The surprise of the day.Luke Hunt & Jean Grey Jean me répondit que j’avais sans doute raison et elle mit ses épaules en avant comme si j’avais dit quelque chose que je n’aurai pas dû dire. Elle me demanda ensuite si mes parents étaient des mutants eux aussi. Je ne m’étais jamais posé la question et c’est quelque chose que je voulais savoir maintenant.
“Je dois avouer que je ne sais même pas si mes parents étaient des mutants. Je ne suis pas un mutant pur souche comme vous, mes pouvoirs se sont développés grâce à des expérimentations faites dans des bases russe en les années 1920. Et mes parents sont morts avant d'avoir mes pouvoirs”
Voyant que la nuit commençait à tomber, je me dit que Jean devrait bientôt rentrer à l’institut avant que la nuit ne tombe.
“La nuit est en train de tomber, il faudrait peut-être que tu rentres à l’institut avant qu’on remarque ton absence, non? Si tu veux je pourrais t’accompagner comme ça tu ne sera pas seule?”:copyright: Justayne
Des expérimentations dans les années 20 venait-il de dire, avec une légèreté si déconcertante qu'elle n'avait point osé s'en étonner ouvertement. Avait-elle seulement bien entendu ? L'observant longuement, ses sourcils légèrement froncés par la confusion, comme si elle avait été suspendue aux mots qui venaient d'être ici énoncés, Jean se formulait intérieurement quelques interrogations qui n'osaient pas encore franchir la barrière de sa gorge : il semblait être bien trop jeune pour l'âge que cette date lui allouait, alors comment pouvait-il dire vrai ? Et quand bien même c'était fidèle à la réalité, par quelles souffrances était-il passé avant d'arriver jusqu'ici ? N'osant point imaginer les terribles tortures qu'il avait dû endurer, et se flagellant mentalement pour l'avoir verbalement agressé un peu plus tôt, la rouquine l'avait, un instant, regardé avec une compassion muette, avant de lui offrir un maigre sourire emplit de bonne grâce, comme une main tendue après la tempête.
« Je veux bien, oui. C'est très gentil Luke... Merci. »
Sa voix s'était faite fluette, basse mais étrangement bienveillante envers lui, et elle s'était aussitôt mise à marcher, ses mains encadrant ses coudes pliés. Ses bras entourés autour de son buste de femme, elle avait fait quelques pas le menton baissé, ses longs cheveux roux retombant sur son épaule en camouflant la moitié de son visage. Finalement, ne tenant plus, piquée au vif par une curiosité indocile, Jean avait fini par redresser sa nuque. Mordillant brièvement le coin de sa lèvre, elle avait fait éclore sa voix dans un élan hésitant, n'étant pas tout à fait sûre que c'était une bonne idée de poser une question pareille, mais avant qu'il y pense, il était déjà trop tard pour reculer.
« Tu n'es pas obligé de me répondre et j'ai peut-être mal entendu mais.... Des expérimentations dans les années 20...? »
THE FIRE FINDS A HOME IN ME ᭸ clipped wings, I was a broken thing, had a voice but I could not sing. there's a scream inside that we are frightened,we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we are frightened, I’ll shout it out like a bird set free.
The surprise of the day.Luke Hunt & Jean Grey Après avoir dit que j’avais été sujet à des expérimentations dans les années vingt, je vu sur son visage de la confusion et de l’étonnement. C’était normal surtout qu’elle devait se demander comment c’était possible que j’ai l’air d’un homme de quarante ans alors que je suis en début 1900. Elle ne me posa pas la question que tout le monde me posait d’habitude et répondit seulement qu’elle voulait bien et que c’était très gentil avant de me remercier.
“C’est normale, je te suit car je connais pas le chemin”
Dis-je en lâchant un petit rire. On commença a marcher et pendant que l’on marchait je voyais qu’elle mourait d’envie de me poser une question et j’eu l’impression qu’elle avait un peu froid. Je retira ma veste pour finir en chemis blanche avec une cravate noir attaché, je mit la veste sur ses épaules en lui donnant un sourire. C’est alors qu’elle me demanda si j’avais bien dit les années vingt car elle pensait avoir mal. Elle m’avait dit que je n’étais pas obligé de répondre et je trouvais ça très gentil et soucieux.
“Non tu a bien entendu, je suis née le 13 février 1900. Les expérimentations que j’ai subi m’ont donné le don de vieillir bien moins vite que les gens normaux. J’ai actuellement cent dix-neuf ans à mon actif et j’ai l’air d’en avoir quarante. Ne t'inquiète pas j’ai l’habitude que l’on me pose la question et ça ne me dérange pas de répondre.”:copyright: Justayne
« Tu es sûr que ça ne te dérange pas ? C'est un peu en dehors de la ville alors ça te force à faire un sacré détour et tu n'es pas obligé... »
Pensant qu'un homme tel que lui avait bien mieux à faire de sa soirée que de raccompagner une mutante aussi empotée qu'égarée, Jean se sentit une nouvelle fois grandement reconnaissante envers lui, mais également secrètement rassurée de le savoir à ses côtés. Si sa vie à l'Institut était bien plus que confortable, ne lui permettant guère de se plaindre sur son niveau de vie, la rousse ne pouvait cependant pas se targuer d'avoir des liens paisibles avec les autres élèves, qui la toisaient souvent comme si elle était un monstre effrayant qu'il était préférable d'ignorer. L'était-elle ? Jean n'était pas tout à fait sûre de pouvoir les contredire, mais la compagnie de Luke lui permettait d'oublier, un instant, sa solitude.
Lorsqu'il déposa sa veste sur ses épaules graciles, ses doigts fins remontèrent instinctivement sur les bordures de celle-ci, l'ajustant sur ses épaules dans une tentative vaine de la plier à sa silhouette : peine perdue car, elle était bien trop chétive et petite par rapport à Luke, si bien que la veste du costume retombât jusque dans le bas de son dos, dissimulant même ses mains dans les manches. Amplement touchée d'une attention aussi délicate, elle lui avait offert un énième sourire avant qu'il ne se mette à parler, car les mots qui prononcèrent eurent raison de son rictus jovial.
« 119 ans... »
Avait-elle répété pour elle-même, tandis que des frissons couraient le long de sa nuque ; à présent, elle avait réellement froid ! Ses sourcils contrits, son cerveau fourmillant d'images effarantes composant le supplice enduré par le brun, elle avait senti son coeur se serrer. Profondément emphatique, dotée d'une âme sensible qui absorbait les émotions d'autrui, elle n'avait pu rester de marbre, quand bien même sa réaction paraissait démesurée.
« Je n'ose même pas imaginer ce que tu as dû vivre... Je suis tellement désolée pour toi, personne ne devrait avoir à vivre une telle chose. Tu n'es pas un monstre, tu m'entends ? Ne dis plus jamais ça. »
L'autorité ne seyant pas véritablement ses traits encore juvéniles, car elle était bien trop douce pour aborder une quelconque sévérité, Jean avait fini par sourire presque d'auto-dérision face à lui. Néanmoins, il ne pouvait douter de ses bonnes intentions, car elle était réellement soucieuse de chasser cette sombre idée de son esprit.
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The surprise of the day.Luke Hunt & Jean Grey La jeune rousse me demanda si j’étais sûr que ça ne me dérangeais pas de l’accompagner car c’était en dehors de la ville et que ça me ferait faire un sacré détour. Elle était vraiment attentionnée et c’était vraiment gentil. Je vis et sentit que quand je lui mit la veste elle eut un vrai coup de froid et plongea même ses mains dans les manches trop grandes pour elle.
“Je t’assure que ça ne me dérange pas mais j’ai l’impression que tu as froid, tu veux que j’appelle une voiture? Tu auras moins chaud et ça te permettra de moins te fatiguer.”
Lorsque je lui avoue mon âge, elle eut comme un moment d’absence et répéta mon âge comme si elle n’y croyait pas. Elle finit par dire qu’elle n’osait même pas imaginer ce que j’avais pu vivre, elle était désolée pour moi et dit que personne ne méritait de vivre une telle chose. C’est alors qu’elle me dit sur un ton presque autoritaire que je n’étais pas un monstre et que je ne devais plus dire ça.
“C’est très gentil de ta part mais même si j’ai subi beaucoup, j’ai fait beaucoup de choses aussi et pas forcément de bonnes choses. Malheureusement, le titre de monstre me va bien même si tu ne me vois pas comme ça. Il y a beaucoup de choses que tu ne connais pas sur moi et qu’il faut mieux que tu ne connaisse pas car tu ne me regarderais pas de la meilleur façon.”
J’avais préféré être honnête avec elle plutôt que de lui mentir et qu’elle découvre la vérité par elle-même. Une partie de moi voudrait garder contact avec elle car c’est une jeune fille exceptionnelle mais l’autre partie espère la faire fuir car je sais qu’elle souffrirait en restant près de moi.:copyright: Justayne
La nuit était à présent tombée, l'obscurité avait envahi les dédales et les ruelles, alors faiblement éclairées de quelques lampadaires jaunâtres. Le vent glacé venant importuner sa peau dévoilée, Jean avait enfoui ses mains —et le tissu des manches, dans les poches de la veste, essayant de réchauffer ses doigts crispés par le froid tandis qu'elle marchait toujours, n'ayant guère interrompu ses pas. Lorsque Luke proposa d'appeler un taxi, elle avait pressé ses lèvres l'une contre l'autre en haussant mollement ses épaules, presque, d'un air désolé.
« Je n'ai pas d'argent sur moi... Et puis j'ai lu dans une rubrique que c'était bon pour le cœur de marcher ! Il parait même que le froid ça converse... Enfin, toi, tu n'as pas besoin de ça du coup... »
Taquine pour détendre l'atmosphère, elle avait froncé son petit nez en retenant un rire amusé tandis qu'elle lui donnait un faible mouvement d'épaule, ne voulant surtout pas risquer de sortir ses mains de ses poches, dans lesquelles elles commençaient à peine à se réchauffer. Ils arrivèrent enfin dans une rue un peu plus peuplée, où les néons des bars se reflétaient sur les trottoirs agités, sur lesquels riverains et fêtards d'un soir roucoulaient en trinquant gaiement. N'ayant pas véritablement l'habitude d'assister à ce genre de scène, elle n'avait pu s'empêcher de les observer quelques secondes, avant de reporter toute son attention sur Luke. Il semblait croire que ses actes le condamnaient irrévocablement, ne lui offrant point la possibilité d'un autre chemin, quand bien même il témoignait des qualités de cœur indéniables. Restant silencieuse quelques secondes, songeant à un moyen de le faire changer d'avis, la rouquine avait finalement fait quelques pas devant lui, le forçant ainsi à s'arrêter face à elle alors qu'elle était obligée de lever le menton pour le regarder.
« Tu sais, je crois que personne ne naît en étant mauvais. Personne ne vient au monde en voulant répandre le sang et le désordre, personne ne vient au monde en étant un monstre. Ce sont les autres qui nous poussent à le devenir. Et quand je te regarde, je vois tout sauf un monstre. »
Sinon tu ne m'aurais pas aidé, aurait-elle pu rajouter. Sinon tu ne consacrerais pas ta vie à éradiquer les vrais monstres. Mais elle s'était tue, préférant laisser le coin de ses lèvres dévoiler un sourire complice, tandis qu'elle reprenait sa marche devant lui, ne lui laissant même pas l'occasion de répondre.
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The surprise of the day.Luke Hunt & Jean Grey Jean me répondit qu’elle n’avait pas d’argent sur elle et qu’elle avait lu dans une rubrique que c’était bon pour le cœur de marcher, ajoutant même que le froid conservait mais que moi je n’avais pas besoin de ça. Je lâcha un petit rire avant de lui répondre:
“Tu sais quand je parlais d'appeler une voiture, je ne parlais pas d’un taxi. J’ai un chauffeur personnel que je peux appeler à tout moment mais c’est toi qui choisis.”
On marcha pendant quelques minutes jusqu'à arriver dans une rue plus agitée où des fêtards s'étaient installés pour s’amuser. Alors que je regardais ces gens s’amuser en chantant et en dansant, Jean me sortit de mes pensées pour me dire que personne ne naissait mauvais et que c’était les autres nous poussait à le devenir.
Elle me dit même que quand elle me regardait, elle ne voyait pas un monstre. Ce qu’elle venait de me dire m’avait fait chaud au cœur et j’étais content qu’elle ne me voit pas comme un monstre. Elle commença à avancer comme si elle ne voulait pas que je réponde, je couru un peu pour la rattraper.
“Je vais me perdre si tu m’abandonne ici, non plus sérieusement merci c’est très gentil.”
Je continuais de marcher avec elle, ne la quittant pas car je me sentais bien avec elle et que je ne voulais pas la perdre du regard.:copyright: Justayne
Décidément, cette rencontre ne cessait de l'étonner ; allant de surprise en surprise avec son interlocuteur, elle n'avait pas tout de suite rebondi sur ce qu'il venait de dire. Un chauffeur, vraiment ? Même si elle avait compris qu'il était issu d'un milieu aisé, et qu'il ne souffrirait donc pas de faire appel à son chauffeur, Jean ne voulait pas abuser de sa gentillesse, car elle n'aurait aucun moyen de s'acquitter d'une telle dette envers lui. Les bruits de la ville avaient fini par faire taire ses divagations, sous les effusions de joie qui s'élevaient dans les airs ; certaines voix riaient, chantaient ou parlaient fort, en étant parfois recouvertes par des musiques qui résonnaient depuis l'intérieur des établissements nocturnes. Ces gens avaient l'air heureux, insouciants, sans souffrance, ignorant tout des douleurs et des menaces que d'autres devaient affronter. Mais les apparences étant trompeuses, elle n'avait pu s'empêcher de se questionner à ce propos : qui peut réellement se targuer d'être une page blanche sans rature ?
Luke avait fini par la rattraper rapidement, se joignant à sa marche sans réfuter ce qu'elle lui avait affirmé quelques instants plus tôt ; un vague sourire complice ornant ses lèvres naturellement nacrées, elle avait tourné son menton vers lui tout en reprenant la parole, d'une voix presque malicieuse.
« Ce n'est pas gentil, c'est la vérité ! J'ai toujours raison, c'est un fait... »
Le froid augmentant au fur et à mesure que la nuit avançait, la rouquine avait enfoui son menton dans son cou blanc, son souffle se transformant en une fine buée blanche que le vent emportait au-dessus des nuages. Finalement, elle n'était plus tout à fait sûre que marcher dans le froid jusqu'à l'Institut était une idée ingénieuse, c'est pourquoi elle avait de nouveau posé son regard sur Luke, ne sachant pas réellement comment tourner ses mots afin de ne pas ressembler à une profiteuse, car c'était bien loin d'être le cas.
« Je suis gelée... Je suis d'accord pour que tu appelles ton chauffeur mais j'insiste pour te rembourser, alors. »
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The surprise of the day.Luke Hunt & Jean Grey Après avoir rattraper Jean, elle tourna le regard vers moi avant de me dire que ce n’était pas de la gentillesse mais la vérité et qu’elle avait toujours raison. Je restais silencieux face à ces mots tout en continuant de la suivre dans cette rue. On marchait et je sentais que le froid se levait et que nous allions finir gelé si nous continuons de rester dehors. Avant de pouvoir dire quelque chose, elle se tourna vers moi et dit qu’elle était finalement d’accord pour que j’appelle mon chauffeur mais qu’elle me rembourserait.
“D’accord je vais l’appeler mais tu n'as rien à rembourser, c’est son métier je le paye pour ça.”
Je sortis mon téléphone, chercha dans mes contacts et appela mon chauffeur."Vient nous chercher à ma position.” Je rangea mon téléphone, me tourna vers Jean et lui souria. Nous marchions quelques instants avant d'arriver au coin d’un carrefour où nous vîmes enfin des voitures.Ce soir il n’y avait pas beaucoup de voiture mais assez pour éclairer la route et les alentours assez bien.
Je regardais les voitures passer quand je vis la mienne, un gros SUV noir arrivé et se garer juste devant nous. Mon chauffeur était un pro sinon il nous aurait percutés. J’ouvris la porte arrière droite et regarda Jean.
Le froid mordant de la nuit ne cessant de venir irriter ses joues pâles, ces dernières s'étaient piquées d'une teinte rosée tandis qu'elle sautillait presque sur place pour tenter de se réchauffer. Quelle idée de s'aventurer dehors sans être suffisamment couverte ! Pour sa défense, elle n'avait nullement prévu de s'attarder autant de temps dans New-York, car son escapade loin de l'Institut devait durer le temps d'un après-midi, mais sa rencontre avec Luke avait quelque peu bousculer ses plans.
« C'est justement pour ça que je souhaite te rembourser, parce que tu vas payer pour un trajet que tu n'aurais jamais eu à faire sans moi... »
Si ce dernier se considérait, à tort, comme un monstre, il agissait néanmoins comme une personne généreuse et désintéressée, soucieuse des autres et de leur bien-être. Orpheline, Jean n'avait que rarement été l'objet d'autant d'attentions, et peinait à se souvenir de la tendresse offerte par ses parents, du temps de leur vivant. Parfois, elle avait même du mal à se souvenir de leurs visages et de leurs voix, non sans en éprouver une certaine culpabilité. Lorsque Luke sortit son téléphone de sa poche, Jean avait pressé ses lèvres l'une contre l'autre en se faisant une drôle de réflexion intérieure : si elle avait mystérieusement basculé des années 80 jusqu'à cette époque moderne, sans vivre l'évolution du temps et du monde, Luke, lui, avait été témoin de la transformation et de la révolution technologique, tel un gardien privilégié de l'univers. Mais avait-il vécu toutes ces années en étant seul ? Avait-il quelqu'un pour lui rappeler qu'il n'avait rien d'un monstre ? Restant auprès de lui jusqu'à ce qu'une imposante voiture noire s'immobilise près d'eux, Jean lui avait adressé un sourire de remerciement avant de s'engouffrer à l'intérieur de la voiture spacieuse, où régnait une atmosphère plus chaleureuse. Après avoir poliment salué le chauffeur, c'est sans dissimuler son soulagement que Jean s'était installée sur le fauteuil le plus éloigné, apportant ses deux mains froides jusqu'à ses lèvres afin de souffler sur sa peau asséchée par le froid.
« Est-ce que tu vis ici, à New-York ? »
Demanda-t-elle à Luke en attachant sa ceinture, désireuse d'en apprendre plus à son sujet ; qui sait, peut-être pourraient-ils rester en contact ?
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