C'était la première fois que j'étais assis à une table, involontairement, avec une mutante, à parler de choses qui devraient être normale. Elle avait raison sur ce point : " C’est terrible de devoir s’assurer d’une chose qui devrait être normale… ". Je ne comprenais plus la nature humaine depuis longtemps. Il y avait des méchant partout, et les mutants ne faisaient pas exception. Mais parce qu'ils étaient différents, on les traitait différemment. C'était d'une tristesse affligeante.
- Les être humains sont ainsi fait. Ce qu'ils ne comprennent pas, ils ne le cautionnent et c'est bien triste.
Mais comment faire autrement ? J'avais parlé avec le professeur Xavier, et je comprenait les efforts qu'il faisait, mais j'avais l'impression que c'était comme jeter un pavé dans la marre en voyant ce qu'il s'était passé aujourd'hui.
Elle me remerciait pour ce que j'avais et j'allais faire pour eux. Mais en connaissance de cause, comment pouvait on les laisser livré à une justice qui ne tiendrait pas compte de leurs difficultés. J'étais heureux qu'elle ait pu faire ça. Cela aura permis de pouvoir au moins leur venir en aide d'une certaine manière.
- Pour moi c'est naturel. On ne devrait pas avoir à en venir à faire ce genre de choses. J'aimerais faire davantage, vous savez ? Je pense toujours que les mutants ont des qualités qu'on devrait exploiter au lieu de les refouler. J'aimerais beaucoup aider à faire changer les choses.
C'était d'ailleurs ce qui avait motivé ma présence auprès du professeur Xavier lors de sa conférence. Comment, nous, les Avengers, les héros connus de la Terre, pouvions faire en sorte que l'égalité soit donné aux mutants ? Ils y avait des héros parmi eux. Peut-être qu'en réunissant nos forces, nous serions plus apte à vraiment protéger et servir au quotidien. Je savais que certains faisaient le bien autour d'eux. Jean en était le parfait exemple. Si on les traitait mieux, ils auraient leur chance et pourrait montrer leur potentiel pour aider la population et user de leur pouvoir au quotidien sans avoir à craindre les foudres de gens ignorants.
- En tout cas, vous ne manquez pas de courage. Je suis heureux que me soyez venu en aide. Seul, je n'aurais pu rien faire. Intéressant votre pouvoir. Mais je suppose que vous ne confiez pas ce que vous savez faire à tout le monde. Surtout quand vous vous baladez seule comme aujourd'hui dans ce magasin ?
Peut-être me trompais, mais quand je voyais comment même les policiers pouvaient parler des mutants, cela serait compréhensible.
malice
SAM & BUCKY "Oh yeah, I can see it working. Gears turning. Oh, they're malfunctioning! They're on fire!" // Sam to Bucky
Encore sous le joug d’émotions quelque peu désagréables, elle ne réalise pas encore qu’elle a le privilège de partager un moment de calme et de confidence avec un homme qui illustre parfaitement l’idée qu’on peut se faire d’un héros ; elle regrette, à cet instant, qu’il n’y ait pas davantage d’échanges entre les x-men, tenus secrets, et les Avengers, car elle ne doute pas du fait que cela pourrait conduire à de prodigieuses collaborations. « Les être humains sont ainsi fait. Ce qu'ils ne comprennent pas, ils ne le cautionnent et c'est bien triste. » Il dit vrai, et elle ne peut qu’approuver ses dires en pressant ses lèvres l’une contre l’autre, avec une certaine résilience. Oui, c’est triste, mais ils ne pourront pas changer le monde malgré toute leur bonne volonté.
Comme pour toutes les discriminations, il y aura toujours des personnes manquant cruellement de tolérance et d’ouverture d’esprit ; c’est un fait qui ne pourra jamais être gommé, et auquel il est coutumier ; elle sait à quel point sa nomination comme Captain America a soulevé le vent des personnes racistes à travers le pays. « Malheureusement… » Souffle-t-elle en songeant à cette idée, sans toutefois l’aborder. Elle ne veut pas lui ravier de mauvais souvenirs, donc elle secoue son menton en reprenant un sourire, doucereux. « Pour moi c'est naturel. On ne devrait pas avoir à en venir à faire ce genre de choses. J'aimerais faire davantage, vous savez ? Je pense toujours que les mutants ont des qualités qu'on devrait exploiter au lieu de les refouler. J'aimerais beaucoup aider à faire changer les choses. » Le discourent maladroit, car le mot employé l’est tout autant : exploiter. On exploite des ressources pour un profit personnel, et on exploite des gens en les rendant esclaves, en profitant de leur naïveté pour s’enrichir. Est-ce sa vision des mutants ? Des produits ? Des ressources ? Quelque peu rendue méfiante, elle le regarde quelques secondes sans broncher, ses sourcils crispés et les paupières plissées, en tapotant brièvement la pulpe de ses doigts contre la surface de la table. « Les mutants n’aspirent pas à être de objets, vous savez. Ni à être exploités, comme vous dites. Nos pouvoirs ne sont pas un vivier dont les autres peuvent se servir. Nous voulons simplement vivre normalement, comme vous, parmi vous. Rien de plus. »
Elle espère qu’il ne s’agit-là que d’un abus de langage, et non pas d’une pensée sous-jacente. La serveuse revient avec un plateau portant leurs boissons et elle ramène ses mains sous la table en lui offrant un sourire poli, avant de sortir son porte-monnaie pour déposer quelques billets sur son plateau, en la remerciant. « En tout cas, vous ne manquez pas de courage. » Elle ne dit rien mais, affronter Apocalypse fut davantage effrayant que quatre braqueurs désespérés ; néanmoins, la mention la fait sourire avec une certaine tendresse, car c’est toujours élogieux de sa part. « Je suis heureux que me soyez venu en aide. Seul, je n'aurais pu rien faire. Intéressant votre pouvoir. Mais je suppose que vous ne confiez pas ce que vous savez faire à tout le monde. » Vu les risques, non, pas vraiment. Mais elle peut lui faire confiance… Du moins, elle pense. « Surtout quand vous vous baladez seule comme aujourd'hui dans ce magasin ? » Elle glisse ses deux mains autour de sa tasse de chocolat chaud, avant d’attraper la cuillère pour la tourner à l’intérieur du breuvage gourmand. « J’évite au possible, en effet. On ne sait jamais sur qui on peut tomber… » Tous les évènements avec les Héritiers le prouvent : les anti-mutants ne se cachent même plus. « Mais je ne suis pas sans défense. » Malgré son air fragile… Il a pu le constater de lui-même.
THE FIRE FINDS A HOME IN ME ᭸ clipped wings, I was a broken thing, had a voice but I could not sing. there's a scream inside that we are frightened,we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we are frightened, I’ll shout it out like a bird set free.
J'essaye de comprendre la jeune femme en face de moi. Mon ignorance en matière de mutant peut m'amener à peut-être ne pas utiliser les mots justes. Mais il n'en ai pas moins intéressant d'essayer de les comprendre. Ce sont des êtres humains après tout, avec des aspirations, des besoins, des projets d'avenir. Mais à cause de gens étroits d'esprits, cela devenait compliqué, voir impossible. Mes mots n'étaient pas forcément les bons, mais l'idée était là.
- Evidemment. Je ne pensais pas à mal en disant cela. Vous savez, depuis que les Avengers existent, on a exploité nos forces, nos qualités. C'est humain. Mais je pensais évidemment plus à collaborer. Commencer par les personnes qui vous comprennent.
La différence ne m'avait jamais effrayé. Après tout j'étais un homme de couleur qui avait longtemps été persécuté par ma seule couleur de peau. Quand Steve m'avait confié le bouclier, il n'avait pas imaginé alors quel impact cela pourrait avoir, mais malgré tout, il me l'avait confié. J'avais hélas fait face à ce qui devait arriver. Encore maintenant, les gens de couleurs ne sont pas acceptés partout. Alors, je comprenais ce que pouvais être le fait d'être jugé sans même essayer de savoir.
- Je sais bien qu'on ne peux pas comparer nos différence. Mais pourtant, quand j'ai fais face à une personne qui me dénigrait pour quelque chose que je ne suis pas, j'ai souvent tourné les talons. Je préférais fuir. J'ai du me battre pour montrer qui j'étais. On m'a aussi pris pour un monstre. Et pourtant aujourd'hui, je porte de bouclier le plus célèbre du monde. Une responsabilité qu'on imagine même pas. Il m'a fallu du temps pour assimiler tout ça et pour me dire que je pouvais le faire. Alors j'imagine qu'avec le support adéquat, vous pourriez y arriver aussi ?
Je savais depuis combien de temps, le professeur Xavier se battait pour les mutants. Je savais que des efforts avaient été fait. Mais je savais aussi qu'il restait beaucoup de travail. Et pour en revenir à ce que je disais sur le sur le fait d'exploiter les mutants, ce n'était pas forcément pour leurs pouvoirs, mais plus pour leur traits de caractère.
- Je ne parlais évidemment pas d'exploiter vos pouvoirs, loin de là, mais plus votre force à vous battre, pour faire bouger les choses. Ce n'est pas facile, je le sais, mais si vous aviez de l'aider extérieur, de gens comme moi, qui peuvent aider, accepteriez vous ?
La vraie question était là. Peut-être que, depuis le temps qu'ils se battaient pour leur droits, ils en avaient assez de faire face à des gens étroits d'esprits qui les prenaient pour des monstres plus que comme des alliés éventuels. Encore maintenant, certains Avengers ou même les Gardiens de la galaxie n'étaient pas accepté pour leur différence. On les considérait comme des extraterrestres, des montres. Alors que Carol et Peter était terriens ! Mais allez savoir pourquoi, les mutants étaient ceux qu'on acceptait le moins.
- Je pense qu'un jour, les gens n'auront pas d'autre choix que d'accepter. Surtout avec tout ce qui s'est passé dernièrement. Beaucoup d'entre vous ont sauvé des gens, sauver le monde aussi, je connais les X-men, même si ce n'est que de nom, mais je me dit qu'on peut vraiment espérer voir les gens enfin changer. Ca prendra du temps, mais on y arrivera, j'en suis convaincu.
Peut-être étais-je en éternel optimiste, mais je croyais en la nature profonde et je pouvait croire qu'on était tous capable de changer, pour le meilleur.
malice
SAM & BUCKY "Oh yeah, I can see it working. Gears turning. Oh, they're malfunctioning! They're on fire!" // Sam to Bucky
L’emploi du mot ‘’exploiter’’ ayant considérablement refroidi l’atmosphère, Sam s’emploie désormais à la réchauffer en dissipant le possible malentendu engendré par sa maladresse verbale. « Evidemment. Je ne pensais pas à mal en disant cela. » Toujours mieux de le préciser parce que ce n’est pas évident, de prime. « Vous savez, depuis que les Avengers existent, on a exploité nos forces, nos qualités. C'est humain. » La guerre et l’excision aussi sont des faits humains ; doit-on les excuser pour autant ? « Mais je pensais évidemment plus à collaborer. Commencer par les personnes qui vous comprennent. » Cela réduit considérablement le champ des possibles, mais elle est néanmoins rassurée de constater que le héros a seulement parlé trop vite, avec un choix de mot largement discutable. « Il y a peu de personnes qui cherchent à nous comprendre, vous savez… Généralement, on est une menace, une bête de foire, ou une arme. » C’est une triste réalité qu’elle formule, mais qui n’entache en rien ses rêves de cohabitation : elle croit, comme son père, que mutants et non-mutants peuvent vivre ensemble sans s’entretuer.
Mais si elle croit le sujet clos, Sam, lui, le poursuit. « Je sais bien qu'on ne peux pas comparer nos différence. Mais pourtant, quand j'ai fais face à une personne qui me dénigrait pour quelque chose que je ne suis pas, j'ai souvent tourné les talons. Je préférais fuir. J'ai du me battre pour montrer qui j'étais. On m'a aussi pris pour un monstre. » Elle fronce légèrement les sourcils sous l’incompréhension, ne comprenant pas réellement pourquoi il avance de tels propos ; pourquoi aurait-il été comparé à un monstre ? « Et pourtant aujourd'hui, je porte de bouclier le plus célèbre du monde. Une responsabilité qu'on imagine même pas. Il m'a fallu du temps pour assimiler tout ça et pour me dire que je pouvais le faire. Alors j'imagine qu'avec le support adéquat, vous pourriez y arriver aussi ? » Restant quelques secondes immobile, elle réagit enfin, d’une voix calme mais quelque peu désorientée : « Euh… Oui, probablement. » Marquant une petite pause, durant laquelle elle vient tapoter le bout de ses doigts contre la surface de la table, elle finit par demander, d’une voix curieuse : « Pourquoi avez-vous été considéré comme un monstre ? »
Une fois la réponse obtenue — si Sam veut bien partager ce pan de son histoire, elle racle discrètement sa gorge en reprenant correctement sa place sur sa chaise, venant saisir sa tasse de chocolat chaud pour en boire une gorgée agréable. « Je ne parlais évidemment pas d'exploiter vos pouvoirs, loin de là, mais plus votre force à vous battre, pour faire bouger les choses. Ce n'est pas facile, je le sais, mais si vous aviez de l'aider extérieur, de gens comme moi, qui peuvent aider, accepteriez vous ? » C’est une question difficile, car elle ne peut, à elle seule, être pleine décisionnaire ; Charles serait un meilleur interlocuteur, tout comme Raven. « Je ne prétends pas parler au nom des miens, » commence-t-elle à dire, en évoquant aussi bien tous les mutants que les x-men. « …Mais, à titre personnel, oui. Je trouve qu’une collaboration autant tout son sens. » Passant la pointée sa langue sur ses lèvres, elle croise ses jambes d’une manière élégante tout en reposant sa tasse. « Je pense qu'un jour, les gens n'auront pas d'autre choix que d'accepter. Surtout avec tout ce qui s'est passé dernièrement. » Les Héritiers, qui ont causé beaucoup de morts parmi les porteurs du gène X ; elle n’a pas vraiment l’impression que cela a aidé la cause mutante, mais plutôt qu’ils ont permis à ceux qui les déteste de le dire haut et fort. « Beaucoup d'entre vous ont sauvé des gens, sauver le monde aussi, je connais les X-men, même si ce n'est que de nom, mais je me dit qu'on peut vraiment espérer voir les gens enfin changer. Ca prendra du temps, mais on y arrivera, j'en suis convaincu. » Le soupir qui passe la barrière de ses lèvres est à la fois emplit de lassitude et de tristesse, mais elle finit par étirer ses lèvres en un sourire chaleureux à l’égard de son interlocuteur. « Je l’espère aussi, Sam. De tout mon coeur. » En prenant son téléphone, elle constate l’heure et se rend compte qu’elle va finir par être en retard. « Il va falloir que je vous quitte, Sam, mais… » Prenant sa serviette, elle sort un stylo de son sac afin de noter son numéro de téléphone, qu’elle tend ensuite au héros. « On pourrait rester en contact, si vous êtes d’accord ? » Il veut aider les mutants, et elle est sûre que son aide sera plus que précieuse pour faire progresser les mentalités.
THE FIRE FINDS A HOME IN ME ᭸ clipped wings, I was a broken thing, had a voice but I could not sing. there's a scream inside that we are frightened,we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we are frightened, I’ll shout it out like a bird set free.
Le sujet est délicat. Nous pouvons avoir une visions similaire, mais pourtant différente des choses et pour cause : Je ne suis pas mutant et je ne connais rien de leur situation au quotidien. Je sais très bien que de gros progrès restent à faire.
- C'est hélas un triste constat.
Mais en éternel optimiste que je pouvais être, je pensais qu'on pouvait y arriver. Peut-être étais-je vraiment idiot d'y croire, mais parce qu'on avait vécu des choses incroyables et que des gens comme elle avait aidé à défendre la planète, certaine mentalité changeaient. Il fallait donc croire que tout était possible. Il fallait unir nos force le plus possible. Elle savait que je souhaitait contribuer. Si je le pouvais, j'aiderais leur cause.
Mais quand on parlais d'expérience personnelle, ma condition avait pu attiré les foudres des gens. J'étais un héros de couleur. Et même si cela n'avait pas l'impact d'un mutant, les gens de couleur avec un statut comme le mien, devenu Captain America restait un monstre qui ne méritait pas tant d'honneur. Le racisme, sous toutes ses formes faisaient des ravages certains.
- Pour beaucoup de gens, je ne suis pas un homme, je suis à peine ça. Je ne prétends pas avoir vécu pire que vos semblable, mais la ségrégation des gens de couleur a fait beaucoup de mal. Nous avons été des monstres, des animaux très longtemps. Et encore aujourd'hui, je sens ces regards sur moi. Je sais que cela n'a pas grand chose en communs avec le faut d'être mutant, mais la différence, je connais bien.
Comment comparer l'incomparable ? Tout ça pour dire que si les gens se battaient, de la bonne façon évidemment, il était possible de faire avancer les choses. Lentement, très lentement, mais de les faire avancer tout de même. Et toute aide pouvait compter. Je restait convaincu qu'en unissant nos forces : X-men et Avengers, nous pourrions avancer ensemble pour qu'enfin les gens comprennent que nos avions des buts communs. Elle comprenait maintenant où je voulais en venir. Le fait par exemple d'aider ces jeunes gens, qui avaient braqué un magasin un peu plus tôt. Il ne fallait pas punir sans savoir, sans essayer de comprendre. Avec toutes les données, cela changeait la façon de comprendre pourquoi ils avaient agis de la sorte. Et c'était sûrement bien plus fréquent qu'on ne le pensais. Il fallait aussi que la visions de la police change. Beaucoup de choses sur lesquels il allait falloir gardé un œil et travailler. Mais cela en valait sûrement la peine.
Mais le temps passe si vite... Il faut déjà prendre congés. Moi qui était venu pour faire mes courses, parlez d'une journée ! Jean notais son numéro sur la serviette posée devant elle et me la tendait. Elle souhaitait qu'on reste en contact. J'en étais heureux. J'avais fait la connaissance d'une personne à part, je le savais. C'était une rencontre que je n'étais pas prêt d'oublier.
- Si cela peut vous rassurer, je vous donnerais les nouvelles que j'ai des jeunes gens. Histoire de vous rassurer.
Une bonne excuse de reprendre contact. Il était temps que je reprenne le cours de ma journée. Il me fallait aller faire mes courses tout de même et retourner à mes occupations. Mais peut-être qu'une petite visite au commissariat me permettrait de voir comment se passait la suite donnée à cette attaque et comment aider à ma façon ces jeunes gens. Puisqu'au niveau judiciaire, je ne pouvais plus vraiment faire grand chose...
Je saluais la jeune femme et je la laissais s'éloigner. Un sourire aux lèvres, je pliais la serviette et la rangeait soigneusement dans ma poche intérieure de ma veste. Je sortais à mon tour et regardais son véhicule s'éloigner dans la rue devenue plus silencieuses, même si quelques badauds restaient encore pour sûrement discuter de l'attaque survenue quelque minutes plus tôt.
malice
SAM & BUCKY "Oh yeah, I can see it working. Gears turning. Oh, they're malfunctioning! They're on fire!" // Sam to Bucky
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