Okay, ça, c’est trop bizarre. On ne peut pas lire un bouquin tranquillement sans être emmerdée ? Sérieux ! En plus, c’était à un moment super important, genre on allait voir si le mec insupportable allait se faire tuer quoi ! J’espère que oui, sinon ce roman est naze, mais je suis sûre que non, parce que c’est écrit par un mec. Du coup, je serais probablement frustrée en finissant le livre. C’est difficile de trouver un bon roman policier, j’vous jure !
Mais donc sinon plus sérieusement : Qu’est-ce que je fous ici ? Oh putain cette vue c’est ouf ! Le ciel hein, enfin la Terre, pas le reste. Le reste c’est moche, ça craint. C’est quoi ce bordel ? Qu’est-ce qu’il raconte lui ? Je fronce les sourcils, avant d’écarquiller les yeux, oubliant presque l’abruti qui fait son laius. Et j’ai un soupir de soulagement en récupérant Lockheed dans ma poche. Blanche. C’est quoi cette tenue de merde encore ? « Vous m’avez foutue à poil ? » Tu crois que c’est le plus important ? Bah quand même, ça compte ! Son divertissement ? Il se fout de moi là non ? Il croit que j’ai que ça à foutre ou quoi ? Si je lui coupe la tête, tu crois qu’il continuera de parler ? Je l’ignore. Mais étant donné ce qu’il est capable de faire, je doute que ce soit si simple. Peut-être que les plateformes s’écraseront toutes sur Terre. LES plateformes ? De toute façon, il disparaît et me laisse seule.
Enfin, non, pas vraiment seule.
« Spidey ? » Merde alors. « Il a vraiment mis de la musique ce connard ? » Je hausse un sourcil. « Ton rêve ? » Mais qu’est-ce qu’ils racontent tous ? Ils sont tous défoncés et je suis la dernière saine d’esprit ?… Putain, j’espère qu’ils comptent pas sur moi pour sauver le monde. Je lève la main, les sourcils froncés. « Hé ce n’est pas parce que je ne file pas ma tune en pourboire que je suis partante pour laisser une ville se faire pulvériser. » Je ne suis pas la plus philanthrope des personnes, mais qui laisserait faire un truc pareil ? J’avais plutôt été claire en lui disant que j’essayais d’être une gentille en plus. « A titre de comparaison, c’est vachement plus blessant que tu puisses penser que je m’en fous que quand je t’ai traité de miniature. » Un coup d’oeil à Lockheed. « Les milkshakes ET les hotdogs. Ce serait dommage oui. »
Je fixe le superhéros. « Pourquoi on serait dans ton rêve ? » Un sourire. « Tu rêves de moi ? Je suis flattée ! Ou je dois avoir peur ? » Un soupir exagéré alors que je range Lockheed dans ma poche pour le moment. « Du spectaculaire hein ? » Les étincelles bleues font leur apparition, en même temps que mon armure et mon épée. « ça doit pouvoir se faire ! Promis, je vais essayer de ne pas te faire trop mal. » Et je n’attends pas vraiment pour me téléporter près de lui.
Résumé:
Illyana est pas ravie d'être là, elle péterait bien la gueule de Mister Colgate. A défaut, comme elle a pas envie d'être responsable de millions de morts, elle joue le jeu et va bagarrer Spidey.
Logic will get you from A to B. Magic will take you everywhere.
Dernière édition par Illyana Raspoutine le Lun 11 Déc 2023 - 19:55, édité 1 fois
C’est quand j’entends les paroles de Magik que je me rends compte que je suis habillé en blanc aussi. Par réflexe, je me touche le visage, pour m’assurer que j’ai bien mon masque. C’est le cas donc. Décidément, ce rêve est vraiment trop bizarre. « Ouais de la musique d’ambiance. » Soufflé sans même y réfléchir, alors que j’ai des regards autour de moi, un brin décontenancé par sa question. « Biiiin… je vois pas trop ce que ça peut être d’autre. » Ou plutôt, j’ai pas spécialement envie de découvrir que ça peut être autre chose. L’idée même qu’un type nous ait kidnappés pour jouer dans une espèce d’arène hypercosmique super cheloue a quelque chose de vraiment flippant en fait.
Je tapote mon oreille, dans un vieux réflexe. « K.A.R.E.N ? T’es là ? » Pas de réponse évidemment. J’ajoute, d’un ton moins assuré. « E.D.I.T.H ? Y a quelqu’un ? » Bon, bin… personne donc. Je baisse les yeux pour regarder mes poignets. Mes lances-toiles sont bien là. Hum. « Hé oh, c’était vachement blessant de me prendre pour un fanboy de Spider-man ! Plus que de t’imaginer en avoir rien à faire. Mais oui, les hot-dogs aussi donc. » Hum. Je vais pas me la mettre à dos direct quand même.
Bref ? On en était où ? Ah ouais. Sa question-là. Je pique du nez, regardant mes pieds un instant. « Quoi ? Je… non ! Je sais pas ce que tu fais dans mon rêve ! Ptet que je rêve de Lockheed et que tu l’accompagnes ! » Et toc ! Non mais. Un hochement de tête pour confirmer ses paroles, alors que j’entends des coups de blaster, de feu ou de je sais pas quoi autour de moi, au-dessus, en-dessous. En bref, c’est un peu le bordel. Je bats des cils en voyant les étincelles et le reste qui apparait. « Ah ouais. T’es comme ça direct toi. » Un rire quand elle parle de pas me faire trop mal. « Je t’ai dit avec qui je me suis entrainé dernièrement ? Captain Marvel. Et ouais ! » Quoi ? Je dois éviter de me vanter ? Tu parles, parler jusqu’à saouler les gens fait partie de ma stratégie super subtile pour rendre dingue mes adversaires. Juste que des fois, ça rend aussi mes alliés complètement dingues, c’est pas terrible donc. « Du coup, tu veux qu’on fasse quoi ? » Je regarde autour de moi et j’avise un promontoire se distinguer dans les ruines qui nous entourent.
« Allez, on va s’amuser un peu donc… » Je fais bien de bondir en direction du tas de pierres, parce qu’à la seconde près, l’épée de Magik faisait mouche. Je peux voir les étincelles derrière moi et j’ai un rire, avant de me glisser derrière les ruines. De disparaitre pour réapparaitre de plus belle un peu plus, m’appropriant le terrain peu à peu. Je sens avant de le voir qu’elle s’apprête à bondir vers moi et, dans un réflexe digne de la petite araignée que je suis, je tends le poignet, expulsant un filet de toile qui va s’enrouler autour de ses chevilles. Je la vois trébucher tête la première en direction du sol et je grimace, accroché la tête en bas dans sa direction. « Oh mince ! Désolé ! Ca va ? »
Spoiler:
Bagarre Illyana vs Peter. 1er rond : Victoire Peter. 3 rounds gagnants.
Confusion. J’observe mon environnement, composé à présent de ruines et d’un ciel… Était-ce la Terre ? Je fronce les sourcils, me demandant comment j'ai pu atterrir ici. Il y a à peine un instant, j’étais derrière le bar du Devil’s, les mains occupées à secouer mon shaker. Est-ce que je rêvais ? Comme pour me conforter dans cette pensée, un homme vêtu de blanc apparaît devant moi, et son discours est aussi aberrant que le paysage autour de moi. Quoi, un tournoi à mort, comme dans les films ? Pour le divertissement de ce- mec ? Je ne suis pas une super-héroïne, il y a erreur. Non, décidément, ça doit être un rêve, ce n’est pas possible autrement.
Alors que j’essaye de me persuader que rien de tout ça n’est réel, l’homme continue tranquillement son monologue, dévoilant mon adversaire. Je fais face à une silhouette encapuchonnée, et tous mes signaux d’alarme s’allumèrent. Que ce soit réel ou non, un sentiment de malaise s'empare de moi… Pire que ça, un sentiment de danger qui me hérissait le poil. C’est à peine si j’entends la menace de notre kidnappeur, une menace qui me reviendra bientôt à l’esprit plus tard, quand j’aurais le temps de m’en soucier. Car alors que l’homme en blanc disparaît, l’inconnu s’anime soudain. Il l’observe. Ce que je ne peux pas faire, à cause de son masque. Moi ? Je reste immobile, une appréhension sourde de ce que pouvait faire mon adversaire m’immobilisant. Je ne laisse rien paraître, froide, gardant la face. Hors de question qu’on voit que j’ai peur. Bien sûr, ce masque que j’essaye de porter tombe bien plus rapidement que celui de mon adversaire, lorsqu’il lève une arme vers moi pour m’abattre. M’abattre est le mot, car il visait ma tête. Heureusement pour moi, l’arme ne fonctionne pas. Ma respiration, coupée lorsqu’il avait appuyé sur la détente, reprend soudainement.
Je profite qu’il soit occupé à se débarrasser de son arme inutilisable pour fouiller mes poches, rassurée de trouver ma flûte. Quand je relève la tête, il s’élance vers moi. Paniquée, je tente de porter la flûte à mes lèvres, mais elle glisse de mes mains et tombe, roulant trop loin pour que je puisse rapidement la rattraper avant que mon ennemi n’arrive auprès de moi. Je me mets donc en position de défense, prête à utiliser les quelques bases que j’ai en self-défense pour survivre le temps que je récupère ma flûte
Est-ce qu’essayer de trouver les failles d’un couvert lourd avec une fonction "aller là/suivre ça" est un enfer ? Totalement. Après, cela maintient peut-être la pression chez ma compagne d’infortune de savoir que ça grouille ; et cela me prépare à l’étape suivante de faire des groupes. Ladite étape étant le contrôle du terrain.
Sauf que.
Sauf que de la fumée commence à s’échapper du sac comme des ruines alentours. De quoi me faire serrer les lèvres et la gorge : je vais perdre les visuels. Délaissant les groupes de recherche manuelle, je déploie donc d’autres pelotons dans les alentours aériens. Contrôle du terrain, toujours. Je me passe une main dans les cheveux alors que je transpire de stress. Le nuage est très important quand même…
Je comprends que mon adversaire se déplace lorsque les @robeez sur son sac le font également sur mon écran. Ma gorge se serre tellement que j’entre en apnée et que mon cœur s’accélère. Est-ce que j’attaque ? C’est que du sédatif après tout. Je ne tue pas. Je commande un placement défensif autour de ma position, consciente que l’initiative m’appartient toujours. Initiative, check. Contrôle du terrain, en cours.
Reste à savoir si je m’expose ou pas. Dire que j’aime pas l’idée tient de l’euphémisme. Dire que j’ai le choix tient de l’illusion. Elle finira par me trouver. Autant le faire selon mes termes. Je reste donc sur ma position jusqu’à ce qu’elle m’en change ; et quel changement !
J’ai pas trop tout compris de ce qui est arrivé mais je suppose du Vovinam sauf que je finis pas par terre. Merci ma Chance ! J’ai les lunettes qui ont volé, dévoilant ainsi des yeux de chat perché, mais je suis accrochée à deux mains à mon téléphone comme à ma vie, crispée comme c’est pas permis et face à l’autre qui est un peu beaucoup passionnément à la folie trop près de moi pour mon propre bien et à mon propre goût ; la distance comme l’inconnue, d’ailleurs. Je suis sûre que ça aussi c’est fait exprès par le mec en blanc.
Si je ne savais pas bien comment réagir au face à face, j’ai les yeux qui s’arrondissent encore plus lorsque ma compagne d’infortune commence à me parler comme si elle voulait être ma compagne tout court. Ou me sauter, d’une manière ou d’une autre. Mes yeux se plissent de suspicion mais mes lèvres se plissent d’un sourire au compliment.
« T’es pas mal non plus, avoue-je en tâchant de me redresser, rengainant le smartphone avant de lever les mains en l’air avec les cinq doigts bien écartés. Et nos nez sont bien comme ils sont. »
J’aime bien le mien. Le sien aussi. De manière générale, je n’aime pas la violence. Surtout lorsqu’elle m’implique.
« Reste que je ne suis pas certaine de comment régler ça autrement. »
Je mise sur ma Chance pour réagir à temps s’il faut ordonner aux @robeez sur le sac d’attaquer. I’m the Lucky One !
Résumé:
Lucky repositionne ses pelotons d’@robeez afin de contrôler un périmètre, ne pouvant rien faire contre la fumée, et mise sur celles présentes sur le sac de @Felicia Hardy pour réellement la protéger. Elle fait face avec les mains levées et une méfiance attirée, prête à ordonner l’attaque comme à écouter.
The Lucky One
Felicia Hardy Membre du Devil's Club
Messages : 287 Crédits : Eze (aiwenore ) pour le crackship, l'aesthetic (love sur toi) - Avatar fait par mes petits doigts,
Puppet MasterMaster of puppets, I'm pulling your strings Twisting your mind and smashing your dreams Blinded by me, you can't see a thing Just call my name, 'cause I'll hear you scream Master, master Just call my name, 'cause I'll hear you scream Master, master
Il est vrai que dans la situation actuellecet espèce d’egoman à la voix de présentateur de Panem ne leur avait pas donné d’instruction précise si ce n’est que se battre et que ce soit spectaculaire. Et comment une voleuse pouvait faire en sorte que ce soit spectaculaire, hein ? En faisant la roue et en se tapant les fesses comme Pingu ? Elle se le répète en boucle, c’est une humaine lambda, pas une super truc machin de la justice. Même si dans la situation actuelle … ses aspirations disons bis-sexuelles sont fortement mises à rude épreuve (sans alcool cette fois), Felicia n’oublie pas qu’elle reste le genre à être survivante. Un sentiment qui a l’air d’être partagé par son adversaire qui a su se montrer jusque là pleine de ressources.
— Merci. Mais revenons aux chats à fouetter.
Felicia ronronne face à la flatterie, mais elle n’en oublie pas ce qu’elle s’apprête à susurrer à l’oreille de la rousse, en faisant bien évidemment en sorte, si il y a des téléspectateurs, de l’approcher d’elle pour que leur petite conversation reste à creux d’oreille.
— Ils veulent du spectaculaire, du croustillant. Tu sais comme dans ces jeux télévisés américains avec ces montages bateau qui montrent du drama. Toi et moi, on va leur en donner. Mais tu as plusieurs choix .
Faisant toujours exprès d’engager les choses d’une manière équivoque, Felicia lève une de ses jambes et s’étire en soufflant un coup.
— J’ai trois plans. Dans les trois cas, on leur donne ce qu’ils veulent sur le papier. L’un, on se drague comme maintenant et l’une de nous se soumet à l’autre dans une ambiance digne d’une romcom. Le deux, je me laisse faire, après que tu aies brisé mon petit cœur tout mou. Soit … on perd toutes les deux en se mettant K.O, d’un commun accord … avec notre propre signe durant le combat, ce sera notre feu vert.
Elle en profite pour toucher les cheveux roux, et être impressionnée de la douceur et du parfum.
— Si jamais on se revoit après ça, je veux ta marque de shampoing. Sinon, moi c’est Black Cat. Voleuse de riches et voleuse de secrets de beauté.
Voleuse de cœur avec sa tchatche, par moments. Ses lippes s’étirent.
— Fais moi confiance. Ces gens, ce sont majoritairement des hommes. Et on sait toutes les deux qu’ils ne sont pas adeptes de la br****tte intellectuelle, si tu vois ce que je veux dire ...
Un bruit de claquement de joues se fait entendre et Felicia se dégage. De la routine pour lui laisser enfin l’espace nécessaire.
— Alors. Tu me donnes ton numéro ? +1 …
Petite blague de drague, mais oui il fallait qu’elle donne sa réponse. Parce que même si certains doivent apprécier cette entremise, ils doivent aussi commencer à se poser des questions. Et on va dire qu’elle a encore quelques trucs à voler sur Terre.
- Feli profite de leur proximité pour évoquer son plan - Elle flirte, en même temps c'est Black Cat - Mais c'est aussi un moyen de détourner l'attention, qu'elles puissent élaborer leur plan de sortie. À deux, sous le nez de leurs agresseurs - Maintenant, il suffit que Lucy lui donne le numéro. Elle se permet de lui faire une dernière blague en se dégageant.
Hope you Know
I hope you know there's a part of you that lives in every note and every step I take along these broken roads that I've been walking and the time between us talking is so much longer now, but I still call you home. I hope you know. -byendlesslove
Elle ronronne. Est-ce que cela veut dire qu’elle aime le fouet ? Mon animal totémique est le chat mais j’ai pas particulièrement envie d’être fouettée, moi. Le fait d’être douillette, tout ça. Quant au spectaculaire… je me tends un peu plus sachant que la comparaison avec un string ne serait adéquate que si quelqu’un utilise la lingerie comme élastique de lance-pierre, considérant mon niveau de tension. Le spectaculaire, c’est mon métier. Juste pas ce spectaculaire-là. Lorsque des vies sont en jeu, notamment la mienne, je me passe du spectacle et lui préfère l’efficacité. Suis-je hors sujet dans l’affaire ? En danger, assurément. Tout comme une ville entière. Ce qui correspond entre des centaines de milliers voire des millions de personnes. Incluant l’autre qui s’approche de moi…
« J’ai pas vraiment le temps pour la télé, réponds-je donc en tâchant de maitriser au mieux mon rôle et en hésitant à user de la principale technique de combat de rue que je pratique : frapper aux yeux. Sauf quand j’y suis invitée. »
Trois plans. Ça fait un de plus que moi. Merci ma Chance, je préfère les tactiques. De son côté, elle propose le plan drague et soumission, le plan drama et soumission ou le plan suspens et explosion. Pire, elle tend sa main vers moi et je me tends tout autant ; ce qui n’est pas rien considérant combien je suis déjà tendue. "Si jamais on se revoit après ça" sous-entend d’autres plans que les précédents mais je tombe un peu des nues à la suite. Okay… je crois savoir pourquoi on s’affronte : cat fight.
« The Lucky One, réponds-je à la présentation avec un sourire exagéré, abaissant les mains pour me désigner. Riche et beauté. »
Ma provocation est inversement proportionnelle à mon aisance. Ou à la confiance que je peux placer en une inconnue qui semble le profil-type de mon opposition ; moyennant que les contraires se ressemblent. Et s’attirent. Je saisis l’idée mais ne vois pas comment l’exploiter. Ainsi je reste suspicieuse à mort histoire de ne pas mourir d’une chose ou d’une autre.
« Alors. Tu me donnes ton numéro ? +1…
- Je suis suisse. Mon indicatif téléphonique c’est pas +1… c’est +41. »
J’hausse les épaules en plaçant mes mains, doigts écartés, entre nous et dans la direction de l’autre.
« Maintenant, comme je n’ai pas assez vu de tes capacités d’acrobate, continue-je en te désignant des index. Paul. »
Une centaine d’@robeez réagit à l’ordre et entreprend de te foncer dessus alors que je serre tellement les fesses à l’idée que tu contre-attaques pour me les botter au lieu de fuir que je pense qu’elles sont capables de casser des noix. Double sens volontaire ! La commande donnée n’est néanmoins pas l’attaque et sédation. C’est le déplacement. Au cas où tu m’utilises comme bouclier non consentant !
Résumé:
Lucky tâche de donner le change avec la séduction et précise que son indicatif téléphonique n’est pas +1 mais +41. Elle incite ensuite @Felicia Hardy à esquiver alors qu’elle envoie cent @robeez servir d’écran sur elle ; le tout en anticipant servir d’écran elle-même ! Les @robeez sur le sac de Felicia étant déjà sur celle-ci, elles resteront immobiles
Mantis n’était clairement pas sereine. Est-ce que faire du spectacle, faire comme en entraînement, serait suffisant pour divertir le monstre qui les enlevait ? Et si elle blessait accidentellement Peter, pendant qu’ils s’affrontaient ? Elle savait bien qu’ils n’avaient pas le choix, mais elle avait peur. Très peur. Mais elle fait confiance à son capitaine… Non, elle fait confiance à son frère, et elle s’en tient au plan qu’il lui a susurré. Un salve de tirs, qu’elle évite avec agilité avant de lancer sa jambe pour le faire tomber. En réponse, il active ses propulseurs pour voler au-dessus de sa jambe.
De nouveaux tirs fendent les airs, des tirs qu’elle évite de justesse alors que son attention s’était portée sur la Terre, otage inconsciente pour les forcer à combattre. S’ils ne suivaient pas les directives, c’était des milliers, des millions de personnes qui dépendaient d’eux. C’était à elle de jouer ; elle avait remarqué qu’il se ralentissait un peu pour laisser une ouverture. C’était presque vexant, si elle ne savait pas que c’était pour ne pas la blesser. Elle espérait seulement que l’homme qui les observait ne le remarquerait pas.
Tout en esquivant les tirs, elle s’approcha et, saisissant le jetpack miniaturisé dans sa poche. Le collant sur son dos, elle s’envole au-dessus de lui pour se lâcher sur ses épaules. Elle s’est entraînée, elle sait comment faire son geste en maîtrisant un minimum pour ne pas lui faire très mal. Bien sûr, elle était tentée de l’endormir aussitôt, mais ça n’allait pas satisfaire leur kidnappeur. Elle allait essayer d’utiliser le poids de Peter pour le renverser et le mettre à terre. A lui de jouer, maintenant. “Ne te laisse pas faire, s’il te plaît… Il faut qu’il y croit.” pensa-t-elle tout en attaquant.
❝ La vie est un cadeau, mais qui parfois peut-être empoisonné. C'est à chacun de trouver son propre remède, pour ne garder que le cadeau. - Matthew Iakopa ❞
Janvier 2025 - Lieu incertain
Elle comprenait immédiatement le message. Mais je sentais sa frustration, sa peur. Comment et pourquoi nous avait-on mis dans cette situation ? Pour le simple plaisir ? Incroyable ! Mais il fallait faire comme si nos vies en dépendaient. Et depuis les révélations que m'avaient fait Mantis, les choses avaient pris une autre dimension. J'avais désormais une vraie sœur, qui avait un peu le même sang que moi et je ne voulais pas risquer de la perdre aussi bêtement.
Elle avait évidemment évité les tirs, de justesse soit, mais elle l'avait fait. Elle craignait toutefois que la subterfuge soit découvert et elle me demandait de ne pas me laisser faire. Je n'y comptais pas, mais je ne comptais non plus la blesser, du moins, pas de manière grave. On se battait l'un contre l'autre et le risque zéro n'existait pas. Alors il fallait faire comme aux entraînements et jouer le jeu à fond. D'ailleurs le premier coup, la première surprise allait arriver.
- Hey sœurette, les leçons ont payé je vois !
Elle avait enfilé le jetpack qu'elle avait sûrement gardé dans sa poche. Elle l'enfilait et me rejoignait. Elle m'attrapait et m'entrainait avec elle pour me projeter au sol. La petite maligne ! Elle était aussi forte que moi sinon plus, mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle me plaque comme ça. Je me retrouvais allongé et bloqué. Mais je ne comptais me laisser faire comme elle le souhaitais. Je savais qu'elle savait maintenant se battre. J'attrapais son bras et repoussais son buste pour la faire basculer et reprendre le contrôle. Je prenais à la hâte mon blaster droit et tomber au sol dans le choc en me retournant sur moi même en un éclair, mais elle avait déjà bougé lorsque je voulais tirer. Je craignais qu'elle n'attaque de nouveau parce que c'est ce que j'aurais fait ! Je devais donc rester sur mes gardes et essayer d'anticiper un peu tout de même.
Même si sa sœur joue le jeu, elle crains qu'on ne fois qu'ils faisaient semblant, mais elle jouait le jeu. Malgré tout Quill se fait prendre par surprise. Elle de le ressource la sœurette !
PETER QUILL Starlord, le rebel, le hors-la-loi légendaire, Starlord !
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Bon dieu, mais cette rousse !C’est de la pépite, un rubis ! Les yeux de Felicia pétillent, et son sourire qui jusque là se faisait sympathique, doux, mielleux, devient l’incarnation de l’hilarité et de la sincérité. Mais elle n’éclate pas pour autant, pour ne donner aucun indice à la demoiselle … Lucky One ? C’est noté. C’est complémentaire en soi. Elle, dans le stress apporte la poisse si elle a bien compris (pour des raisons qu’elle ignore encore), l’autre est cerclée par une auréole de chance, jusque dans son pseudonyme. Elle est mignonne, a du répondant qui est frais et excitant, surtout dans une situation pareille. Dommage que l’une soit vertueuse, et l’autre voleuse, elles auraient fait un duo de choc.
— Mh, maintenant j’aime bien les petits suisses. Surtout ceux parfum cerise.
Réplique-t-elle en lui faisant un clin d’œil. Mais elle n’oublie pas le fond de leur conversation, et recule encore d’un pas, attendant son choix comme la suite de leur combat. Si elle comprend bien, on part sur la trois. Ok. Mais un petit mix du reste n’a pas l’air de la gêner vu les réactions et le fait qu’elle lui fasse confiance. 41, le signe.
— To da moon, girl !
Et la Chatte bondit, pivotant dans un salto digne d’un gymnaste ou d’un patineur sur glace. Elle fait ensuite une révérence pompeuse avant que les petits drones de mademoiselle se remettent à la chasser. Ouvrant de nouveau son sac, Felicia sort un de ses grappins qu’elle enfile à son poignet. Vu l’état des ruines, les zones de grip sont difficiles à déterminer, mais il y en a. Alors elle déclenche la machinerie qui délivre le grappin. Elle déclenche le procédé de rétractation en courant, ce qui peu à peu dans l’élan l’emmène vers le haut mais lui donne le balancier nécessaire pour sa petite manœuvre. Felicia est dans les airs, et ce qui se cache en elle s’éveille. La force du chat emplit son être et lui offre autant souplesse que nouvelles possibilités de retomber sur ses pattes. Le grappin se détache, tandis que les drones la passent en ligne droite et tentent une remontée pour rattraper leur cible, puis elle chute dans le vide, non sans effectuer un baiser volant vers Lucky-chou.
— Je charme la reine des abeilles ou je dois faire encore plus spectaculaire ?
Black Cat retombe aisément sur ses pattes, légère, souple, pas comme le serait un humain normal, assurément. Puis elle « miah » les drones, en attrape un avec son grappin, et le ramène vers sa reine pour la perturber.
— D’ailleurs, Paul. C’est le nom de ton ex ? Vu que la commande porte ce nom, je me suis dit qu’un Paul avait sacrément dû le chercher, pour que son prénom soit utilisé.
Oh aller, un petit tour de discussion en plein combat, c’est sa spécialité. Surtout quand c’est des course poursuite, ça rythme le tempo !
- Black Cat suit le plan. 41 donc. - Elle se recule et se laisse poursuivre par les drones - Elle sort un de ses grapins, et arrive à l'enfiler dans la course - Les esquivant avec une jolie pirouette et une levée de ses pouvoirs, elle retombe tout en souplesse sur une surface, tel un chat - Les drones reviennent vers elle et elle en envoie un exprès vers Lucky pour la perturber. Mais celui-ci peut s'esquiver facilement
Hope you Know
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Mon pseudonyme t’amuse ? Attends de savoir qu’il s’agit d’une marque déposée ! Juste que ça s’entend pas oralement, ce genre de choses. A bonne entendeuse… qui, "maintenant, aime bien les petits suisses" ? Surtout parfum cerise ? A bonne entendue ! Je ne rougirais pas pour autant. La peur aidant, j’ai plus de sang dans les jambes que dans les joues. Merci mon talent et ma Chance de l’avoir lui, je tâche de donner le change et réponds donc au clin d’œil d’un sourire un peu plus… forcé. J’ai dit que je tâchais !
Un de tes avantages est que tu réponds avec enthousiasme lorsqu’on te dit de t’envoyer en l’air. C’est bien, il ne faut pas se démonter quand l’autre propose de nous démonter sinon on joue contre notre camp ! Après, force est de constater que tu as des raisons de ne pas te démonter ; et plutôt deux fois qu’une. Je suis surprise lorsque tu fais ce à quoi je m’attendais tant tu le fais bien. Chose qui alimente la peur d’ailleurs : as-tu été en danger à un seul moment ? N’est-ce pas pour cela que tu te permets de jouer avec moi ? Le salto est impressionnant. La révérence est amusante. Et inquiétante. La course est vive puis le grappin de poignet surprenant. Tout comme le bat-grappin, ton cat-grappin me laisse envieuse et curieuse quant à son fonctionnement ! Ton baiser est effrayant, témoin de l’aisance avec laquelle tu fais tout cela, et ta provocation me laisse sans voix avant même que ta précision ne me coupe le sifflet.
Ce que tu me lances avec un grappin m’heurte sur la combinaison pare-balle avec suffisamment de force pour me faire un hématome. Lorsque je constate ce que tu m’as envoyé, je comprends à quel point il t’est facile de me tuer. Avec ton grappin, tu arrives à attraper les 11mm d’une @robeez en plein vol. M’atteindre le cerveau à travers les yeux serait plus facile. Tu ne me charmes plus, tu me terrifies !
Tu me parles et me provoque alors que je reste avec les jambes chancelantes en tâchant de prendre mon courage à deux mains à défaut de mes jambes à mon coup. Black Cat. Tu joues avec ta proie. Tout ton manège n’est-il qu’un jeu précédant mon exécution ?
« Pas vraiment non, te réponds-je en peinant à garder contenance tout en levant à nouveau mes deux mains avec les cinq doigts écartés. Paul. »
Je me désigne d’une main sur le torse et de l’autre sur le dos, ordonnant à cent @robeez de venir à mon contact, puis reprend l’appel de compagnie. Queenie se charge de calculer les drones et les synapses les plus à même de répondre à mes demandes.
« Je suis plus de l’équipe de Val ! »
La commande d’attaque se répercute sur les drones présents sur ton sac comme les autres les plus proches de toi.
« Et toi, tu joues dans quel camp ? »
résumé:
Lucky prend un grand coup de stress face aux capacités manifestement surhumaines. Elle appelle 100 @robeez à se poser sur elle et en repasse 100 autres en mode tentative de piqure sur @Felicia Hardy. Elle tente malgré tout de maintenir l’aspect "jeu" et de déterminer si Felicia va la tuer.
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Mantis n’était clairement pas sereine. Est-ce que faire du spectacle, faire comme en entraînement, serait suffisant pour divertir le monstre qui les enlevait ? Et si elle blessait accidentellement Peter, pendant qu’ils s’affrontaient ? Elle savait bien qu’ils n’avaient pas le choix, mais elle avait peur. Très peur. Mais elle fait confiance à son capitaine… Non, elle fait confiance à son frère, et elle s’en tient au plan qu’il lui a susurré. Un salve de tirs, qu’elle évite avec agilité avant de lancer sa jambe pour le faire tomber. En réponse, il active ses propulseurs pour voler au-dessus de sa jambe.
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