2 Juin 2024, au Milano En voyant que le professeur semblait captivé par la vision des planète pourtant mortes à première vue, Rocket ne pu s'empêcher de pousser la visite en survolant quelques unes d'entre elle, les plus accueillante, a la même altitude qu'un avion de ligne le ferai sur terre, descendant même suffisamment pour que le sol soit visible, ce qui fut le cas sur Mars.
L'émerveillement dont Joseph faisait preuve le faisait d'un coup parraitre beaucoup plus jeune, avec une flamme dans le regards que Rocket voyait pour la première fois et qui changeait drastiquement de l'air neutre et posé qu'il conservait durant leurs entretien. Bien qu'il n'y avait rien à gagner en retour de ce détour, qui au finale fut rapide, Rocket en éprouvait de la satisfaction en voyant le plaisir que semblait prendre son passager pour le voyage.
Ce fut alors le moment de s'aventurer bien plus loin, vers des mondes dont Joseph ignorait même l'existence, mais le système de navigation sembla en avoir décider autrement et au moment ou Rocket s'en rendit compte, il avaient déjà bien dévier de la trajectoire initiale, sans pour autant être perdu: Rocket savait pertinemment ou ils se trouvaient...
"Halworld..."
Il sembla un moment comme figé sur place fixant la planète qu'ils étaient en train de survoler, alors qu'un certain malaise s'était installé
"C'est la que j'ai été créer enfin... transformé. On peut dire que c'est ma planète natal, mais je n'ai aucune envie d'y remettre les pieds"
Tout en grommelant, Rocket pianota sur son écran de contrôle pour corriger la trajectoire et filer vers des mondes plus accueillants selon lui
Le voyage hyperspatial. Le rêve de l’humanité depuis qu’elle imaginait voler parmi les étoiles. C’était aussi impressionnant que ce que Joseph s’était figuré : des lumières inconnues, une déformation complète de la réalité, une vitesse incroyable pour rejoindre des mondes si lointains qu’on n’espérait même pas les rejoindre en moins de plusieurs siècles. La théorie de la Relativité d’Einstein volait en éclats à cet instant, prouvant que l’humanité avait encore du chemin à faire pour s’élever au rang de civilisation galactique.
Ils sortirent soudain de cette sorte de tunnel aux bords abstraits, aux abords d’une planète inconnue, entourée d’étoiles inconnues. De nouvelles constellations, de nouveaux mondes. Toutefois, son hôte ne semblait pas satisfait : il s’agissait de son monde « natal ». À la lumière de leurs entretiens, Joseph savait très bien que les origines de Rocket étaient un souvenir malheureux, aussi ne fit-il aucun commentaire. Il se contenta de regarder la planète le temps que le malaise se dissipe.
Une planète étrange, en vérité. Outre le grand anneau qui cerclait une large orbite autour de la planète, il pouvait apercevoir pas moins d’une demi-douzaine de lunes orbitant selon des axes variés. Cette vision avait de quoi questionner l’astronome amateur qu’il était, se demandant comment cette concentration d’astres arrivaient à soutenir leur danse silencieuse sans se heurter et provoquer une catastrophe qui aurait définitivement rasé toute vie à la surface de la planète.
Ses interrogations faillirent lui faire manquer une autre étrangeté, qui pourtant donnait son nom à la planète : même de là où ils se trouvaient, on pouvait distinguer une frontière erratique courant d’un pôle à l’autre de cet étrange monde : une moitié était un territoire marron-gris couvert d’épais nuages grisâtres, tandis que l’autre était verdoyante et bleutée comme un joyau. C’était sans nul doute cette particularité qui valait à cette planète le nom de Halfworld.
Joseph se garda de faire des commentaires et quitta le monde du regard pour ne pas donner à Rocket de pression supplémentaire, alors qu’il était visiblement pressé de quitter cet endroit. Assis au fond de son fauteuil, il se prépara au prochain saut dans l’hyperespace.
Mettez-vous à l'aise, vous êtes entre de bonnes mains désormais
2 Juin 2024, au Milano alors que Rocket pilotait habilement le vaisseau, lorsqu'il se rendit compte un peu trop tards du bug du système de navigation, Il s'étaient retrouvé, avec Joseph, sur l'orbite de Halfworld, la planète qu'il avait fuis depuis ce qui lui semblait une éternité. Après l'avoir fait savoir a Joseph, espérant ne pas pour autant lui avoir gâcher le voyage, il reprit la bonne direction en s'assurant cette fois ci du bon fonctionnement de tout les systèmes. Une fois bien loin de la maudite planète ou lui et ses congénères avaient été torturés a de nombreuses reprises a des fins scientifiques, il parvint finalement a se délier la langue, apportant quelques détails inattendus sur son passé
"on était une petite poignée de fuyards survivants, mais seul deux d'entre eux m'ont suivit, jusqu'au jour ou on a été séparés au cour d'une mission qui a mal tourné. A présent il ne reste plus que moi"
Il resta un moment nostalgique, pensant aux amis qu'il avait perdu, alors que le vaisseau filait a présent vers une planète bien connu et que Rocket savait accueillante: Xandar.
"On arrive bientôt a la capitale de l'empire Nova. Cette planète s'appel Xandar. On y est bien vu et toujours accueillit en héros, enfin... surtout Quill..."
Une légère amertume, un rictus inperspectible... Rocket souffrait toujours plus ou moins d'être au second plan par rapport a son frère d'arme, et cela était une des raison inavouable qui le retenait sur terre: Sur la planète bleue, c'était lui qui avait le beau rôle aux cotés des Avengers, en tout cas, jusqu'à maintenant, même si le jour des héros avait bouleverser bien des choses, le faisant passé de protecteur a victime. Qu'il le veuille ou non, Rocket s'était retrouvé sur la liste des blessés, mis hors combat bien trop tôt a son gout
Alors qu'il amorçait l'atterrissage, il se demandait ce qu'il pourrait bien faire visiter a Joseph
"Il y a de tout ici, musée, boutiques, et surtout, beaucoup d'attrape-touriste. Ca n'existe pas que sur terre ce genre de chose. évitez de vous faire avoir, ils sont doués pour vous refiler de la camelote a des prix exorbitants "
Une fois le vaisseau posé, Rocket coupa tout les réacteurs et s'apprêta a descendre, invitant Joseph a faire de même
"Et pas besoin de scaphandre, l'atmosphère est respirable pour tout les êtres vivants"
Si la gêne et l’amertume de Rocket n’étaient pas évidents, surtout de dos, il était pourtant facile pour le psychologue de déduire qu’elles devaient être présente, à la lumière de leurs précédents entretiens. Mais ils n’étaient pas séance et, pour une fois, Joseph était bien trop absorbé par ce qu’il découvrait pour se laisser aller à ses vieux travers. Ça ne l’empêcha toutefois pas de noter mentalement l’existence de deux personnes dont Rocket ne lui avait jamais parlé. Une information dont il se rappellerait sûrement lors leur prochaine séance.
L’arrivée à Xandar effaça très rapidement les restes de gêne qui auraient pu persister dans l’air. Cette fois, le spectacle était époustouflant pour Joseph : on y était, une civilisation extraterrestre, terriblement cosmopolite, noyée dans un flot de technologies surréalistes tout droit sorties d’œuvres de science-fiction : hologrammes, voitures volantes, races extraterrestres multiples, tout ça était visible déjà depuis la haute atmosphère de la planète. Aucun doute que ce monde méritait son titre de capitale impériale.
Tandis qu’ils amorçaient la descente au spatioport, Joseph observait tout en détail, cherchant à garder en mémoire chaque image de ce monde extraordinaire. Et c’était chose difficile, parce qu’il y avait beaucoup à voir. Par politesse cependant, il reporta son regard et son attention sur Rocket lorsque ce dernier lui décrivit les grandes lignes de ce qui se trouvait aux alentours. Le fait que cette zone soit touristique était ironiquement normal par rapport au reste, songea-t-il en secret.
Mais une chose vint heurter l’esprit terre-à-terre de Joseph : l’argent. Et plus encore, la langue. Rocket parlait certes Anglais couramment, mais ce n’était sûrement pas le cas d’autres extraterrestres. Après tout, il était l’étranger sur ce monde si loin de la Terre.
« Euh, avant de descendre » dit-il en détachant sa ceinture, « Quelle est la devise utilisée ici ? Et y a-t-il une langue commune ou, rêvons, des traducteurs automatiques ? »
Mettez-vous à l'aise, vous êtes entre de bonnes mains désormais
2 Juin 2024, au Milano Rocket oublia bien vite l'incident de navigation qui avait fait remonter à la surface un passé qu'il avait jurer d'oublier, pour ne pas se remémorer la perte de ses deux premiers compagnon de route, après avoir partagé plusieurs aventures, des joies, des peines et aussi des dispute, des rivalités... bien qu'à l'époque il aurait volontiers filer une bonne paire de claque à son coéquipier, aujourd'hui, Rocket aurait donné n'importe quoi pour le revoir au moins une fois vivant en face de lui.
Il garda ces pensées pour lui même, afin de se concentrer sur son activité du moment, à savoir: s'improviser guide touristique pour faire découvrir une capitale galactique impériale à un habitant de la terre. A défaut de renouer avec son passé, il était en train de réaliser le rêve d'enfance de son psychologue, qui ne mit pas longtemps à poser les questions existentielles, auxquelles Rocket répondit, comme si c'était une évidence:
"C'est simple, on a une monnaie galactique qu'on appel "unités" c'est à la banque que ça se passe pour le change, ça fonctionne comme sur terre, et pour ce qui est de la langue, je m'en occupe. A force de sillonner le cosmos, on apprends les principaux dialectes"
Il guida Joseph vers la banque galactique en question, tout en s'efforçant de garder un air détaché lorsque les passants lui demandaient si Star Lord était la. Bien qu'il ne puisse pas comprendre les échanges verbaux avec les habitants de Xandar, l'exaspération dans l'attitude et l'expression de Rocket ne pouvait pas tromper sur son ressentiment...
Joseph était étonné que les dollars puissent être changé dans une banque intergalactique contre les « unités » qui faisaient office de monnaie, mais il faisait confiance à son guide de ce point de vue. Pour ce qui était des langues, en revanches, ça promettait d’être plus compliqué. Certes, Rocket savait communiquer avec les autres extraterrestres, mais Joseph, lui, ne le pouvait pas, ce qui était extrêmement frustrant. Il se promit que ses premiers achats seraient des dictionnaires et des livres grammaticaux. Au moins pour le principal dialecte de l’empire de Nova.
Leur trajet vers la banque ne fit que confirmer cette pensée : il ne comprenait rien à ce qui se disait et le seul indice à disposition du psychologue était l’humeur de son guide qui se dégradait au fil des courts échanges qu’il avait avec leurs interlocuteurs. Il se demandait vraiment ce qu’ils avaient bien pu lui dire.
Arrivés à la banque, que Joseph considéra d’office comme un bâtiment de luxe étant donné sa démesure, sa haute technologie et l’espace de la pièce principale, ils durent faire la queue. Ne comprenant rien ni à ce qui était écrit, ni à ce qui était dit, Joseph se plaça derrière Rocket et attendit, ne sachant pas vraiment quoi faire.
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2 Juin 2024, au Milano Alors que Joseph semblait complétement perdu au cour des échanges avec les autochtone, Rocket se sentit un peu obligé de lui expliquer, afin de donner au moins une expliquation a la dégradation de son humeur:
"Ils n'arrêtent pas de demander si "Starlord" est la. C'est le condename Peter Quill. On était cinq a avoir sauver leurs planète, mais ils n'ont retenu que Starlord, comme si nous autres on avais compter pour du beurre. Enfin, a part Groot, qui a toujours ses fan bien a lui"
Dit-il en regardant le jeune arbuste tendre une petite fleur blanche a une fillette a la peau rose, coiffée de longue couette qui le regardait avec des étoiles dans les yeux, tendit que lui et Joseph faisaient la queue a la banque
"après ca on ira manger un morceau, en espérant que vous n'avez pas peur de gouter a de la nourriture de l'espace. Ca peut être surprenant, mais partez du principe que si c'est sur le menu, c'est que c'est comestible"
quand ce fut leurs tour, Rocket guida Joseph dans chaque étape du change, en lui faisant rapidement un topo rapide sur comment utiliser cette monnaie intergalactique inconnu des terriens
Joseph avait déjà entendu parler du nom de « Starlord », un nom qui, s’il changeait des habituels « spider-man », « iron-man » et autres noms en « man », reflétait selon lui un trouble assez problématique de l’égo. Il était difficile de savoir en quoi consistait exactement ce trouble, étant donné que les rapports le concernant étaient assez avares en informations, mais d’un point de vue strictement personnel, Joseph trouvait ce surnom assez pompeux. Il imaginait cependant que les habitants de l’empire de Nova ne connaissaient pas le sens de ce nom.
Il observa d’un air amusé Groot composé avec sa petite fan haute comme trois pommes, choisissant de ne pas rebondir sur les remarques d’autoflagellation de Rocket, afin de ne pas lui faire se sentir en entretien. Mais il garda tout de même l’information dans un coin de sa tête pour leurs futurs entretiens : son complexe ne venait pas de nulle part, visiblement.
Il leva toutefois un sourcil lorsque Rocket lui fit un rapport assez étrange et surtout très peu engageant concernant la nourriture locale. Était-elle à ce point difficile à regarder pour qu’on s’interroge sur sa comestibilité. Cela lui coupa l’envie de déjeuner sur place, mais il savait que dans une heure environ, à en croire sa montre, son estomac lui intimerait le contraire.
« Eh bien, » répondit-il avec un sourire mi-amusé, mi-gêné, « Je suppose que je vous laisserai choisir les plats, puisque je ne saurais pas lire le menu. »
Il écouta attentivement les explications de Rocket concernant l’utilisation de la monnaie de l’empire de Nova, ce qui s’avéra malgré tout difficile, son compagnon ayant tendance à prendre des raccourcis qui rendaient la compréhension assez complexe, mais Joseph parvint à en saisir l’essentiel. Il songea un instant qu’il aurait aimé que Miss Johnson soit avec eux, car elle aurait sûrement saisi bien plus vite que lui l’utilisation de toutes ces techniques futuristes.
L’étape suivante était vraisemblablement d’aller déjeuner. Bien que la montre de Joseph indiquât 11h44, les trois soleils de Xandar étaient bien loin de leur zénith. Ne connaissant pas l’axe de rotation de la planète, il était difficile pour Joseph d’estimer s’ils étaient le matin ou l’après-midi, mais la lumière des deux soleils principaux éclairait déjà bien plus que le soleil terrien un jour d’été. Alors qu’ils se rendaient à leur lieu de déjeuner, Joseph leva parfois le nez en l’air en se demandant comment un monde pouvait accueillir la vie dans un système à trois soleils, dont un bien rouge.
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2 Juin 2024, au Milano Rocket comprit a l'expression de Joseph qu'il n'aurait peut être pas du donner trop de détail sur la nourriture, car le sourir de celui ci semblait montrer des sentiments mitigé. Mais il était également conscient que la nourriture d'une autre planète, bien que parfaitement saine et normal pouvait sembler étrange a quelqu'un qui n'avait vécut que sur terre
"Vous en faites pas, je sais ce qu'il ne fait pas prendre. Groot, tu fera la cour a tes admiratrice plus tard, viens"
L'intéressé fit un petit signe a la fillette avant de rejoindre Rocket et Joseph. Il se trouvaient sur la place principale de la ville, qui semblait s'étendre à l'infinie et ou s'entrecroisait un certains nombre de passerelles
"Alors, qu'est-ce que vous en pensez ? C'est a cet endroit qu'on s'est rencontrer avec Peter et Gamora"
Il se garda de dire que la "rencontre" en question avait été un affrontement en place publique, qui les avaient mener a une arrestations, puis tout droit en prison, avant qu'ils ne fassent équipe pour s'évader avec perte et fracas. marchant pendant quelques minutes, Rocket finit par désigner la vitrine d'un restaurant ou des plats étaient présentées sous une forme holographiques. L'ensemble donnait une certaine esthétique qui mettait en appétit
Il était difficile pour Joseph de résumer sa pensée en quelques mots seulement pour les lieux tout bonnement extraordinaires qu’ils traversaient. Certes, il s’agissait probablement de la norme ici, mais chaque mur, chaque hologramme, chaque passant lui rappelaient sans cesse qu’il vivait sur une planète qu’on aurait pu qualifier de primitive par rapport à cet endroit. Son regard passait sur les habitations, les toiles, les toits, les rambardes, les véhicules, peinant à trouver un endroit où se stabiliser sur quelque chose de connu.
« Eh bien, pour faire simple, je suis très heureux d’être venu » dit-il finalement, incapable de mieux résumer son état d’esprit actuel.
Lorsque finalement ils s’arrêtèrent devant l’enseigne d’un restaurant, Joseph balaya du regard tant le menu holographique que la terrasse où ils allaient vraisemblablement s’installer. L’endroit était, technologiquement parlant, en dessous de ce qu’ils avaient vu jusqu’ici, mais ça convenait parfaitement à Joseph, d’autant que l’esthétique des lieux lui permettraient de retourner dans une zone de confort, chose dont il avait besoin pour se passer en tête tout ce qu’il venait de voir.
« Oui, ce sera parfait. Je suis navré mais je vous demanderai de me faire la lecture, en particulier d’un point de vue tarifaire. Je m’en voudrais de tomber à court d’unités dès maintenant. »
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