contre l'autre et se sentir bien. Néanmoins, cette position ne devait pas être des plus confortables pour l'infirmière, non ?

Ses paroles me firent sortir de mes pensées. Elle me disait qu'elle changerait un peu plus tard mon pansement, qu'elle s'occuperait de tout. Je n'en doutais pas une seule seconde. Mes mains commençait tout doucement à monter sur le bas de son ventre que je caressais tendrement. Ce n'était pas aussi allumeur que provocateur que tout à l'heure. Je n'étais pas aussi près de sa partie des plus intimes comme quelques minutes plus tôt, mais quand même. 

« Nous avons tout notre temps de toute façon. »

Lançais-je en tournant légèrement la tête pour lui souffler ses mots contre sa peau, contre son oreille. Je collais mes lèvres sur sa joue pour lui laisser un baiser à cet endroit alors que mes mains montaient un peu plus sur son corps. Avec le bout de mes doigts, je m'amusais à tracer des dessins sur son corps. Des dessins ou plutôt des symboles qui n'avaient ni queue ni tête. À un moment, je m'amusais même à écrire: « Raven » ensuite un symbole d'un coeur et pour finir, le nom « Peter ». J'avais ça un peu inconsciemment et peut-être que la blonde ne s'en était même pas rendu compte comme elle ne devait pas rater une seule lettre que je devais tracer avec le bout de mes doigts sur son joli corps, sur son ventre. La mutante me fit savoir que je n'avais pas été abrupte et que j'avais simplement exprimé mes désirs. Un sourire en coin s'affichait sur mes lèvres. Si seulement, elle savait ce que mes désirs voulaient vraiment en ce moment. À dire vrai, je me doutais bien qu'elle le savait, mais je n'avais pas pu m'empêcher de me retenir de dire ces mots.

 « Oh, mais vous savez. Je désirais tout autre chose. »

Bien évidemment, je ne faisais pas référence à une quelconque tâche ménagère et quelque chose de ce genre. Plutôt à nos pulsions sexuelles qui demandaient d'être assouvi. D'ailleurs, mes mains s'étaient glissés tout doucement jusqu'à sa poitrine que je commençais à masser et caresser tendrement. C'était vraiment tendre comme geste et pas bestial ni sauvage. Peut-être pour faire encore une fois augmenter le désir et l'excitation, mais c'était avant tout pour lui donner une sorte de massage à cet endroit. De nouveau, elle me donnait un baiser sur le coin de ma mâchoire. Mes yeux se tournaient vers l'infirmière que je regardais droit dans les yeux. Comme toujours, je l'a trouvais tellement belle. Je m'estimais chanceux de l'avoir rencontré, qu'elle prenne autant soin de moi de la sorte. Ce n'était pas donné à tout le monde d'avoir quelqu'un comme elle. C'était peut-être bizarre, mais j'avais de la difficulté à penser que je ne la verrais plus un jour pour une quelconque raison x. Elle me faisait tellement du bien que je ne voulais pas qu'elle quitte ma vie aussi facilement et rapidement. Alors que mes mes mains montaient au niveau de ses épaules maintenant, je m'apprêtais à l'embrasser qu'elle me demandait si les autres étaient dans le vaisseau. Bien évidemment, elle faisait référence à Rocket, Groot et Mantis. Je me souvenais encore de la fois sous la douche et que Rocket nous avait retrouvé, complètement nues. Peut-être que comme cette fois-là, le raton laveur avait envoyé un message. Bon, je devrais peut-être regarder mon portable pour une fois.

« Heum ... Je vais vérifier si j'ai reçu des messages. »

L'une de mes mains quittaient le corps de Raven alors que la seconde caressait sa chevelure. Tournant légèrement la tête sur le côté opposé de Raven, je regardais ma table de nuit. Mon portable était sur celui-ci et avec ma main, je le pris. Mon regard était rivé sur l'écran alors que je l'ouvrais. En effet, j'avais reçu des messages dont un de Rocket. Il se demandait quand j'allais revenir, qu'ils étaient au QG des Avengers jusqu'à ce que je revienne avec Milano. Ensuite dans un autre message, il avait écrit comme quoi il avait repéré que le vaisseau était revenu sur Terre. Qu'ils allaient arrivé plus tard ce soir. 

« Nous sommes bien seuls jusqu'à ce soir. »

Je pris tout de même le temps d'écrire à Rocket un simple: « D'accord » comme quoi j'avais bien vu son message. Comme ça, il n'aurait pas d'inquiétude à revenir à la maison et d'avoir peur de nous trouver dans une situation des plus gênantes. Fermant l'écran de mon portable, je m'étirais le bras pour le remettre sur la table de nuit. Tournant mon regard vers la jeune femme, je la regardais en souriant alors que je passais mes bras autour d'elle comme pour la serrer contre moi, comme si je ne voulais pas la perdre. Rapprochant mon visage du sien, je tournais assez la tête pour réussir à venir coller mes lèvres contre les siennes. Un doux baiser assez tendre, mais je caressais tout de même langoureusement sa langue. L'une de mes mains se glissaient de nouveau vers le bas de son ventre que je commençais à caresser. Peut-être un peu plus bas qu'il y a quelques minutes. Profitant de ce baiser comme si cela faisait une éternité que je ne l'avais pas embrassé, je fermais les yeux et je faisais le vide dans ma tête. Je ne pensais qu'à la mutante. Finalement, je relâchais ses lèvres pour reprendre mon souffle, mais également pour lui murmurer ces mots en la regardant.

« Je me sens tellement bien lorsque vous êtes si près de moi comme ça. »

Ce n'était peut-être pas grand chose et ce n'était pas une phrase des plus romantiques, mais ça voulait tout dire. J'étais bien, détendu et heureux. C'était ça l'important, non ? 

« Vous êtes certaine que vous êtes confortable comme ça ? »

Après lui avoir soufflé ces mots, je venais lui déposer plusieurs petits baisers dans son cou. J'effluerais pratiquement sa peau avec mes lèvres tellements que c'était léger, mais la sensation devait être tout aussi excitante tout de même voir plus.

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MessageSujet: Re: [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven - Page 6 EmptyLun 16 Nov 2020 - 21:25

 
Vers l'infini et au-delà ! × ft. Raven & Peter
 
Je me laissais aller complètement contre ton corps, trouvant cette position particulièrement agréable. Nous étions plus que serrés l’un contre l’autre, nous étions ensemble, nous ne formions presque plus qu’un. J’aimais cette proximité avec toi et je voulais qu’elle dure encore un peu si possible. J’espérais juste ne pas être trop lourde et ne pas trop t’écraser. Alors que je venais tout juste de m’installer je sentis tes mains prendre rapidement leur place sur mon corps. Parfait.

Je sentis mes joues rougir quand tu déposas un baiser sur ma joue. Je ne savais pas pourquoi mais j’avais trouvé cela absolument adorable presque plus intime qu’un baiser. J’y avais ressenti toute cette douceur que tu avais pu faire passer dans ta voix juste avant. Tu étais adorable. J’allais devoir faire attention sinon j’allais finir par tomber amoureuse de toi. Et … Je savais que l’amour faisait souffrir. Que l’amour finissait souvent mal. Tel Roméo & Juliette, Marc-Antoine & Cléopatre … Cela se finissait toujours tragiquement. Je n’avais été qu’une seule fois amoureuse de toute ma vie et … Evidemment cela ne s’était pas terminé par la fameuse ritournelle « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Mais plutôt, il tenta de la tuer à plusieurs reprises. Une vraie tragédie !

Depuis, cette seule et unique, je m’étais promise de ne plus m’attacher autant à un homme. Bon .. J’étais mal partie avec Hank et avec toi n’en parlons même pas. Je souhaitais juste que la fameuse citation « Toutes les histoires commencent pareil, rien de nouveau sous la lune pour qu’une étoile s’éteigne il faut qu’une autre s’allume. » n’allait pas se vérifier.

En tout cas … Tes gestes suivants ne firent rien pour me persuader que je ne devais pas t’aimer. Tu posas tes mains sur mon ventre et commença à jouer sur ma peau avec tes doigts. Tu semblais former des lettres. Mais j’étais trop bien là, à profiter de tes caresses pour essayer de comprendre ce que tu notais. Je reconnu juste un cœur. Et mince … Tu étais adorable et certainement romantique. Je laissais mes yeux se fermer pour apprécier tes petites caresses sur mon ventre. Heureusement tu avais passé ta main sous ma petite tenue, qui de toute façon n’était pas bien compliqué à soulever tant elle était légère et pauvre en tissu.

Tes paroles me tirèrent de cet état dans lequel j’étais, alors que tu m’indiquais que tu avais eu une toute autre pensée tout à l’heure quand tu m’avais suggéré d’aller nettoyer tout ce petit bazar qui avait chuté au sol.

-          Vraiment ?

Murmurais-je à peine alors que tes mains remontaient un peu plus pour répondre à ma question sans avoir besoin de parler. Tu t’occupas alors de ma poitrine pour mon plus grand plaisir. Même si tu t’arrêtas un peu trop rapidement à mon gout. Alors que tu exerçais une certaine pression sur ma poitrine, elle manifesta rapidement une réaction positive envers tes gestes. Inconsciemment je mordis ma lèvre lâchant un petit soupire de plaisir alors que tu la caressais leur extrémité trahissant ce que je ressentais intérieurement.

Bien vite je m’en voulu profondément de t’avoir posé la fameuse interrogation concernant la présence des autres gardiens sur le vaisseau. Evidemment tu allais regarder ton portable. Je n’y avais pas pensé sur le moment. J’avais juste envie de savoir si nous étions seuls et … libres de faire ou dire ce qui nous passait sur les lèvres. Cette fois ce fut un petit soupire de déception, mêlée à de la frustration qui s’échappa d’entre mes lèvres. Mais il était presque inaudible. Tes mains étaient bien là où elles étaient, tu pouvais encore les laisser un peu non ?

Un de tes bras se tendit pour saisir ton téléphone et l’autre passa sur mes épaules puis finit sa course dans ma chevelure blonde. Je ne pus m’empêcher de lire le message reçu sur ton téléphone. En même temps, vu notre position c’était compliqué de ne pas le lire. Tu répondis rapidement avec une seule main. Je me sentais un peu mal d’avoir lu ton sms. Mais après tout tu n’avais pas cherché à me le cacher non plus. Ton téléphone indiquait que tu avais d’autres messages, mais ceux là tu ne les ouvris pas devant moi. Peut-être des messages d’autres femmes ? Tu avais peut-être même retiré le cœur que tu avais mis à côté de mon prénom, comme la dernière fois que tu m’avais montré l’écran de ton téléphone. Je me posais toutes ces questions mais cela ne servait à rien. Je devais arrêter de penser et de me torturer l’esprit. Je devais me focaliser sur toi, toi et moi, profiter de l’instant au maximum. Au moins jusqu’à ce soir. Je n’allais peut-être pas resté dormir cette nuit si tous tes amis venaient sur le vaisseau. J’allais surement devoir te laisser bien plus tôt que je ne l’avais prévu….

A nouveau tes deux mains se posèrent sur mon corps mais cette fois ci tu m’entouras de tes bras me serrant contre toi. J’essayais de me faire la plus petite possible pour ressentir au maximum ta peau contre la mienne. Je redressais la tête vers toi pour répondre.

-          D’accord…

Je n’eus pas le temps de dire autre chose que tes lèvres venaient se poser sur les miennes. Je pressais également mes lèvres contre les tiennes tendant bien la tête pour avoir un accès sans limite à tes lèvres. Nos langues jouant langoureusement ensemble je vins naturellement poser une main sur une des tiennes qui se trouvait sur mon ventre. L’autre vint se lever pour se glisser dans tes cheveux. Mes doigts se refermant dans ta chevelure je te tenais par les cheveux, mais sans absolument pas les tirer. Je répondais à ton baiser avec passion.

N’avais-je pas dis que je devais profiter de l’instant ? Nos lèvres se séparèrent après de longues secondes pour la seule et unique raison : nous avions besoin de respirer. Si nous n’avions pas été contraint par ce minuscule obstacle nous aurions pu nous embrasser jusqu’à avoir les lèvres rougies.

Les yeux brillants, ne sachant pas si leur lueur était due au désir, au plaisir et à l’émotion je te regardais avec douceur. A bien réfléchir, nous étions peut-être sur les trois à la fois. Mon désir pour toi, le plaisir des tes caresses et l’émotion du à tes dernières paroles concernant ton bonheur à te trouver comme cela. Je mis un certain temps avant de répondre, la phrase m’étant venue naturellement à la deuxième personne du singulier je devais rapidement la transposer à celle du pluriel.

-          Vous … savoir heureux me remplit de bonheur.

Remplit ? Bon le mot n’était pas le plus adapté mais je ne savais pas comment exprimer ce sentiment de béatitude et de plénitude que je pouvais ressentir à l’instant même. Tu avais, de toute façon bien compris que j’avais clairement du mal à exprimer mes sentiments à voix haute. Comble aurait été mieux. 

Je penchais alors la tête dans le même sens que la tienne, la symétrie étant presque parfaite pour te laisser un total accès à mon cou que tu venais dévorer de petits baisers comme j’avais pu le faire moi aussi quelques temps plus tôt. Du bout de mes doigts je caressais ton crâne et de l’autre c’était à mon tour de te faire des petites papouilles sur ta main qui se trouvait sur mon ventre, dangereusement bas sur mon ventre d’ailleurs. Tu savais de toute façon que tu pouvais me faire, tout ce que tu voulais, ou presque tout dirons nous.

J’hochais à peine la tête quand tu me demandais si j’étais bien dans cette position. Tu ne pouvais pas imaginer à quel point j’étais bien oui. Je savais qu’à première vue elle ne paraissait absolument pas confortable, surtout pour moi mais ce n’était pas le cas. J’étais d’une souplesse remarquable. La voix un peu malicieuse je pris tout de même le temps de répondre à ta question.

-          Vous n’en avez peut-être pas encore eut l’occasion de voir, ou … d’en profiter … Mais … Sachez que je suis très souple, vraiment très souple.

Evidemment il y avait là un petit sous-entendu sexuel mais je savais que cela se voyait aussi quand je me battais. Je pouvais faire des figures et des prises impressionnantes au vu de mon gabarit. Je n’avais rien fait pour avoir cette souplesse. Elle était apparue en même temps que ma mutation lorsque j’étais plus petite. Je savais qu’en temps normal la mutation se manifestait à l’adolescence mais pour moi mon gène X s’était manifesté lorsque je n’étais encore qu’une enfant.


-          Je peux rester dans cette position pendant des heures … Mais …

Je mordis ma lèvre essayant de calculer le nombre d’heures qu’ils nous restaient en tête à tête. Il devait bien être entre 15 et 16h. Il ne nous restait que deux ou trois heures, quatre heures maximum avant le retour de tes autres colocataires. Bon. C’était assez pour une sieste mais … Il ne fallait absolument pas que lors de leur retour il me trouve dans une telle tenue, et surtout dans cette position avec toi. Il allait surement falloir que je parte avant leur retour. Oui … Le temps nous était désormais compté. Pour mon plus grand malheur. Je préférais ne pas revenir sur le peu de temps qu’il nous restait prétextant plutôt autre chose.

-          Si je vous gène Monsieur Quill … N’hésitez pas à me le dire.

Je redressais un peu la tête pour que tes lèvres viennent se poser aussi sur mon visage. J’aimais les baisers papillons. Je ne savais pas si le terme existait vraiment mais je disais cela comme ça. Lorsque nous déposions des doux baisers, effleurant à peine la peau, tel un papillon se posant, en silence et extrême douceur sur nous. Je voulais sentir tes lèvres partout sur mon corps. Même si pour l’instant je devais me contenter de mon cou et mon visage.

-          Je suis sûre que je pourrais trouver une autre position pour être dans vos bras si jamais celle là ne convient pas. Si jamais … vous souhaitez que j’y reste encore un peu …. jusqu’à ce que le carrosse ne se transforme en citrouille.

Je ne savais pas si tu allais comprendre la petite référence au conte de « Cendrillon » pour évoquer le fait que j’allais devoir partir. Et … cela me semblait être bientôt malheureusement. Je fermais à nouveau mes yeux, mordant en même temps ma lèvre inférieure me rendant compte que ta main était bien plus basse que lorsque tu écrivais tes petites lettres tout à l’heure. Est-ce que tu allais … ? Descendre encore ?

Je déglutis un peu difficilement essayant de ne pas trop y penser pour éviter de ne finir trop frustrée même si tout mon corps marquait des signes évident de plaisir et de contentement, que cela soit ma poitrine ou encore les petits frissons qui parcourait mes hanches quand tu avais les mains posées sur moi. 
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MessageSujet: Re: [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven - Page 6 EmptySam 21 Nov 2020 - 23:15



Vers l'infini, et l'au-delà!
Raven ξ Peter 


J’avais bien remarqué que mes caresses plaisaient à la jeune femme. Disons simplement que certains gestes ne trompaient pas. J’avais bien entendu son léger soupire de plaisir lorsque mes mains s’étaient glissées sur sa poitrine, sous sa petite tenue d’infirmière. Bien évidemment, c’était toujours mieux de toucher directement la peau que le tissu des vêtements, sinon, cela ne serait pas des véritables caresses. C’était sans doute pour ça que je n’avais rien à ajouter à son interrogation, à son « vraiment ». Mes gestes, mes caresses, parlaient à la place de mes mots. La blonde devait bien se douter de quoi je faisais allusion. Même en prononçant ce mot, l’infirmière connaissait sans doute déjà la réponse. Cependant, j’avais assez rapidement arrêté mes caresses suite à une tout autre question à savoir si les autres étaient là. Si nous étions réellement seuls dans le Milano. Comme on venait de se réveiller, que je n’étais pas sortie de la chambre, je ne pouvais pas le savoir. Néanmoins, la demoiselle aurait sans doute vu quelqu’un lorsqu’elle était allée préparer à manger. À l’heure qu’il était, cela serait assez étonnant que la mutante n’ait vu personne. Rocket, Groot et Mantis, auraient fait du bruit quelconque et ne seraient pas en train de dormir au bout milieu de l’après-midi.

Néanmoins, je devais vérifier s’ils m’avaient laissé des messages cette fois via mon portable. La mutante ne voulait sans doute pas qu’un événement comme notre premier soir ensemble se reproduise. C’était sans doute pour cela qu’elle avait dit ça. Parce qu’elle souhaitait que je vérifie mes messages, non ? Prenant mon portable, je sentais bien que la jeune femme semblait plus ou moins déçu que ma main quitte son sublime corps. En même temps, je n’avais pas trop le choix si je voulais prendre mon portable. Je n’essayais pas de cacher l’écran de mon téléphone ni quoi que ce soit de ce genre. Ce n’était pas vraiment mon style. Pourquoi voudrais-je être si cachottier et si mystérieux ? Qui plus est, le visage de Raven était tellement prêt qu’il serait difficile pour moi de faire en sorte qu’elle ne puisse pas regarder. Je ne me sentais pas vexé non plus que la blonde pose son regard sur l’écran de ma messagerie. Qu’est-ce que j’aurais à cacher de toute manière ? Rien du tout. À l’exception de Rocket, de Mantis et de Raven, je n’avais pas vraiment d’autres contacts dans mon portable. Après avoir un sms à au raton laveur, j'avais remis mon portable à sa place avant d'entourer du mieux que je le pouvais dans cette position, la blonde dans mes bras. Levant légèrement son regard, la jeune femme me répondait un simple d'accord comme elle avait comprend. Je sentais tout de même une pointe de déception dans sa voix. Peut-être parce qu'elle savait maintenant que les autres arriveraient bientôt ? Enfin, nous avions encore quelques heures devant nous, mais quand même. C'était peut-être un petit inconvénient en vivant au même endroit que les autres, mais en même temps, je n'allais pas les mettre dehors. C'était ma famille. C'était la même chose du côté de Raven, elle habitait directement à l'Institut. On ne pouvait pas être à un endroit bien tranquille, rien que tous les deux sans se soucier que quelqu'un arrive. Disons que ce n'était pas trop évident.

Comme pour la rassurer un peu, je venais poser mes lèvres sur les siennes pour l'embrasser. La mutante y donnait du sien en suivant le mouvement et en passant l'une de ses mains dans mes cheveux. On profitait de chaque seconde de cet instant. Néanmoins, nos langues finissaient par se lâcher tout comme nos lèvres se décollaient parce que nous avions tout simplement besoin de reprendre notre souffle. J'avais tout de même pris le temps de lui avouer que je me sentais extrêmement bien en sa présence tout en la regardant droit dans les yeux. Son regard était si brillant. Étincelant, je ne saurais dire ce à quoi l'infirmière pensait à ce moment précis, mais une chose était certaine, c'était que tout comme moi, elle se sentait bien et heureux en se moment. Elle mentionnait seulement que de me savoir heureux, la remplissait de bonheur. Ces mots étaient suffisant pour me faire sourire. Le terme remplir était peut-être un peu maladroit dans sa phrase, mais je comprenais tout à fait ce qu'elle voulait dire. Alors que Raven penchait légèrement sa tête sur le côté, je commençais à embrasser son cou, tendrement et passionnément. J'effleurais à peine avec mes lèvres sa peau alors que je ressentais le bout de ses doigts toucher le creux de ma tête. L'autre main de la demoiselle vint se joindre à ma main, qui se trouvait sur son ventre, assez bas. 

Malgré nos caresses des plus agréables, je voulais savoir si la mutante était bien dans cette position. Elle avait bien beau joué l'infirmière des plus dociles que possible, je ne voulais pas qu'elle se sente mal ou qu'elle ait un problème musculaire quelconque à cause de moi en ayant une position un peu particulière. Hochant doucement la tête alors que je levais le regard pour bien la regarder, moi qui avait mes lèvres près de son cou, la mutante venait de me confirmer qu'elle était bien comme ça. Encore mieux, la jeune femme m'expliquait qu'elle était souple ... très souple même. Ah bon ? À quel point ? Haussant légèrement le sourcil suite à ces mots notamment à cause du ton qu'elle avait pris en disant ces mots, je m'imaginais bien des scénarios. Tout de même, je me souvenais de son agilité. Lorsque nous étions arrivés à l'Institut en voiture il me semble, Raven était venu me rejoindre de mon côté de la voiture d'une drôle de façon. Enfin, d'une façon très agile. En même temps, ce n'était pas pour rien qu'elle était professeur d'arts martiaux. La blonde savait se battre. Être souple faisait en sorte qu'elle était capable de faire bien des mouvements et bien des positions.

« C'est ... très intéressant à savoir. »

J'avais racler légèrement ma gorge après avoir débuté ma phrase. Un léger sourire plutôt malicieux s'était affiché sur mes lèvres. Bien évidemment, je faisais comme si je voyais la chose d'être souple juste du point de vue sexuel. Bon d'accord, je l'avais pensé, mais je savais bien qu'elle l'était aussi pour se défendre et en situation de combat. Ajoutant qu'elle pouvait rester comme ça pendant des heures, elle ajoutait un « mais ». Redressant ma tête pour pouvoir bien la regarder, j'étais curieux de savoir ce qu'elle allait dire. Cela ne pris pas trop de temps qu'elle m'explique ce qu'elle voulait dire. La blonde m'expliqua que si cette position me gênait pour une quelconque raison, sans doute à cause de ma blessure à ma jambe ou de son poids sur moi, que je devais lui dire et qu'elle se repousserait. Secouant légèrement la tête pour lui faire signe que non, j'étais très bien comme ça. Je n'avais pas de douleur. Je me sentais très bien. Pourquoi voudrais-je changer de position ? Reprenant mes petits baisers dans son cou comme pour lui faire comprendre que j'étais bien comme ça, la jeune femme penchait légèrement la tête pour me que je puisse être en mesure de venir chercher ses lèvres. Montant le long de son cou, embrassant sa mâchoire, je continuais jusqu'à ce que je puisse effleurer ces douces lèvres. J'aimais tant l'embrasser. Si ma jambe me l'aurait permis et que je pourrais me placer n'importe comment sans avoir de douleur, je l'aurais sans doute embrasser un peu partout sur son corps. Sa peau était tellement agréable au toucher, si douce et délicate. 

« Vous ne me gênez pas du tout. »

Soufflais-je tout doucement entre plusieurs baisers. Je n'étais pas certain de comprendre toutes les paroles de l'infirmière. Jusqu'à ce que le carrosse ne se transforme en citrouille ? Qu'est-ce que cela voulait dire ? C'était quoi se baratin ? Cela devait sans doute se voir dans mes yeux que je n'avais pas trop compris, mais je continuais tout de même mes caresses au niveau de son ventre avec ma main, alors que mes lèvres effleuraient maintenant sa joue, se rapproche de son oreille. Je ressentais que celle-ci avait de plus en plus de désirs ou du moins, qu'elle en avait des frissons. Peut-être parce que la blonde avait fermé les yeux. Sans doute à cause de mes lèvres qui n'arrêtaient pas de caresser sa peau.

« Jusqu'à ce que le carrosse ne se transforme en citrouille ? Je vois pas trop ce que ça veut dire ... Mais ... »

Mon ton était assez interrogateur jusqu'à mon dernier mot. Là, j'étais plutôt amusé voir malicieux. Tout doucement et lentement, ma main commençait à descendre vers son intimité alors que je m'étirais légèrement pour rapprocher mon visage de son oreille le plus possible.

« Vous êtes certaine que vous voulez changer de position ? Je peux aussi ... »

Murmurais-je à son oreille avant de venir poser mes lèvres sur son lobe d'oreille pour lui mordiller légèrement alors que les doigts de ma main, caressaient doucement son entre-jambe. C'était ce qu'elle désirait, non ? Je n'avais pas pris la peine de terminer ma phrase. Disons que mes caresses parlaient beaucoup plus que de simples mots. D'une certaine manière, c'était ce que je voulais également alors ...

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MessageSujet: Re: [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven - Page 6 EmptyDim 22 Nov 2020 - 15:13

 
Vers l'infini et au-delà ! × ft. Raven & Peter
 
Je ne te gênais pas du tout. Bon c’était déjà ça. En effet j’avais peur de t’écraser ou de te faire mal. En même temps j’avais fait en sorte que rien ne touche des jambes. La façon dont était repliée les miennes faisaient en sorte que je ne repose que sur le haut de ton corps, et un peu de ton bassin, je devais bien l’admettre.

-          Je suis ravie que cette position vous convienne Monsieur Quill.

J’avais vraiment du mal à rester dans mon rôle mais je faisais tout pour. J’étais totalement soumise au bon vouloir de tes mains, de ta bouche, de tes lèvres, de tes caresses. Tu étais le maitre de mon futur plaisir, et peut-être du tien aussi, qui sait ?

J’en profitais alors pour laisser un peu plus le poids de mon corps reposer sur le tien pour être parfaitement en contact avec ton corps. Peau contre peau. Enfin, je portais toujours l’espèce de petite tenue d’infirmière mais bon.

Un tout petit rire franchit la barrière de ma bouche quand tu évoquas clairement ne pas comprendre ma petite référence. En même temps il fallait que je m’y attende. Nous étions clairement plus sur une référence qu’une autre femme aurait pu comprendre. Et encore … Peut-être qu’un garçon aussi aurait pu mais … Ce n’était pas gagné. Et … Un garçon qui avait grandit dans l’espace encore moins. Pourtant … Il me semblait bien que le dessin animé Cendrillon était sorti à la fin des années 60 mais je n’en étais pas très sûre. Et puis tu n’étais visiblement pas le genre d’enfants à regarder des Disney.

Pour ma part je n’avais rien vu de ceux qui étaient sortis entre 1984 à nos jours. Je savais que cela manquait à ma culture cinématographique car, souvent, mes élèves faisaient des petites références du genre. Il m’arrivait aussi d’entendre certaines chansons chantées dans les couloirs où sous les douches des vestiaires. J’avais même entendu à plusieurs reprises des garçons chanter une visiblement célèbre chanson d’une certaine Reine des Neiges, « Libérée délivrée ».

-          C’est une référence … A un dessin animé pour petite fille …

Je le murmurais ne souhaitant pas rompre la magie de notre proximité en parlant trop fort. Après tout j’étais tout contre toi, et je n’avais absolument pas besoin de forcer sur ma voix pour qu’elle soit compréhensible. Je me mis alors tranquillement à te raconter en omettant beaucoup de détails l’histoire de Cendrillon alors que peu à peu tes mains glissaient contre mon corps descendant encore et toujours plus.

-          C’est l’histoire … D’une belle jeune femme, maltraitée par sa belle famille … Elle leur sert de servante. Et, un jour un …

J’orientais à nouveau ma tête dans un sens différent et tu en profitas au même moment pour saisir le lobe de mon oreille entre tes dents. Immédiatement de nouveaux petits frissons me traversèrent alors que j’entrouvrais mes lèvres mais aucun son n’en sorti. Pour le moment en tout cas. Car … vu la direction que prenais ta main je n’allais très surement pas tarder à laisser des petits gémissements s’échapper d’entre mes lèvres. Je repris mon souffle un instant m’étant stoppé dans mon récit alors qu’une de tes mains avait cette fois ci atteint sa destination finale.

-          Jour … Elle est invitée au bal d’un prince. Mais sa famille ne veut pas qu’elle y aille. Alors ils l’enferment …

Cette fois ci je ne pus retenir le léger gémissement que tes gestes m’avaient déclenchés. Je me laissais totalement faire, n’orientant pas ta main, ne la guidant pas pour la laisser découvrir mon corps et tester les différentes réactions que je pouvais avoir en fonction de tes gestes. Je déglutis un peu difficilement alors que plus bas, tu continuais à me caresser.

-          Elle est prisonnière.

A mes mots, je tirais légèrement tes cheveux, non pas que je voulais que tu arrêtes mais je me laissais guider par mes émotions et mes sentiments, ne cherchant pas à me retenir. Je voulais t’offrir ce spectacle. Je savais que beaucoup d’hommes aimaient entendre une femme gémir dans leur bras. Mais là j’étais plus que dans tes bras.

-          Mais …. Sa... marraine... une bonne fée. La … délivre …

J’avais de plus en plus de mal à parler correctement essayant de me concentrer sur mon histoire alors que clairement je pouvais me concentrer sur autre chose, notamment les mouvements des tes doigts sur la zone la plus sensible de mon anatomie, le seul organe du corps humain destiné uniquement au plaisir.

-          Elle lui fabrique une robe, des escarpins … Magiques.

J’avais peut-être parlé un peu trop vite alors que dans le même temps ma respiration s’était considérablement accélérée elle aussi, au même rythme que tes mouvements. Je lâchais un gémissement un peu plus fort que tout à l’heure, tout près de ton oreille alors que ma main glissait de tes cheveux jusqu’à ta nuque, la griffant peut-être un peu au passage.

-          Et …

Ma respiration se fait de plus en plus bruyante, mais j’essaye de faire en sorte de ne pas perdre le fils de mon histoire. Je ferme les yeux afin de me mieux me concentrer mais peut-être aussi assez égoïstement pour mieux en profiter.

-          Une citrouille qu’elle … transforme en carrosse … Mais … La …

« Magie » la fin de ma phrase, ou du moins le début de la suivante est à peine audible car je gémis en même temps alors que mon corps se cambre un plus contre le tien, comme si c’était possible. Le mot était tout à fait convenablement choisi pour ce que tu étais entrain de me faire. Je sentais comme des petits papillons magiques, prendre forme au creux de mon ventre. Ne demandant qu’à se déployer pour voler et se libérer.

-          … prendra fin à minuit où le carrosse … redeviendra citrouille !

Je n’arrive désormais plus à parler où à raconter la fin de l’histoire mais j’espérais que tu puisses comprendre désormais ma petite référence. Bien que … Clairement, tu devais très certainement t’en moquer étant absolument occupé à faire autre chose.

De ma main libre je cherchais ta deuxième main. La trouvant rapidement posée sur mon corps je la fis remonter contre ma poitrine afin qu’elle réitère ces douces caresses de tout à l’heure. Je m’étais promis de ne pas te guider mais je n’avais pas tenue ma promesse. Je n’étais qu’une vilaine fille qui méritait qu’on la punisse. Oula. Raven. Tu t’emballes un peu beaucoup trop là.

Je tournais la tête vers toi et vins happer avec passion tes lèvres. Je pressais les miennes contre les tiennes alors que ma langue venait chercher la douceur de la tienne. Je t’embrassais avec passion, me redressant un peu contre toi pour avoir un accès plein et entier à ta bouche. J’avais envie qu’elle me dévore toute entière. Je jouais avec ta langue étant obligée d’interrompre notre baiser pour gémir à nouveau. Tout près, là, juste contre tes lèvres.

J’avais du mal à rester muette désormais. C’était voir même impossible. Le rouge était monté à mes joues pour une raison évidente. Je ne savais absolument pas comment j’allais te procurer le même plaisir que tu étais entrain de me prodiguer. Je ne voyais pas comment je pouvais faire avec une telle blessure à ta cuisse. Peut-être que tu ne m’en voudrais pas si ... Je gardais cela pour une autre fois. Une fois où tu serais plus en forme et où je pourrais m’occuper de toi avec soin. Bien comme il fallait. Comme ce que tu venais de … comme ce que tu étais entrain de faire en ce moment là.

Peut-être lors d’une de mes fameuses petites visites de prévues ? Il faudrait d’abord que je m’assure que nous serions bien seuls et qu’évidemment tu sois en meilleure forme que celle que tu tenais actuellement. Bien que … Je n’avais absolument pas à me plaindre. Ta main, elle était dans une forme olympique et savait exactement quoi faire pour me faire perdre la tête.

Mon corps était frissonnant alors que parallèlement j’avais chaud. J’avais l’impression que mon corps entier se liquéfier sous tes mains. Surement terrassé par le désir et le plaisir que je ressentais. Je n’avais pas eut besoin de te guider de trop pour que tu saches exactement comment me faire parvenir à l’extase uniquement grâce à ta main.

Le souffle court, incapable de t’embrasser je lâchais un dernier puissant gémissement alors que mes cuisses se refermaient comme elles pouvaient dans cette position, sur ta main, comme si je ne voulais pas qu’elle parte et qu’elle reste là où elle était. Je savais que je ne pouvais en demander plus en raison de ton état de santé. Mais c’était déjà beaucoup. 



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MessageSujet: Re: [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven - Page 6 EmptyDim 29 Nov 2020 - 13:05



Vers l'infini, et l'au-delà!
Raven ξ Peter 


La jeune femme n'avait pas pu s'empêcher de rire face à ma question concernant sa petite référence. De par son rire, je me doutais bien que la blonde était surprise que je ne connaisse pas la référence. Sans doute que c'était une référence cinématographique et que c'était pour ça que la mutante était aussi surprise dû fait que je ne comprenais pas. Depuis le temps qu'on se parlait et qu'on se connaissait, Raven avait sans doute remarqué mon penchant pour les années 80 ou les années antérieures. Mon penchant pour la vieille musique et pour mes petites références à la pop culture en général de ces années-là. Des années que j'avais pu consommé ce genre de référence comme un véritable petit geek. Quand je le pouvais, je n'arrêtais pas de lancer une petite allusion à ces années. Ce n'était pas tout le monde qui avait un attachement voir même un amour comme moi pour David Hasselhoff. Cela prouvait bien que j'étais attaché à ces vieilles années parce que la jeune génération ne semblait pas savoir qui était l'acteur à mon grand regret. La blonde pris le temps de me révéler d'où venait sa conférence. Elle me murmurait à l'oreille pratiquement que c'était dans un dessin animé pour gamine. Le contraire m'aurait étonné. Comme je ne connaissais pas trop, c'était logique. Cela ne voulait pas dire pour autant que je n'appréciais pas les oeuvres de Disney et tout ça. C'était simplement que je n'étais pas le premier public cible pour les trucs de princesse. 

La mutante pris la peine de m'en dire encore plus concernant sa référence. Un peu comme si on jouait à un jeu de devinette et que je devais réussir à savoir dans quelle oeuvre se trouvait cette fameuse référence. Alors que de mon côté, ma main descendait un peu plus bas sur son corps. En effet, j'avais une certaine idée en tête et je me doutais bien que cela ne déplairait pas à la jeune femme. Même si Raven parlait, j'étais plutôt concentré sur autre chose même si je prenais le temps de l'écouter. Une jeune femme servante et maltraité par sa belle-famille, c'était du classique. On voyait souvent cela dans les histoires et les films. Du moins, dans ce style-ci. Mordillant légèrement son lobe d'oreille, je pouvais ressentir les légers frissons qu'elle avait eu comme elle prenait le temps de parler. Comme si elle se retenait de gémir un peu. Enfin, ça c'était avant que ma main, que le bout de mes doigts arrive à destination, un peu plus bas que son ventre. La fausse infirmière n'avait pas pu se retenir de gémir lorsque j'avais commencé doucement mes caresses à sa partie des plus intimes. Je ne savais pas trop pourquoi, mais l'entendre gémir de la sorte me donnait des frissons agréables un peu partout sur le corps. Sans doute que la plupart des hommes, appréciaient voir les femmes dans cet état, de plaisir qu'on leur donnait. C'était sans doute aussi pareil inversement. 

Tout de même, Raven pris encore le temps de me raconter son histoire. Qu'un jour, cette fille était invitée au bal d'un prince, mais que sa famille refusait qu'elle se présente à ce bal, bien évidemment. Bien que j'entendais ces mots, je l'écoutais encore moins que tout à l'heure. Ce n'était pas un peu bizarre de parler de bal et de prince en ce moment ? Enfin, cela ne m'empêchait pas pour autant de continuer tout en me mordant légèrement la lèvre inférieure en la regardant. Me tirant les cheveux comme sa main se trouvait là depuis tout à l'heure à cause de ses caresses, cela ne me faisait pas mal, au contraire même. Je savais que c'était à cause de ce plaisir, que c'était sous le coup de l'émotion et tout ça qu'elle faisait cela. M'expliquant du mieux qu'elle le pouvait la suite de son histoire, la blonde commençait à parler un peu plus rapidement. En réalité, elle suivait la cadence de mes caresses ou plutôt, les mouvements de va et vient avec certains de mes doigts. Néanmoins, je compris dans son histoire que cette jeune femme était prisonnière, mais qu'une fée ou je ne sais quoi, avait réussi à la délivrer. Continuant mes mouvements, mes caresses, en accélérant un peu rythme, l'infirmière continuait son histoire en parlant toujours encore plus un peu plus rapidement. Une nouvelle fois, elle lâchait un gémissement de plaisir, mais un peu plus fort que tout à l'heure. Sa main se glissait au niveau de ma nuque et je pouvais sentir ses ongles contre ma peau, la griffant au passage. Rien de bien méchant bien évidemment. Raven fermait les yeux alors que sa respiration se faisait de plus en plus forte.

Terminant enfin son histoire, la jeune femme pouvait enfin concentrer totalement sur ce que j'étais en train de lui faire. De toute façon, j'avais plus ou moins écouté ce qu'elle avait raconté. Donc, cela voulait dire quoi cette fameuse phrase: Jusqu’à ce que le carrosse ne se transforme en citrouille ? Je crois que cela voulait dire qu'elle devrait partir bientôt. Sans doute parce qu'elle savait que mes compagnons arriverait bientôt au vaisseau, en début de soirée sans doute selon les sms que j'avais échangé avec Rocket quelques minutes plus tôt. Alors que ma seconde main se tenait au niveau de sa taille, je sentis sa main se poser contre celle-ci. Serrant ma main, elle venait la chercher pour la déplacer ailleurs sur son corps. L'amenant jusqu'à sa poitrine, toujours en dessous de ce petit bout de tissu qui lui servait d'uniforme d'infirmière,  le message était clair. La blonde voulait que je continue mes caresses de tout à l'heure à cet endroit. Caressant et massant ses seins, ce n'était pas pour autant que mon autre main arrêtait ses mouvements pour autant, au contraire même. Même si ce n'était pas moi qui se faisait faire de tel caresse, j'y prenais du plaisir également. Du plaisir de la voir dans un tel état et puis ... c'était excitant. Ma respiration était un peu plus bruyante que la normale même si elle était moins exaltante que celle de la jeune femme.

Tournant la tête vers moi, elle ouvrit les yeux de nouveau pour me regarder avant de rapprocher son visage, ses lèvres des miennes pour venir m'embrasser. Soutenant son baiser passionément, je continuais mes caresses avec encore plus de conviction alors que nos langues se mélangeaient. Il n'était pas qu'elle arrête ce contact pour pousser de léger gémissement, juste contre mes lèvres. Je ne pouvais pas douter de moi sur ce coup-là. Raven y prenait réellement du plaisir. Tant mieux. Moi aussi, j'en prenais dans un certain sens. Bien évidemment, j'aimerais beaucoup aller plus loin que ça, mais je savais que c'était pour le moment, impossible à cause de ma blessure. Cela sera pour une autre fois. Je me doutais bien que l'occasion se présenterait à nous tôt ou tard. On était de véritables aimants, l'un attiré par l'autre constamment alors. Je savais bien que ça allait finir par arriver lorsqu'on se reverrait et que je serai en meilleur forme. En décollant nos lèvres l'un de l'autre, j'avais pu remarqué les joues rouges de la demoiselle, que je trouvais tout à fait craquante, avant d'enfouir mon visage vers son cou. L'embrassant à cet endroit avec un peu moins de douceur que tout à l'heure, je l'a mordillais à quelques reprises entre deux baisers. Je crois même que je lui avais fait un petit suçon. Bon, elle aurait une petite marque sur sa peau, rien de bien méchant. De toute façon, la blonde m'en avait déjà fait et contrairement à moi, elle pouvait camoufler cette marque si elle le désirait grâce à son pouvoir, à sa mutation de changement d'apparence. 

De légers frissons parcouraient tout le long de mon corps alors que je pouvais l'entendre une nouvelle fois, pousser un gémissement encore plus bruyant que les précénts, si Rocket, Mantis et Groot avaient été à bord du vaisseau, il était fort probable qu'ils l'auraient entendu. Ses cuisses se refermaient alors que ma main était toujours là. Comme si elle ne voulait pas que celle-ci parte et qu'elle la retienne prisonnière. Un peu comme dans son histoire, non ? Enfin, pas vraiment comme je n'avais pas tout bien compris, j'avais surtout retenu quelques mots comme prisonnière justement. Mon autre main caressait toujours ses seins, ses formes, sa peau, était tellement douce que c'était un véritable régal et que je ne pouvais plus m'arrêter. L'embrassant toujours au niveau de son côté, mes lèvres montaient néanmoins jusqu'à son oreille. 

« Je crois bien que vous avez apprécié. »

Murmurais-je tout près de son oreille en ayant un ton assez bas qui se voulait un peu malicieux et amusé. Bien évidemment, je connaissais déjà la réponse, mais peut-être que je voulais l'entendre dire. Peut-être aussi que je voulais l'allumer un tout petit peu. Tout à l'heure, c'était elle qui avait fait son allumeuse, depuis son retour dans la chambre avec ces vêtements, ses positions sur moi et tout, maintenant c'était peut-être à mon tour. Ce n'était pas pour rien que j'avais fait tout ça. Pour son plaisir oui, mais également pour le mien. Comme on ne pouvait pas aller plus loin, j'y avais été avec ce qu'on pouvait faire comme cette tension sexuelle étaient palpable entre nous et en ce moment. 

« Imaginez quand je serai en meilleur forme ... »

Je la vouvoyais encore et toujours, continuant ce petit jeu qui s'était installé entre nous depuis tout à l'heure. Encore une fois, je faisais mon allumeur, mais sans doute que elle aussi de son côté, elle me ferait bien des choses quand je serai en meilleur forme. En même temps, tout ça se faisait à deux ...

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MessageSujet: Re: [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven [Terminé] Vers l'infini, et au-delà ! Peter & Raven - Page 6 EmptyMar 1 Déc 2020 - 15:01

 
Vers l'infini et au-delà ! × ft. Raven & Peter
 

Je restais un long moment sans rien dire, profitant juste de cet instant. Les yeux clos je me bougeais pas, essayant de retrouver ma respiration normale. D’habitude je ne montais pas aussi rapidement en tension mais là … L’alchimie était de toute façon si forte entre nous que je ne pouvais y résister. Faible femme que j’étais. J’entrouvrais juste légèrement les lèvres pour ingurgiter et expirer encore plus d’airs que ne le pouvais faire mon nez. Ma poitrine se soulevait toujours rapidement, mon cœur tambourinant dans ma poitrine, juste là sous tes doigts, mais je me doutais que tu ne le sentais pas. Ce n’était la raison pour laquelle tu avais ta main sur ma poitrine. Après une petite minute, retrouvant peu à peu mes esprits et m’arrachant presque mentalement à cette délicieuse sensation que tu m’avais fait ressentir j’hochais lentement la tête et la penchais un peu en arrière pour faire en sorte que mon nez frôle ta joue avec douceur. J’avais cru t’entendre me vouvoyer, mais j’avoue que sur l’instant je n’avais pas vraiment fait attention à ce que tu avais pu me dire.

Fermant à nouveau les yeux, je lâchais cette fois ci un petit soupire, non pas de mécontentement mais bel et bien de satisfaction par rapport au cadeau que tu venais de me faire. Du bout de tes doigts si agiles tu avais su, sans trop bouger et te blesser, me donner, un peu, beaucoup de plaisir et il était évident que je n’allais pas oublier de sitôt. J’allais devoir me creuser la tête pour te rendre la monnaie de ta pièce même si je me doutais que tu n’avais pas spécialement fait cela dans le but d’obtenir quelque chose en retour de ma part. Même si … Je supposais que tu n’étais tout de même pas contre un petit retour sur investissement comme le disait certains hauts fonctionnaires du haut de leurs tours de Wall Street.  Je pris un petit instant pour me rémémorer ce que tu venais de me dire mais je n’avais que la dernière phrase. Je n’osais pas imaginer nos retrouvailles lorsque tu aurais récupérer entièrement de ta blessure.

-          Je pense que … Vous et moi allons devoir finir dans une chambre d’hôtel si nous ne souhaitons déranger personne.

Evidemment je faisais référence aussi bien à tes colocataires qu’aux miens. Il était vrai que lorsque je ne faisais pas attention j’avais légèrement tendance à m’exprimer oralement dirons nous. Et … Avec du monde dans le vaisseau, et le pire de tout à l’Institut c’était tout bonnement impossible. Au moins, si nous louions une chambre d’hôtel nous pourrions faire ce que nous voulions sans craindre pour notre réputation ou de traumatiser les esprits les plus purs et innocents. Et, de plus, je n’avais pas vraiment envie de me retrouver avec un coussin ou un bâillon dans la bouche pour me taire et rester, presque, silencieuse. Bon il faudrait que j’utilise la fameuse carte noire que Charles m’avait donnée et je serai repérée. Mais … Si j’allais retirer de l’argent avant, et qu’après je payais en liquide cela passerait ni vu ni connu non ? J’aurai pu dire que j’avais envie de m’acheter un vêtement ou bien un bijou. Je n’étais absolument pas du genre matérialiste, pouvant me créer n’importe quoi mais je pense que cela passerait. Le prix d’un bijou conviendrait mieux par rapport au prix d’une chambre d’hôtel. Il était hors de questions de nous retrouver pour faire cela dans la chambre crasseuse d’un motel de Brooklyn. Je ne parlais pas non plus d’un grand palace avec je ne sais trop combien d’étoiles sur sa devanture. Non, je pensais plus à un petit hôtel mignonet dans les environs de Greenwich village, pas trop gros, avec des lits moelleux, des draps propres, de grande douche, voir même une baignoire. Oh oui. Une baignoire. Il fallait absolument une baignoire. Après tout n’étions-nous pas fans, tous les deux indirectement des salles de bains et de tout ce qui allait avec ? Je nous voyais déjà, nus, dans une grande baignoire d’époque, à boire un bon verre de vin et grignoter quelques douceurs de type chocolatée, à la lumière de nombreuses bougies, couverts tous les deux par de la mousse. Même si la baignoire n’était d’ailleurs pas d’époque cela ne m’aurait pas dérangé. Par contre je ne voulais pas de pétales de roses ou autre choses du genre. Cela aurait été beaucoup trop romantique et fait beaucoup trop jeune couple en lune de miel ou je ne sais quoi. Ce que nous n’étions pas.

Je gardais toujours la tête vers toi pour venir déposer un doux et tendre baiser sur tes lèvres. Ma bouche restant peut-être un peu plus longtemps que de raison sur la tienne je murmurais alors :

-          Merci Monsieur Quill … Pour … ce délicieux moment passé en votre compagnie.

A nouveau je déposais un baiser sur tes lèvres, mais cette fois ci beaucoup plus bref et rapide. Je relâchais alors enfin ta main, toujours prisonnière entre mes cuisses alors que je levais un bras au dessus de moi pour venir le passer sur ta tête et jouer un peu avec tes cheveux. Mine de rien tu avais quand même une sacré longueur. Je me laissais alors un peu redescendre sur ton corps, ma petite glissade étant arrêtée par un … piquet entre tes jambes. Je lâchais alors un petit rire amusé n’osant pas y toucher pour le soulager de peur de te faire mal.

-          Je crois que je ne suis pas la seule à avoir apprécié… Vos caresses.

Je levais les yeux vers toi, le regard plein de malice. Je me sentais mal de te laisser comme cela, mais quoi que j’envisage cela nécessitait un mouvement du bassin de ta part et donc … Le potentiel réveil de ta blessure encore bien trop fraiche à mon gout. Je fus alors surprise par le bâillement sortant de ma bouche que j’eu à peine le temps de couvrir de ma main libre. Ouvrant les yeux en grand après avoir commis cette trahison de ma fatigue je fis une petite grimace, bien que, de là où tu étais je n’étais pas sûre que tu la vois.

-          Visiblement vous m’avez un peu trop fatiguée et j’ai besoin de repos comme vous.

La courte nuit dernière et les récents évènements avaient donc bien plus entamé mon énergie que j’avais bien voulu l’admettre. Etre garde malade ce n’était pas de tout repos. Certes j’avais dormi quelques heures mais j’étais tellement angoissée que mon sommeil avait été plus que fractionné, vérifiant à de nombreuses reprises que tu dormais bel et bien, sans être mort, évidemment.


-          M’autorisez-vous à dormir un peu dans vos bras, là, comme cela ?

Bon comme cela signifiait dans cette position, mais absolument pas dans ces vêtements. Je sentais déjà bien trop la chaleur de ton membre contre moi, entre mes cuisses et il ne fallait pas tenter le diable. D’autant plus que je ne souhaitais pas être surprise dans cette tenue. Sans attendre ta réponse je mutais alors rapidement disant adieu à ma petite tenue d’infirmière sexy.

-          Juste une petite demi-heure ? Vous ne m’en voudrez pas ?

Je me doutais connaitre ta réponse mais tu n’avais peut-être pas sommeil contrairement à moi. Rien qu’un petit temps de repos avant de te préparer deux ou trois choses avant mon départ pour te rendre la vie plus facile avec ta vilaine blessure.

J’avais donc opté pour un pantalon, très près du corps tout de même, de couleur noire ainsi qu’un petit pull  assez fin, en laine de qualité, lui de couleur moutarde avec tout de même un décollette assez profond, histoire que tu profites un peu de la vue, bien que … Tu commençais à bien connaitre cette zone de mon corps.

-          J’aime tellement m’endormir dans les bras …

La suite logique aurait été « dans les bras d’un homme que j’aime » mais en tant que grande handicapée des sentiments de cette nature là il était tout bonnement impossible pour moi de prononcer ces mots ci. J’espérais m’en tirer avec une petite pirouette qui était tout sauf habile.

-          Dans vos bras.

Bon… D’accord ce n’était pas le top … Mais … C’était quand même bien non ? Je relâchais alors tes cheveux avec lesquels je jouais depuis tout à l’heure pour prendre ta main qui venait juste d’être libérée de mon emprise et l’autre pour les passer autour de moi, les posant sur mon ventre? Cette fois ci promis je n’allais pas les faire monter ou baisser. Je m’arrachais un court instant de notre étreinte pour tirer un peu la couette sur nous tout en faisant attention à bien laisser ta jambe blessée découverte. Je revins rapidement placer mes bras contre les tiens, nouant nos mains ensemble, entremêlant nos doigts.

-          N’hésite pas à me réveiller.

Arf. J’avais encore oublié cette histoire de vouvoiement. Je pinçais mes lèvres un peu coupable mon nez se retroussant légèrement alors que je me repris d’une voix assez douce pour finir par dire docilement.

-          N’hésitez pas à me réveiller Monsieur Quill. 


Et c'est ainsi que je m'endormis dans tes bras pour quelques heures, jusqu'à ce que la sonnerie de mon téléphone ne nous réveille, indiquant pour moi l'heure de partir et de quitter le Milano. Te quitter toi, pour, je l'espérais une très courte durée. 
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