Il y a un instant, vous meniez votre vie normalement.
Désormais, le ciel est la Terre. Littéralement. Lorsque vous levez les yeux au ciel, c’est votre planète que vous voyez. Puis lorsque vous baissez de nouveau les yeux sur "Terre", vous vous découvrez sur une plateforme métallique fendant les nuages comme un vaisseau sur les flots. Un vaisseau spécial à défaut de spatial : il possède un réacteur et de la technologie mais ressemble pas mal à une ruine sans cela. Une plateforme ronde avec des excroissances. Une plateforme sur laquelle vous n’êtes pas seuls.
En son centre se tient un homme de grande taille. Ses cheveux broussailleux sont aussi noirs que ses yeux. Ses dents souriantes sont aussi blanches que ses vêtements ; un costume avec un t-shirt.
« Salutations Invité, commence-t-il amicalement en écartant les mains pour vous accueillir, et félicitations. Tu fais partie des rares à m’avoir tapé dans l'œil. Je t’ai donc invité.e. ici et maintenant. »
L’inconnu fait quelques pas vers vous. Son sourire évolue en une grimace amusée.
« Où et quand n’importent pas réellement. Pourquoi, c’est la question. Pour mon divertissement. Ne t’es-tu jamais demandé "et si quelqu’un de l’au-delà voulait faire s’affronter ses supers préférés en tournois" ? »
D’un pas sur le côté, votre "fan" s’écarte pour dévoiler une exacte copie de lui-même agissant en miroir vis-à-vis d’une autre personne. Chaque copie de l’homme vêtu de blanc désigne l’un de vous de sa main, comme une invitation.
« Voilà ton premier adversaire. L’unique règle est que ça soit spectaculaire. Si l’un de vous refuse de se battre, je fais s’écraser votre plateforme sur une ville. Bon match ! »
Après un clin d’oeil dans votre direction, l’homme vêtu de blanc disparait ; ainsi que son reflet du côté de votre adversaire. Vous êtes désormais à une dizaine de mètres l’un de l’autre, tous deux coincés sur un plateforme volante à moitié en ruines ; ce qui vous offre des moyens de vous mettre à couvert l’un de l’autre mais pas de réellement vous échapper.
Vous êtes actuellement deux par plateforme (il y a plusieurs plateformes mais vous n’avez pas vraiment le temps de regarder dans le ciel à la recherche des autres). Les duels organisés par votre mystérieux kidnappeur sont les suivants :
Illyana VS Peter Parker
Mantis VS Peter Quill
Félicia VS Lucy
Anthony VS Shufen
Pour rappel, il existe plusieurs techniques pour gérer le Joueur contre Joueur. La plus simple est de discuter par MP avec l'autre joueur sur les attentes de chacun puis de rédiger en conséquence. Il est aussi possible de se laisser du suspens et d'écrire dans son post les attaques effectuées par son personnage ; l'adversaire sera alors libre de résoudre leurs effets durant son tour et de proposer de nouvelles attaques de son côté. Attention à ne pas faire agir le personnage de l'autre mais à seulement proposer des coups. Ainsi qu'à être bon joueur et cohérent de son côté. Enfin, pour ajouter du fun et de l'aléatoire, n'hésitez pas à utiliser les dés ! Nous vous conseillons l'usage du "dé 6 Echec ou Réussite", mais ce n'est absolument pas une obligation
Rappelez-vous également que vos personnages possèdent les mêmes relations entre eux que dans la timeline du forum ; les matchs n'ont absolument pas été pensés pour le drama
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à contacter PNJ.
Bon jeu et bonne baston !
LES TROPHEES MARVEL WORLD
Spoiler:
Dernière édition par PNJ le Jeu 1 Fév 2024 - 11:06, édité 1 fois
Lucy Orchent The Lucky One
Messages : 1456 Date d'inscription : 10/02/2022 Emploi/loisirs : Héritière, inventrice, artiste performeuse, organisatrice de spectacle et de festivités, consultante au SHIELD, égérie, super-héroïne de la Marvel League
Il y a un instant, je faisais ma vie. Désormais, je m’en fais pour ma vie. Vous êtes épatés de la capacité de synthèse de la situation dont je fais preuve, hein ? Je peux faire mieux ! Genre tout résumer en un mot : WHAT ?!
Clint avait dit que cela arriverait. Que me déclarer super-héroïne m’amènera un nouveau type de tarés, celui voulant se mesurer à moi. J’imaginais pas qu’un mec en blanc pouvant téléporter les gens je-ne-sais-où-et-eux-non-plus pour les faire s’entretuer avec la menace de se la jouer dinosaure s’ils coopèrent pas ferait parti de mes "fans".
Surtout considérant que ledit "fan" a changé ma tenue. Je suis en combi blanche renforcée au kevlar et avec une ceinture portant deux pochettes pour smartglasses ainsi que deux passant pour holster de cuisses contenant des smartphones. Sachant que l’on y ajoute aussi les protèges-smartwatch aux poignets, deux là-encore, et on reconnait bien la super-héroïne milléniale ! Ou zoomer, selon la définition. Merci ma Chance, ou mon ravisseur mais lui ça me plait moins de le dire, j’ai été livrée et changée avec des @robeez ; mes petites abeilles robotiques. Combien ? Je sais pas. Pas tellement le temps de les compter. J’entends juste leurs bourdonnements autour de moi malgré le vent, chose impressionnante, et la musique, chose what-the-fuck, qui raisonnent sur cet astéroïde dont l’altitude me laisse perplexe quant à la possibilité de wifi et d’air respirable ; oui, dans cet ordre. Après, comme tout semble y être, on va tâcher d’y survivre !
Mon adversaire, à vue de nez et sans pied de nez à l’expression ni ailleurs du coup puisque justement on aimerait éviter les coups, est plutôt jolie et plus petite que moi. Je la suppose aussi plus musclée du fait de sa carrure. Et d’une certaine dose de stress de mon côté. Combien de temps que j’ai pas été impliquée dans un environnement propice au décès prématuré ? Je dirais "pas assez" mais c’est très subjectif. Un mois est plus objectif. Ou quinze jours à une semaine. J’ai pas le temps d’y réfléchir correctement !
Il faut que le combat soit de la bombe sinon c’est nous qui allons servir d’explosifs ! Je veux bien être qualifiée de bombe, sachant que c’est aussi le cas de la minette en face de moi, mais je préfère que ça soit du second degré. Pas chaude pour me faire exploser !
Non, je ne panique pas encore. Le mot important étant "encore". Ça va venir. Car, oui, lever le poing fermé et crier "Val" avant de désigner du même poing et de son index l’autre infortunée personne n’est pas de la panique. Après tout, c’est vers elle que mon essaim de drones s’en va pour essayer de lui planter ses dards hypodermiques et lui injecter du sédatif. Cela fait, je n’écoute que mon courage et plie bagage : c’est la fuite. La course vers les ruines à l’avant de l’astéroïde est plus zéroïque qu’héroïque mais voilà quoi !
Résumé & Hors Jeu:
Lucky panique, lance toutes les @robeez (essaim d’abeilles robotiques aux piqures sédatives) sur Félicia puis fuit vers les ruines pour essayer de se cacher.
@Felicia Hardy, tu as pu voir que la fin de mon post est en italique. Comme dit en privé, il s’agit de mon mode combat. Toutes les informations liées aux attaques de mon personnage vers le tien seront toujours mises en évidence ainsi. Les coups ainsi décrits sont proposés : tu y réagis comme tu le veux et le juge logique
The Lucky One
Dernière édition par Lucy Orchent le Dim 10 Déc 2023 - 21:27, édité 1 fois
Puppet MasterMaster of puppets, I'm pulling your strings Twisting your mind and smashing your dreams Blinded by me, you can't see a thing Just call my name, 'cause I'll hear you scream Master, master Just call my name, 'cause I'll hear you scream Master, master
Qu'est-ce que c'est encore que ce bordelElle était tranquille, à se tailler sa meilleure vie dans un festival de richoux en étant anonyme, heureuse de plumer ceux qui ont cru bon de réformer ce festival en machine à fric dans sa super tenue de circonstances, et ... et voilà. Alors qu'elle avait le code en poche, on venait de la téléporter. Et bordel de dieu, pardon les injures, mais ça fait mal au coeur, elle en a une nausée monstre tant ... tant c'est horrible ! Purée mais en plus c'est quoi ces manières ??? L'estomac dans les talons et la tête en vrac, Felicia Hardy ne remarque pas de suite qu'en plus du fait qu'on l'ai amenée ici par un espèce de dispositif magique ou technologique très violent, on lui avait mis la tête à l'envers. Son sac à casse encore en main, titubant un peu sur ses pieds de surprise, la voleuse grimace.
— Mais c'est quoi ce b****.
Et voilà qu'on lui dit qu'elle est la gagnante d'un super tirage au sort. Cool ? Où est l'argent ? Eh non il n'y a pas d'argent. Il n'y a que la gloire d'avoir été choisie pour se battre comme un chiffonnier dans une arène. Ses lèvres se pressent entre elles de contrition, son regard devient plus noir. Le discours de la voix l'agace, et ... et en plus il a le culot de la mettre dans le même bateau que les super ? alors elle ne sait pas d'où vient la voix, sur cette arène. Elle regarde partout, s'avance, et fait signe de ses doigts que le gars, la fille, le iel est complètement dingue.
— Euh. Allô ? Je ne suis pas un super héros. Je suis une voleuse. Vo-leu-seuh.
Mais il continue, sans doute porté par son égo, et son discours de soi disant maître d'une Panem flottante. Qu'est-ce que c'est casse pieds, ces gens. Elle râle, et finit par mirer son adversaire. Oh. Jolie rouquine. On croirait presque qu'une nouvelle Black Widow vient d'émerger. La bouche en coeur, et profitant bien de cette vue spectaculaire, la voleuse comprend néanmoins qu'elle doit se battre avec la dame. Et ça ... c'est mauvais.
Attendez. Il a dit se battre, mais pas comment se battre, pas vrai ? Donc ça sous entend qu'il y a des manières autres de se battre qu'en se tapant sur le nez. Enfin ... elle suppose ? ! Elle regarde la rouquine un instant avant de se rendre compte qu'elle déclenche déjà les hostilités. Bon, c'est pas tout ça, mais il fallait qu'elle voit les possibilités, en plus de devoir se protéger des ces espèces d'abeilles robot.
— Mais quelle misère !
Dit-elle, en commençant à stresser. Bon ! Elle court, essaie d'ouvrir en même temps son sac de casse pour sortir un truc qui lui permettre d'un peu tempérer l'essaim.
— Tu sais, je préfère qu'on dise bonjour avant d'attaquer !
Puis elle lance des espèces de boules pétard, qui claquent quelques robots. Ce n'est sûrement pas assez pour en venir à bout, mais ça va les ralentir. Enfin on espère ? ! En tout cas, malgré ces trucs qui la coursent pour tenter de lui enfoncer on ne sait quoi, le Chat Noir tient la cadence. Elle en vient même à rester non loin de l'impolie rouquine. Elle souffle, contrôle ses émotions, et tente de lui parler.
— Eh ! On pourrait discuter non ? T'as pas un rdv après ça alors ralentis !
Autant parler à un âne, on dirait qu'elle se dirige vers ces ruines. Bon c'est pas plus mal, parce que ça va lui donner la possibilité de se faufiler dans un encart, un trou, n'importe quoi qui fasse passer son corps. Il y en a un. Elle glisse, jure, mais passe. Et directement, elle bouche le trou avec son sac. tchac tchac, elle entend des trucs toquer contre le matériel à l'intérieur du sac. Une fois la menace un peu passée dans sa cache étriquée, Felicia se permet d'hurler.
— Juste une précision, chérie ! Je ... t'es pas un robot quand même ? Non parce que vu comment tu essaies de me mettre direct K.O, tu as beau être canon, je me pose des questions !
- Feli tilte à l'annonce. Se battre. Mais se battre comment. N'importe quelle méthode ? - Felicia fuit face à l'essaim - Elle claque quelques robots avec ses pétards, mais pas grand chose - Elle suit la rousse, avec l'essaim aux fesses - trouvant une cachette étriquée, elle s'y glisse et utilise son sac pour boucher temporairement l'entrée. Des drones se coincent dans le matériel. - Elle essaie de parler à son adversaire;
Dernière édition par Felicia Hardy le Lun 11 Déc 2023 - 9:55, édité 3 fois
Peter Quill Star-Lord
Messages : 2283 Crédits : Malice & Sholarimas (Aesthetic) Date d'inscription : 26/03/2023 Age : 44 Logement(s) : le Milano QG des Avengers Emploi/loisirs : Défendre la Galaxie / Musique et Ciné
Il était encore tôt. Je cherchais quelque chose à me mettre sous la dent. J'avais ma gym et mes exercices et je venais de prendre une douche. Mais j'avais une faim de loup. Je prenais beaucoup plus soin de moi maintenant qu'il fut quelques années en arrière. Je ne voulais plus jamais avoir des remarque comme moi "dans un kilo, t'es officiellement obèse !" Et donc, j'avais sérieusement repris mon corps en main. Mais au prix de pas mal d'effort. Il fallait se maintenir. Et les ennemis ne prévenaient jamais avant d'attaquer, alors il fallait se tenir près. J'avais vraiment pris nos entrainements au sérieux. Je profitais aussi souvent de la salle du QG parce qu'il y avait aussi une salle ou on pouvait utiliser les armes. J'avais donc pris tous mon matos : bottes, masque, attaché derrière mon oreille comme à l'accoutumée, et mes blasters le long de chacune de mes cuisses. Je me disais que je pourrais faire de la simulation.
Evidemment j'avais prévenu tout le monde que j'allais passer un bon moment dans la salle. Personne ne me chercherait donc. Mais les choses n'allaient pas vraiment se passer comme prévu...
En une fraction de seconde je me trouvais propulser sur une espèce de plateforme de la mort vraiment flippante, comme propulsé dans un portail. L'atmosphère était sombre et les bruits de fond très perturbants. Je me demandais ce qui m'arrivait quand un être avec une voix caverneuse et qui faisait du style match de boxe, parlait de sélection, de combat... et de quoi ? Si on refusait de se battre, on allait servir de projectile vivant, projeter sur une ville de la planète. Mais on jouait à quoi ? Et je devais me battre contre qui ? Je venais juste de prendre un douche, j'avais tout juste manger un morceau et j'avais pas prévu de jouer au punching ball pour le plaisir de je savais pas qui... Et c'était quoi le truc, on combat à mort ? Nan, nan, nan, je voulais pas tuer qui que ce soit. Fallait faire le spectacle qu'il disait, mais je voulais pas le faire son spectacle. On était dans la vraie vie là, et j'avais pas envie de me faire mettre minable par Dieu savait qui...
Ben j'allais vite déchanter quand je voyais qui on m'avait choisi comme partenaire de jeu, enfin de baston dans ce cas précis.
- Mantis ?
Mais c'était quoi ce tour de pass-pass à la noix. J'allais pas me battre contre ma frangine ! Mais les mots me revenaient en mémoire : "L’unique règle est que ça soit spectaculaire. Si l’un de vous refuse de se battre, je fais s’écraser votre plateforme sur une ville. Bon match !" Mais ils n'étaient pas sérieux ? Bon, on devait juste se battre ? Okay, mais on devait juste faire le spectacle. Ben il fallait juste qu'on fasse comme aux entraînements. Et que ça paraisse être une vraie baston. On n'avait déjà fait ce genre de truc avec Mantis. Et puis, les blasters étaient réglés au minimum. Donc, ça enverrait juste une décharge sans faire de dégats. Le but serait donc de ne pas s'entretuer. Mais fallait que ça fasse vrai. On n'avait pas vraiment le choix en vrai. Donc je devais m'approcher assez pour lui confier mon plan.
- Allez sœurette ! Une petite baston, ça te tente.
Un petit clin d'œil et elle devrait comprendre que je jouais. Mais fallait vraiment qu'on puisse se parler donc je m'approchais. Je glissais prêt d'elle et lui murmurait rapidement : "Comme aux entraînement et je te laisserais gagner. Du spectacle, on va leur en donner".
Et je mettais mon casque. Les blasters à la main, il fallait donner le change maintenant. Je lançais une première salve pour la faire réagir. Je priais pour qu'elle l'évite et nous allions passer aux choses sérieuses...
@Mantis
malice
PETER QUILL "N’oubliez pas que je suis à moitié humain. Ce qui fait que je suis à moitié stupide."
Dernière édition par Peter Quill le Mar 13 Aoû 2024 - 10:29, édité 1 fois
Lucy Orchent The Lucky One
Messages : 1456 Date d'inscription : 10/02/2022 Emploi/loisirs : Héritière, inventrice, artiste performeuse, organisatrice de spectacle et de festivités, consultante au SHIELD, égérie, super-héroïne de la Marvel League
C’est moi où la "Vo-leu-seuh" me reproche mon impolitesse ?! Nan mais parce qu’elle est polie elle quand elle "Vo-leu" les gens ? Parallèlement, Nathan me l’a souvent répété : "quand tu te bats, tu racontes pas ta vie". Contrairement à ce que semble penser ma compagne d’infortune, si, j’ai un rendez-vous après : avec la vie, justement. La mienne et celle de je-ne-sais-combien-de-personnes ; toute une ville. Si le mec en blanc est capable de nous téléporter et de faire vol-er ce tas de ferraille, chose littérale et non critique et je tiens à le penser au cas où il soit télépathe, le mec en blanc pas le tas de ferraille, quoi que lui aussi je suis pas à ça prêt… Enfin Bref ! J’en étais à courir me planquer en commentant les commentaires de ma commentatrice commentée ! Et à me dire que le gus, chose pensée en tout respect dû à ceux qui ne respectent pas le secret mental d’autrui, a surement les moyens de son ambition.
Dès que je suis planquée dans les ruines, je me dis que la combinaison purement blanche est surement pas le truc qui m’aide le plus dans ma situation. Super-zéroïne remarquable, ça pour sûr ! Maintenant on va tâcher de faire du contrôle du terrain et pour cela je sors l’un des deux smartphones. Adossée à un pilier qui me couvre suffisamment, je zyeute tour à tour chaque côté, le haut aussi (sait-on jamais) et l’écran. J’active au plus vite l’application de relai avec les @robeez et sélectionne l’une des synapses du groupe pour avoir un visuel.
« Juste une précision, chérie, me crie-t-elle en me faisant me demander qui est impolie à présent, mine de rien on n’a pas élevés les consommateurs ensembles que je sache ! Je… »
Moi aussi.
« T'es pas un robot quand même ? Non parce que vu comment tu essaies de me mettre direct K.O, tu as beau être canon, je me pose des questions !
- Nan, j’ai pas eu le temps de le terminer ! »
Lucky, minette, t’as commencé à te teindre quant t’avais 16 ans alors il serait surement temps d’arrêter d’être blonde à 23 ! Rangeant le téléphone dans son holster, je reprends ma marche puis une course d’endurance à destination d’une nouvelle planque. J’essaie tant bien que mal de sortir une paire de smartglasses en même temps, histoire de l’allumer et de me la passer sur le nez. Elle m’affiche l’application ouverte sur mon téléphone et me permet de découvrir, en plus de mon visuel, les @robeez ayant bien sédaté le sac qui leur bouche l’accès. Alors, Queenie, il va falloir que je corrige ce détail-là parce que t’a pas tout compris ma grande…
Je sors le téléphone et montre une main à cinq doigts avant de déclarer "Paul" puis de sélectionner le sac et de répéter sur les rochers alentours. Des cinquantaines d’@robeez commencent à se poser sur cela, recherchant des failles afin d’accéder à la vo-leu-seuh.
Résumé:
Lucky tâche de se rappeler ce que son entraineur et ami lui a appris tout en envoyant des @robeez par paquet de cinquante essayer de s’approcher de @Felicia Hardy.
Allongée sur le dos, Mantis observait sans vraiment le voir le plafond de sa chambre. Un nouveau cauchemar. Elle n’aurait pas pensé en avoir encore ; elle pensait que se confier à Peter, lui avouer qu’elle pensait être la fille d’Ego, débloquerait ce qui était bloqué et ferait disparaître les cauchemars. Quelque part, ils n’étaient pas exactement les mêmes, et ils étaient un peu moins réguliers. Mais une chose est sûre, ils la réveillaient tout autant. Elle soupira, essayant de décider si elle se levait ou non. Il était tôt, elle aurait aimé dormir un peu plus… Mais alors qu’elle fermait les yeux, les images revenaient la hanter. Un nouveau soupir et elle se poussa hors du lit… Elle s’habilla tranquillement et, d’un pas un peu las, elle s’approcha de la porte. Alors qu’elle tourna la poignée pour ouvrir, elle se sentit vaciller, tandis que tout autour d’elle changea. Mantis pouvait désormais regarder Terra en levant le nez vers le ciel, et du métal en baissant le nez vers le sol. Elle fronça les sourcils, perturbée, remarquant enfin l’homme au centre de la plateforme où elle se trouvait.
Si le changement de paysage l’avait dérouté, ce n’était clairement rien à côté des mots qui sortaient de la bouche de cet inconnu. Comment ça, tapé dans l’oeil ? Pour son divertissement ? S’affronter ? Mais Mantis n’avait aucune envie de d’affronter qui que ce soit. Elle voulait juste boire du café et oublier sa nuit loin d’être reposante. Mais le pire, c’était la menace qu’il proféra juste après : si on refusait de se battre, il ferait s’écraser la plateforme sur une ville de Terra. Horrifiée, Mantis chercha du regard qui allait devoir affronter…
“P-Peter ?”
Oh, non. Pas lui. Elle n’allait quand même pas s’attaquer à son propre frère ! C’est hors de question. Une bouffée de panique s’empara d’elle, tandis que son regard croisait celui de Peter, qui n’était clairement pas plus réjoui qu’elle de la situation. Pourquoi ce genre de coups tordus tombait étrangement toujours sur eux ? Mais la panique ne semblait pas partagée par son frère, qui lança une phrase assez légère avec un clin d'œil. Il avait quelque chose derrière la tête…Preuve étant ce qu’il lui a murmuré en s’approchant. D’accord… Il faut simplement faire du spectacle. Ça devrait pouvoir se faire. Elle hochait discrètement la tête.Son frère enfila ensuite son casque, et Mantis savait que les choses sérieuses commençaient donc.
L’instant d’après, Peter levait ses blasters pour tirer sur sa sœur. La jeune femme, nullement surprise par l’attaque soudaine, se jeta au sol pour esquiver, roulant au sol avant de se positionner accroupie, pour tenter de balayer les jambes de Peter avec la sienne.
Une île dans le désert. Une plateforme dans la galaxie. La sensation de grandeur est perturbante pour n'importe qui. Cependant, il allait falloir que les deux individus sur cette plateforme soient concentrés. Le premier personnage ne semble pas bouger. Il s'agit d'une silhouette capuchonnée et avec un masque à tête de mort. Un gilet par balle sur lequel l'on pouvait apercevoir divers équipements et un manteau de pluie noir qui ressemblait fortement à une cape. La silhouette ne semblait pas bouger d'un poil lorsque l'omnipotent personnage au sourire et aux vêtements immaculés lui parlait. Même lorsque celui-ci se divisa pour montrer son adversaire, une jeune demoiselle au charme asiatique, la silhouette ne tourna même pas le visage. Son allure était macabre et son absence de mouvement pouvait perturber n'importe qui. Reste à savoir de quelle trempe est faite la jeune femme qui avait été tiré au sort pour faire face à l'individu.
« L’unique règle est que ça soit spectaculaire. Si l’un de vous refuse de se battre, je fais s’écraser votre plateforme sur une ville. Bon match ! »
L'homme aux pouvoirs incommensurables semblait être sûr de ses capacités. Cependant, l'individu ne bouge toujours pas, même sous l'effet de la menace. Qui sait ? Peut-être que cette ombre avait elle-même des projets avant d'être téléporté en ces lieux ? Peut-être qu'elle a mieux à faire que de devoir assouvir les désirs d'une divinité égoïste ? Dans tous les cas, la capuche noire ne semble pas avoir le choix et ce n'est qu'après la disparition du mystérieux organisateur que la silhouette se met à bouger. Elle bouge sa tête lentement, très lentement… Le masque de faucheuse se met alors à observer la demoiselle. Cette ombre, cette silhouette, cet individu semble être totalement indéchiffrable. La dame ne peut pas observer son visage, simplement un masque doré. L'ombre ne semble pas vouloir hésiter. Il n'y a pas à hésiter. Elle semble avoir été habituée à traquer les autres et à chasser le gibier. Cela ne semble pas être très différent aujourd'hui.
L’être à capuche semble agripper quelque chose sur le côté de sa hanche. Le geste se veut rapide. Un pistolet. L’être vient de sortir un pistolet de son holster qui était situé vers sa hanche. Il pointe l’arme vers la demoiselle, visant son visage et tente alors de lui loger une balle dans la tête. Mais rien… La capuche noire observe alors l’arme en question. La divinité est-elle roublarde ? Après-tout, c’est elle qui avait mis cet accoutrement et cet équipement sur le dos de cette personne. Le pistolet semble totalement être défectueux et sera totalement inutile au combat… Tant pis. Le masque jette l’arme dans le vide et empoigne un couteau qui semble tomber de sa manche jusqu’à sa main. La silhouette ne semble pas réellement savoir qu’est-ce qu’elle a à disposition. Néanmoins, il faudra qu’elle le découvre. La carcasse prend alors une soudaine impulsion et semble courir vers son adversaire. Prêt à la trancher pour son salut.
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Quelque chose me disait qu'elle avait compris le message. Elle me connaissait assez pour savoir que je ne lui ferais pas volontairement de mal. Mais il fallait jouer le jeu parce que la vie de gens en dépendait. On pouvait donc jouer au jeu su chat et de la souris parce qu'on avait fait quelques exercices et des entraînements ensemble. Il fallait qu'elle puisse compter sur son agilité, ses astuces dans l'hypothèse qu'elle ne puisse pas utiliser son pouvoir.
Cela ne m'étonnait pas quand elle évitait mes tirs et qu'elle se laissait glisser au sol en passant sous les tirs, laissant glisser une jambe pour essayer de me faire un croche patte. "Ah ouais ?!" Elle retenait les leçons et je le savais. J'enclenchais donc mes bottes pour me soulever sur quelques centimètre et ainsi éviter le geste et je retombais quelque pas plus loin, me retournant aussitôt et balançant un bras tendu vers elle pour la viser encore d'un tir de blaster. Puis j'enchaînais avec mon autre main pour lancer un deuxième tir. Allait-elle les éviter encore ? Je ne doutais pas qu'elle pouvait le faire.
Je priais pour qu'elle puisse leur montrer de quoi elle était capable. Elle pouvait être plus rapide que moi. Surtout le temps que je me retourne et profite ainsi de mon demi-tour... mais devais dire que je ralentissais un peu mes gestes pour lui donner un léger avantage ? Non ! Mais elle s'en apercevrait. Elle me connaissait. Le tout était que cela amuse nos hôtes et face le spectacle espéré. "Vas-y sœurette, tente ta chance" pensais-je en silence...
@Mantis
malice
Spoiler:
Quill comprend qu'il doit faire au mieux pour donner le change et fait façon entraînement histoire de faire le spectacle puisque c'est ce qui est recherché... Mais veut pas faire de bobo à la frangine.
PETER QUILL "N’oubliez pas que je suis à moitié humain. Ce qui fait que je suis à moitié stupide."
Je veux dire, y a deux minutes, j’étais gentiment en train de me balader d’immeuble en immeuble, à surveiller les rues de mon quartier entre deux révisions pour mes partiels. Et voilà que je me retrouve… où ça en fait ? Sur une plateforme. Okay. En ruines. Très bien.
… avec un type vêtu de blanc qui me parle comme si on était genre les meilleurs potes du monde. Remarquez, c’est un truc habituel chez les méchants ça. De te parler comme s’ils te connaissaient depuis toujours ou, pire encore, comme si toi tu les connaissais. Ca doit être une question d’égo j’imagine. Y a pas un monde où ils acceptent de pas être connus du monde entier.
Bref. Passons. Ca me titille un peu qu’il connaisse ma véritable identité – pour pas dire que ça m’agace fortement. Mais pour le moment, je garder le silence. Et ouais, comme quoi, tout peut arriver. Je regarde autour de moi avant de souffler un « nan, je me suis jamais poser ce genre de questions complètement nazes. » Oui, bah j’allais pas rester silencieux aussi longtemps, faut pas pousser non plus. Je penche la tête sur le côté alors que j’essaie de piger ce qui se passe. Mais là encore, c’est raté.
Alors possible que je me dise que ce soit encore un de ces mauvais rêves que je fais en ce moment. Je me demande aussi s’il y a un lien avec Cauchemar et si je suis vraiment pas en train de faire une dépression nerveuse mais là, de suite, j’imagine que je vais devoir laisser ça de côté.
Parce que je réalise que je connais la personne en face de moi. « Magik ? Mais qu’est-ce que tu fiches ici ? Tu t’es paumée dans mon rêve ? » Ouais, ouais, c’est forcément mon rêve. « T’as entendu le type chelou ? Dans le doute… ça te dit qu’on se fasse une petite bagarre ? » Je tilte à peine qu’il y a d’autres plateformes et probablement d’autres types qui sont en train de se bastonner. Faut dire que, si c’est un tournoi, c’est pas un tournoi de deux. Logique donc. Même si la logique c’est pas ce qu’il y a de plus évident dans un rêve. « Je sais que l’idée qu’un truc s’écrase sur New-York doit pas vraiment te déranger, mais… imagine, ça tombe sur ton vendeur de milk-shake préféré ! Et puis, ça peut être marrant non ? » Surtout que le… truc-là, il a pas parlé de blesser, juste de faire un truc spectaculaire. Et ça, je suis à peu près sûr qu’elle comme moi on peut faire ça sans soucis.
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Hein ? C’est quoi ce répondant, sérieux ! Felicia lâche malgré elle un petit rire, aussi nerveux que fait dans la surprise de la réplique. Ok Power Ranger blanc ! Passé cette petite interlude, il semblerait que madame n’est quand même pas en capacité de vouloir parler. Bon ben il fallait un autre moyen pour le contact s’établisse, dirait-on. Et qui dit contact, dit contact physique ! Pour le moment, elle est encore à couvert, mais elle sent que si elle ne se dépêche pas assez vite, les espèces de drone abeille vont trouver une faille à sa cachette. Ni une ni deux, elle ouvre son sac dans un ZIP sec de la fermeture, sortant autant un masque à oxygène que des grenades à fumigènes. Il fallait juste espérer que ces espèces de trucs téléguidés n’aient pas de capteurs thermiques. Elle récupère aussi rapidement le dard d’un des drones qui s’est cassé quand elle a essayé de dégager son sac. C’est petit, ça a l’air toujours dangereux, mais ça lui sera utile, sûrement.
Les grenades finissent par rouler, et dégager leur contenu. Une épaisse fumée blanche se met à sortir autant de la cache qu’en dehors, et Felicia place ses pieds et genoux comme elle peut, de telle sorte à avoir une impulsion pour sa sortie. Bon, elle se rate une première fois il ne faut pas déconner car c’est étriqué là-dedans. Mais à la seconde, elle sort presque tout. Ne reste plus que ses fesses et jambes. Elle arrive enfin à se dépêtrer ! et court dans la fumée, avant de bondir dans les ruines, en espérant que cela avait laissé sur leur fin les drones. Qui ne vont pas tarder à revenir, sonder les lieux pour de nouveau la choper.
— Aller, ma belle ... sors de ta cachette .
Dit-elle tout bas, pour ne pas se faire repérer. Le masque enlevé et son sac encore en main (quoiqu’un peu sale et un tout petit peu troué par les dards des méchants drones), Felicia sonde les lieux, se faufile, glisse et joue comme ces gosses qui passent à quatre pattes d’un tunnel à l’autre dans un parcours d’air de jeux. Heureusement qu’elle est entraînée, parce que si elle avait été une simple et fichue humaine envoyée dans ce bourbier …
Enfin, elle trouve sa cible et reste aux aguets. Silencieuse, elle attend juste une opportunité pour tomber sur la Black Widow et … go ! Elle bondit, tombe sur son dos, et la fait rouler de telle sorte à ensuite la placer devant elle, qu’elle se croit en position de force et baisse sa garde.
— Ma, ma ! Vraiment mignonne. T’es la nouvelle Black Widow ? Sinon tu sais, on peut parler. Parce que se battre ça ne signifie pas forcément agresser l’autre avec des seringues pleines de produit ou se casser le nez
Et là c’est une vraie méchante. Ce serait bien sa veine.
- Felicia prépare de quoi sortir - Elle lance des grenades fumigènes, a un peu de mal à sortir de son trou de fortune, mais y arrive - Bondissant pour se cacher dans les ruines après cette mesure évasive, elle cherche la rouquine - Elle la trouve et lui tombe dessus, de telle sorte à l'utiliser comme bouclier - Elle essaie encore d'engager la conversation en flirtant
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![[terminé] Plaisir d'offrir, joie de recevoir ! Ige1](https://zupimages.net/up/24/27/ige1.png)
Allongée sur le dos, Mantis observait sans vraiment le voir le plafond de sa chambre. Un nouveau cauchemar. Elle n’aurait pas pensé en avoir encore ; elle pensait que se confier à Peter, lui avouer qu’elle pensait être la fille d’Ego, débloquerait ce qui était bloqué et ferait disparaître les cauchemars. Quelque part, ils n’étaient pas exactement les mêmes, et ils étaient un peu moins réguliers. Mais une chose est sûre, ils la réveillaient tout autant. Elle soupira, essayant de décider si elle se levait ou non. Il était tôt, elle aurait aimé dormir un peu plus… Mais alors qu’elle fermait les yeux, les images revenaient la hanter. Un nouveau soupir et elle se poussa hors du lit… Elle s’habilla tranquillement et, d’un pas un peu las, elle s’approcha de la porte. Alors qu’elle tourna la poignée pour ouvrir, elle se sentit vaciller, tandis que tout autour d’elle changea. Mantis pouvait désormais regarder Terra en levant le nez vers le ciel, et du métal en baissant le nez vers le sol. Elle fronça les sourcils, perturbée, remarquant enfin l’homme au centre de la plateforme où elle se trouvait. 
