Tout était étrangement calme dans la Milano ce matin. J'ouvrais à peine les yeux. Il me semblait qu'il était encore super tôt. Je pensais à me rendormir, mais je n'y arrivais pas. Je pensais beaucoup trop. Tout allait bien pourtant. Mais je ne savais pas pourquoi j'avais cette drôle d'impression que quelque chose allait se passer. Mais ce n'était qu'une impression. Je ne me rappelais que rarement de mes rêves, mais celui-ci était tellement réel que j'avais l'impression que c'était un film que j'avais vu récemment, sauf qu'il s'agissait de souvenirs.
Je me levais et prenais une douche. Je profitais du calme apparent du vaisseau. Je me faisais un café. Je m'assaillais et humais d'abord le doux parfum ambré de ce breuvage dont j'abusais parfois. C'était mon moment à moi, seul les yeux dans le vague, sans même penser à rien d'autre qu'au plaisir de boire mon café dans le calme.
Je prenais ma tasse et m'installais dans le cockpit pour profiter du lever de soleil, rosé, orangé qui se levait derrière les arbres. Tout semblait paisible et tranquille. Je profitais simplement du spectacle. Je n'avais que rarement l'opportunité d'en profiter. Je ne me levais pas souvent aussi tôt.
Je n'avais rien prévu de spécial et je me disais que je pouvais, pour une fois, profiter simplement et me laisser guider. J'avais donc enfiler mes écouteurs pour profiter de la vue en sirotant mon café, en paix.
Je posais bientôt la tasse vide sur le sol et je somnolais légèrement. La musique résonnait dans ma tête et m'aidait à me rendormir, rivé dans mon siège...
***
Un bruit sourd me réveillait en douceur. Je rouvrais les yeux lentement. Je distinguais une silhouette qui se détachait dans le ciel. Cette silhouette, je la connaissais, je la reconnaissais. J'éteignais la musique et me redressais dans mon siège et la regardait atterrir en douceur sur la pelouse. Je quittais mon siège et descendait dans la partie basse du vaisseau pour ouvrir la soute. J'avais fermer le haut de la soute pour ne pas déranger les marmottes qui dormaient encore. J'allais à la rencontre de Carol, ma veste en cuir sur le dos, parce qu'il faisait particulièrement froid.
Elle était tout sourire et s'avançait droit vers moi. Je savais qu'elle était parti un bon moment, mais tout semblait être rentré à la normale et elle revenait sur sa Terre natale, tout comme moi.
- Et bien, ça faisait un bail !
Je l'invitait à entrer, il ne faisait vraiment pas chaud et une bonne boisson chaude serait la bienvenue. Je savais qu'elle ne craignait pas nécessairement le froid, mais c'était aussi une bonne manière de reprendre les bonnes habitudes terriennes.
- J'invite au café, ça te tente ?
Elle ne paraissait pas contre et sans même un mot, mais juste un hochement, elle me suivait. Je pouvais refermer la soute et remonter au chaud dans la partie haute pour rejoindre les parties communes où se trouvait la cuisine. Je lui proposais un café et je l'invitais à prendre un siège aussi.
Fin septembre Carol du repartir dans la galaxie pour géré d'autres conflits qui se sont déroulé dans son secteur. Elle passe son temps donc à gérer des guerres et à convaincre les peuples de faire la paix entre eux, protégée et venir en aide aux innocents. Elle passe donc deux mois a faire cela. On se trouve fin Novembre 2024 actuellement , la paix est revenue partout sur son territoire , elle décide de rentré sur terre , vers la ville de New York pour sauver le monde a nouveau.
Carol regarde une dernière fois la galaxie puis entrer dans l'atmosphère terrestre direction la grande pomme, la ville qui ne dort jamais, New York City. Elle arrive au-dessus de la ville. La regardent quelques instants. La ville a l'air paisible mais ce n'est qu'un mensonge, pleins de choses se passe encore et des innocents on besoin d'aide mais avant cela elle veut revoir les gardien de la galaxie et ceux qui restent des Avengers après la mort de Tony Stark, de Natasha et de la retraite de Captain America.
Elle remarque que c'est le matin ici sur terre. L'atmosphère est froide mais Carol n'a pas peur du froid dû à sa moitié Kree. Elle vole et arrive devant le vaisseau. Peter est endormi avec son casque sur les oreilles, cela la fait sourire un moment , elle toc le germe pour le réveiller chose faite elle se dirige vers l'arrière du vaisseau pour atterrir lentement au moment où peter l'accueil.
- Effectivement deux long mois
Carol sourit a Peter et avec un hochement de tête accepte l'invitation de Peter a entrer dans le vaisseau pour boire un bon café bien chaud. Carol suit donc son camarade vers la partie commune ou se trouve la cuisine elle prend place sur une chaise et regarde la décoration.
Pendant que Peter et carol s'apprêtaient a siroter leur café, il ne se doutaient sûrement pas que les choses étaient loin d'être aussi paisibles qu'elle ne l'étaient en apparence. En effet, alors que Rocket aurait du dormir comme un bienheureux, ce sont plutôt des gémissements plaintifs qui pouvaient se faire entendre dans sa chambre, tendit qu'il semblait se battre au corp a corp avec son oreiller. En quelques instant, les gémissements s'étaient transformés en grognement, pour finir dans un cri de désespoir et de rage, avant que le silence ne revienne a nouveau... ou presque.
Réveillé en sursaut par son propre cri, Rocket, en sueur, avait bondit dans son lit. Le malheureux s'était tellement retourné dans ses draps qu'il se trouvait littéralement ligoté dans ses dernier et c'est un mouvement de panique qui le précipita en bas du lit, dans un bruit de chute, suivit d'un grognement rageur.
Enfin, après quelques instant de calme, la porte de la chambre de Rocket s'ouvrit et ce dernier fit irruption dans la pièce principale, juste couvert d'un caleçon et le pelage en bataille. Sans prêter attention ni a Peter, ni a Carol dans un premier temps, il s'enferma dans la salle d'eau ou se trouvait également les toilettes. Après avoir fait son affaire et tirer la chasse, il se passa de l'eau sur le visage afin de se rafraichir les idées, encore hanté par son cauchemar, réminiscences refoulées de son passé torturé.
Enfin, il sortit en ayant l'air plus présentable, bien que toujours en caleçon. C'est la qu'il remarqua Peter et Carol, sursautant presque sous l'effet de la surprise, et malgré le fait que le duo ait sans doute entendu ses cris quelques minutes plus tôt, il les salua comme si de rien était:
"Hey, salut. Carol? On s'attendait pas a de la visite, ca fait longtemps"
Dit-il, en grimpant agilement jusqu'à un placard en hauteur pour se prendre une tasse. Il s'installa ensuite a table avec Peter et la visiteuse surprise pour prendre le café en leurs compagnie @Carol Danvers@Peter Quill
Le temps de faire le café de Carol et le mien, je déposais ça devant elle et à ma place. Je fouillais ensuite dans un placard pour y sortir des petits gâteaux. Le café seul, c'était pas génial. Et on servait pas juste un café à ses invités, ça se faisait pas. Fallait que je reste gentleman même si je m'amusais plus à draguer la nanas comme avant.
Carol me racontait un peu le déroulé de sa dernière mission. Elle avait pas mal bourlingué durant son absence. Elle avait eu pas mal de boulot. Mais si l'effet qu'elle avait à chaque fois qu'elle intervenait dans un combat - et j'en avais pour souvenir la bataille contre Thanos - était le même, elle devait être accueillie comme le Messi. Faut dire qu'elle arrivait à dézinguer un vaisseau à elle seule. Impressionnant !
Le silence se fit presque instantanément quand un hurlement stoppa le discours de Carol. Tout était encore silencieux à bord et on n'aurait pas pu ne pas l'entendre. La porte étouffait à moitié le cri, mais on pouvait l'entendre. Rocket faisait visiblement un cauchemar. Je regardais Carol sans montrer de réaction particulière.
- Oh, faut pas trop t'en faire. Ca lui arrive de temps en temps. Essaye pas de le faire parler là-dessus, il te dira rien. J'ai d'ailleurs abandonné l'idée depuis longtemps. Quand il sera prêt, il en parlera.
Je haussais les épaules et je priais Carol de reprendre son récit. Mais la porte s'ouvrait déjà et Rocket, tout juste réveillé, les poils dans tous les sens et en caleçon tout mignon, sortait pour visiblement se rendre vers la salle de bain. Carol leva un sourcil et nous regardions le Gardiens marcher sans même nous calculer.
Il sortait de la pièce à peine plus présentable, nature et toujours en caleçon. Je retenais un rire mais le spectacle était amusant. Il allait se faire un café. Je ne lui demandais même pas s'il voulait de l'aide, il avait l'air dans son truc et avant de commencer à grimper pour trouver ce qui lui fallait, il nous gratifiait d'un : " Hey, salut. Carol? On s'attendait pas a de la visite, ca fait longtemps " Je devenais alors complètement transparent.
- Heu, tu es sûr que tu vas bien ? Tu es en caleçon devant la dame quand même...
Y avait que moi que ça avait l'air de déranger en fait. Rocket continuait son escalade pour se faire son petit déj' et Carol ne montrait pas la moindre réaction. Et bien je n'avais qu'à oublié tout ça et faire comme si de rien n'était...
- Je te demande pas si tu as bien dormi... Mais si tu cherches les gâteaux, ils sont là. J'allais pas juste offrir un café à notre invité.
Tout paraissait normal dans ce vaisseau, peu importait si nous avions de la visite ou pas. On faisait ce qu'on faisait toujours et rien ni personne n'aurait pu changer ça. Rocket avait peut-être raison, pourquoi changer ses habitudes, ça choquait personne de toute façon. Mais j'avouais que voir un raton-laveur en caleçon pour un œil non averti, ça pouvait paraître ridicule et amusant... ou pas. Je gardais mes remarques pour moi et je le laissais s'installer avec son café.
Le temps que le café soit prêt, elle regardait la décoration du vaisseau. Le café prêt, Peter déposa celui de Carol devant elle, puis le sien sur la table il ouvrit un placard pour déposer des petits gâteaux à prendre avec le breuvage. Elle attendit qu'il installe et la discussion engendra une autre et la blonde se mit a lui raconter ces aventures durant son séjour dans l'espace, le secteur quelle protège et surtout comment les gens l'accueillent à chaque fois comme une déesse venue les délivré. Elle lui raconta chaque combat avec les détails surtout face a un autre combattant d'une planète qui ne voulait rien lâcher mais elle a fini par le vaincre et la paix est revenu.
Soudain un cri sourd retentit la blonde s'arrêta dans son récit et regarda peter intriguée prête à aider. Il lui expliqua que ce n'était autre que Rocket qui faisait un cauchemar parfois comme cela. Il lui intima de rien lui demander car c'était peiné perdue et qu'il ne lui dirait rien. La blonde bue une gorgée de son café puis le reposa .
- Le pauvre moi aussi il m'arrive d'avoir des flash back de mon passé et de crier ainsi, oui ce n'est pas facile d'en parler le pauvre.
À peine elle finit sa réponse que Rocket sortit de sa cabine et sans les regarder partit se faire une beauté, chose faite il revint plus frais et se mit à escalader l'étagère pour prendre ce dont il a besoin. La blonde remarqua son caleçon mais par respect pour son camarade ne se mit pas à rire mais remarqua du coin de l'œil que Peter se retenait de rire lui de son coté et ça ne manqua pas avec la pique lancée.
- Salut Rocket , Je passais dans le coin et Peter ma fait entrée dans le vaisseau , oui deux long mois , tu as l'air d'aller mieux que la dernière fois ou je suis venu te voir.
Il s'installa a sa place a coté de nous pour dégusté son café.
Rocket sursauta presque quand Peter s'adressa a lui, puis se tourna vers son frère d'arme, en plissant les yeux avec mauvaise humeur:
"Et alors ? On est chez nous non ? C'est Carol, elle va pas faire une syncope pour un caleçon"
Finissant sa préparation, il arriva vers la table et s'y installa avec son café, s'étirant tranquillement, assez indifférant aux règles de bienséances. Ce n'était pas un manque de respect, juste un défaut d'éducation qu'il n'avait jamais jugé nécessaire de corriger, ayant eu des préoccupations beaucoup plus vitales au cours de son existence.
"Et bien si tu veux savoir Quill, j'ai dormit comme une masse."
Mentit-il, avec une mauvaise fois a peine dissimulé. A ce moment la, le déclique du grille pain se fit entendre et Rocket alla rapidement chercher ses tartines encore fumante:
"Je vous laisse les gateaux, je vais me faire des oeufs au plat avec le pain. Vous en voulez ?"
Proposa-il en sortant une poêle, avant de se mettre au travail, alors que Carol prenait des nouvelles. Il est vrais que la dernière fois qu'ils s'étaient vu, Rocket pouvait encore a peine marcher par lui même.
"Ouais, ca va beaucoup mieux. J'y croyais pas quand on s'est vu la dernière fois, mais comme tu le vois, j'ai finit par m'en remettre"
Tout en répondant, il vint s'installer a table avec ses deux camarades, apportant du pain grillé et le nombre d'œuf qu'il fallait dans une grande assiette ou chacun pourrait se servir a sa convenance. Une vrais fée du logis, comme aimait le lui rappeler Greasy durant le temps qu'il avait passé au Milano @Carol Danvers@Peter Quill
Toujours aussi ronchon au réveil mon ami au poil ras. Et en plus il me mentait ouvertement alors qu'on l'aurait presque entendu à l'autre bout de la ville. Mais je ne voulais relever parce que je savais que cela voulait dire qu'il n'en parlerait pas. C'était une partie de son passé qu'il se refusait toujours de partager avec nous. Souvenirs encore douloureux qui le hantait encore la nuit. J'avais donc appris à faire comme si rien n'était parce que c'était peine perdu de vouloir le faire parler à ce sujet.
- Ben si tu le dis, la dame n'a pas l'air de t'en vouloir non plus... dis-je en regardant Carol et en lui faisant un clin d'œil. ... on est entre nous.
Rocket avait été légèrement surpris. Il avait visiblement perdu l'habitude de mes interventions dès le lever du lit. Il fallait dire que j'avais été absent un certain temps et le reste du temps, je restais plutôt lointain.
Il se préparait son petit déj' en proposant de partager. Je voyais que ça n'avait changé à ce niveau là, un peu ronchon, mais toujours serviable. Et je ne pouvais pas dire qu'il ne savait pas se débrouiller. Il prenait d'ailleurs souvent l'initiative pour la cuisine et le nettoyage. Je n'avais pas toujours été vraiment partisans de ce genre de truc, mais les choses changeaient et désormais, j'allais mettre la main à la pâte. Ainsi, je pouvais aller faire les courses ou encore aider au nettoyage par exemple. Je pensais que Rocket apprécierait les effort. Ce séjour sur Terre avait changé bien des choses. J'avais toujours refusé de me remettre en question, mais j'espérais que Rocket apprécierais mes décisions de changements.
- C'est pas de refus. Si tu le permet, je vais aller chercher une assiette. Ca te dérange pas ?
Je sentais des yeux interrogateurs sur moi. Je pouvais presque lire ses pensées : "Depuis quand il demande la permission ?" Cela aurait pu être inquiétant dans un autre contexte, mais depuis que nous avions parlé, les choses changeaient doucement. Je ne pouvais lui demander de me pardonner aussi facilement, mais si je m'en donnait la peine, en prenant le temps de faire les choses bien, il accepterait sûrement de me pardonner. En attendant, les petites attentions dont je le gratifiaient devait lui changer. Il était temps que je m'implique un peu plus et l'aide à part égale dans les tâches du quotidien.
Carol regarde les deux discuter en buvant son café. Elle écoute Rocket lui répondre et regarde Peter se moquer gentiment de son coéquipier. Rocket propose de faire à manger autre que les gâteaux, Carol observe peter qui lui demande la permission de faire une tache, elle arque un sourcil.
- Pourquoi tu demande la permission c'est chez toi ici
Elle regarde Rocket de nouveau la dernière fois qu'elle la vu dans cet états ca lui a fait mal au coeur mais heureusement il a l'aire en bonne santé a ce que la blonde voit en ce moment devant elle. Elle prend un gâteau , croque un bout et bois du café.
- Ramène une assiette a moi aussi Peter j'aimerais gouter aussi
Alors qu'il se tenait en équilibre plus ou moins instable, perché sur la pointe des pieds et se tenant a une étagère a la force d'un bras pour prendre les tasses et les assiette de l'autre, tout en surveillant la cuisson des œufs, Rocket ne se fit pas prier et accepta l'aide que son frère d'arme lui proposait:
"Ah c'est cool, merci Quill!"
Il laissa Peter prendre les assiettes et finit la cuisson des oeufs, avant de ramener la poêle sur la table, qu'il posa sur un dessous de plat prévu a cet effet: Il s'installa par la suite et commença a servir leur invitée, puis Peter, avant de terminer par lui même, par politesse. La poêle resservirait pour plus tard, quand les autres serons réveillés. En attendant, il ne restait plus qu'a profiter d'un petit déjeuné presque en famille, chose qui n'était pas arrivé depuis un certain temps. Fort heureusement, Carol ne remit pas leurs dernière rencontre sur le tapis, alors que lui a ce moment la était tout juste capable d'avancer au ralentit avec ses béquille, a moitié dans les vapes a cause des antidouleurs qu'il consommait quotidiennement. Une image pas vraiment reluisante dont il évitait de se vanter
Même si nous avions une invitée, je sentais que l'ambiance, ce matin était vraiment agréable. Une bonne odeur de nourriture qui ouvrait l'appétit. J'avais faim. Cela faisait un certain que je n'avais plus vraiment d'appétit, stressé par ces retrouvailles et les révélations récentes, bonnes, comme moins bonnes. Mais ce matin, je mangeais avec appétit et je me sentais curieusement détendu.
J'avais remarqué que Rocket y mettait beaucoup du sien aussi. Je pouvais dire que ces mois d'errance nous avaient changé tous les deux. Je retrouvais, pour un temps, une stabilité longtemps perdue. Je me sentais plus serein et posé. C'était enfin la maturité qui me manquait tant qui montrait le bout de son nez. Le plus mature de la bande étant sûrement Rocket. Mais en l'occurrence, on pouvait dire que les changements avaient eu du bon.
Mais il était temps de savoir ce qu'avait fait notre guerrière de l'espace. Elle avait eu du pain sur la planche et sûrement plein de trucs à partager avec nous. Cela nous rappellerait des souvenirs.
- Alors, t'as eu du boulot il parait. Tu as botté le cul de qui ? Et comment ça c'est terminé ?
Du temps des ravageurs, on parlait souvent de nos exploits et de nos méfaits. C'était comme un rituel. Et cela me manquait d'entendre des récits de batailles. Thor avait le chic pour m'en faire cet honneur lorsqu'il avait voyagé avec moi. Il était intarissable sur le sujet. D'ailleurs se bougre me manquait pas mal. Il avait le don d'être exaspérant parfois, mais on pouvait lui pardonner. L'Asgardien savait attisé la ferveur de son public, y avait pas de doute là-dessus !
Cela permet surtout de savoir ce qu'elle avait pu faire pendant ces quelques mois. Et surtout, cela permettait d'éviter les sujets qui fâchent. En espérant qu'on y viendrait pas. l'ambiance était au beau fixe, les nuages devaient rester loin. Pas besoin de ranimer de vieilles rancœurs et frustrations..
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