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 [Terminé] The scar of the past

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Membre du Devil's Club
Felicia Hardy
Felicia Hardy
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[Terminé] The scar of the past - Page 3 Empty
MessageSujet: Re: [Terminé] The scar of the past [Terminé] The scar of the past - Page 3 EmptySam 3 Fév 2024 - 21:35




SacrilegeFallen for a guy, fell down from the sky
Halo round his head
Feathers in a bed
In our bed, in our bed

    Cela aurait été tellement plus facile. Qu'il parte. Qu'il la laisse, comme il lui avait pourtant promis de ne pas le faire. Qu'il la trahisse et lui donne la raison évidente de ne plus jamais aimer, de ne plus jamais se délivrer et n'être que le réceptacle de la malice et de la trahison. Ainsi elle aurait pu se sentir plus légère. Blessée à jamais mais plus légère. Felicia ne bouge pas. Elle ne cherche même plus à le retenir, ni même à le regarder partir. Son corps est prostré et son visage se détourne de la vision de cette levée, de cet aveu de faiblesse face aux faits. Il avait cédé à ces pulsions, il avait révoqué si facilement cette promesse. Et maintenant, Matthew de tout son courage se décide à la laisser de côté. Parce que pour lui aussi, c'est plus facile. Pourtant, une partie de son coeur veut s'imposer, dire à cet homme d'arrêter d'être un sale con égoïste et lunaire, de l'insulter, de le frapper et se venger de tout ce mal qu'il est en train de lui faire subir, jusqu'à ce qu'il cède. Cette partie folle distord en réalité le sentiment demandant à Matthew de rester. De ne pas être qu'un souvenir, de ne pas l'obliger à quitter cet appartement car elle ne pourrait que le voir encore à cette table, dans son peignoir en velours bleu canard, ou dans ce lit qui pour lui est fait de papier. Alors Felicia s'acharne sur ces sutures, pour qu'enfin ce damier referme efficacement cette entaille.
Elle ne veut pas le perdre, mais elle se tait. Felicia tait tous ces battements qui tentent de la submerger et faire trembler encore plus son être. Elle a même l'impression que quelque se produit avec son regard, qui lorsqu'elle cligne, change de couleurs, de manières d'observer ce monde nocturne. Et il y a ce stress. Ce stress qui monte, monte, et s'impose de son ombre noire et hérissée dans cette vision altérée pour lui rappeler cette nature qu'elle refuse encore et encore.

— Qu'est-ce que tu racontes ... ?

Pourtant, cette ombre recule face à cette soudaine torsion du temps et des événements dont Matt se fait l'instigateur. Il attrape de sa main blessée, qui a frappé plus tôt sans ménagement ce coeur qui pourtant avait accepté qu'il laisse à jamais ce vide en son sein, en disant qu'il est temps d'améliorer les choses.



    Son regard est fuyant, et pourtant, l'émotion la gagne. Dans les tremblements de ses épaules, dans les secousses de ses épaules, et dans cet abandon qu'elle s'était programmée alors qu'elle était prête à se battre pour lui des minutes auparavant dans cet appartement mis à sac, elle le voit réapparaître, accroupi face à elle. Sa voix est aussi tourné vers lui, et non cette porte. C'est doux, calme. Comme ce qu'elle aime tant chez lui quand enfin la tempête de leurs émotions et leurs identités sont mises de côté pour qu'ils puissent se retrouver entièrement. Pas de masque, pas d'attitude revêche et de principes, ils étaient simplement Matt et Felicia. Pressant donc sa lèvre inférieure furieusement entre ses dents dans une grimace de honte et d'amertume, la blonde essaie de le dégager un temps. Sans violence, en vain. Elle n'arrive pas à le rejeter, à bondir et simplement ne pas lui pardonner. D'inspirations nerveuses en expirations tremblotantes, Felicia essaie de se calmer, et croit un temps dans un moment de déni que ce n'est qu'un rêve, et qu'il est réellement parti.
Sa chaleur est pourtant réelle, ses paroles concernant son enfance, son père, si vraies. Tout comme l'est la douleur de sa peau tirée, à vif. Et son regard embué finit par glisser vers lui. Ses lèvres sont tordues par la douleur, par la peur, par le soulagement aussi de savoir que ce n'est pas un rêve. Elle a mal pour lui, de connaître cette part de son passé ainsi. Le fait de devoir recoudre son père, le soigner, alors qu'il n'était qu'un gosse. Et elle se sent si insignifiante, quand tout ce qu'elle faisait, c'était simplement d'attendre que le sien passe la porte et lui tende les bras pour l'étreindre et lui rappeler combien il l'aime. Il lui retire à présent de ses mains tremblantes cette pince. elle n'arrive même pas à la retenir tant la douceur et la chaleur dont fait preuve Matthew la désarme. Ce pas qu'il fait, alors que tout n'aurait pu être que rupture est une marque de confiance, d'honnêteté. C'est une communication d'un être à celui ou celle représentant cette importance. Il sait ce qu'elle a fait, et cela la fait reculer légèrement au point que son dos s'enfonce contre le dossier du canapé. Mais il continue. Il continue à parler alors que sa voix vacille, que son visage est enflé, tuméfié. Il continue d'enlever ces bris de verre enfoncés dans sa peau, en lui rappelant combien la chaleur de ses mains lui a manqué et à quel point elle aurait été brisée de la perdre. Et puis, tout s'arrête sur ces mots, ces quatre mots. Felicia touche son bras soigné en étant toujours autant secouée de spasmes.

— Je ... je te pardonne Matt. sincèrement, qu'est-ce que je peux faire d'autre ? Est-ce que j'ai vraiment la force, l'envie de te faire du mal alors que tu ... alors que tu t'excuses.

Sa main gauche se plaque sur son front pour essayer de soutenir cette tête si lourde sous le poids de sa tristesse et de ce sentiment honteux de bien être qu'elle ressent en sachant qu'il est resté. Alors qu'il est dans un état lamentable, elle agit égoïstement en le laissant souffrir, être si pitoyable. Elle sait que le danger est leur quotidien, que leurs vies sont entrelacées dans une toile complexe de justice, de chaos et de risques. Ce soir la difficulté réside dans cette acceptation, dans le fait d'apposer des actes aux promesses faites deux jours auparavant. Et oui, parfois la vie juge que deux jours c'est amplement suffisant pour mettre les dites promesses à l'épreuve.

— Tu m'énerves. Je voudrai te détester, me dire que tu as passé cette porte et ... et que je pourrai seulement chercher le chaos, ne plus me soucier de toi ... de tout ce que tu représentes. De punir ce monde injuste en étant ce qu'ils détestent le plus, cette anarchie qui leur vole le soi disant fruit de leur travail acharné, alors qu'ils ont juste eu à hériter.

Alors pourquoi est-elle toujours là. Elle pourrait se lever, bondir, et ne pas se retourner, comme cette fois à l'église où elle a attendu qu'il s'endorme pleinement en ayant simplement cette présence encore rémanente glissée sur lui, bien que dans la situation actuelle, la saveur aurait été bien plus amère.



    Car il lui est impossible de le nier. Felicia se glisse alors souplement, doucement, sans le secouer au sol. Sur les genoux et ses mains appuyées sur le parquet, elle se met à sa hauteur et l'observe avec cet air souffreteux et pourtant empreint de cet amour porté à cet homme. Et quel homme ... même tuméfié, même pathétique en raison de la situation, il est sa révolution. Ce rouge sang dans lequel elle est prête à se fondre et se noyer. Chaque trait de son visage, chaque cicatrice qui orne sa peau, raconte une histoire qu'elle veut encore et encore détailler. Ses mains, forgées par le labeur, la solitude, et pourtant capables de cet amour considérable, sont les architectes de ce monde qu'elle était prête à oublier. Et lentement encore, Felicia s'approche de son visage. Doucement, là aussi, ses lèvres viennent se poser sur sa bouche dans un semblant de baiser.

— Je comprends en partie ce qui te ronge, Matt. Mais je ne suis pas là pour ... pour te démonter. Je suis là ... pour toi. Je te vois. Je te vois tellement que ça en devient exaspérant, parce que ça veut dire que je t'aime trop pour te perdre.

Elle essaie de sourire en lui disant cela, mais c'est vain. Aussi vain que de réprimer ces larmes, ou de ne pas serrer entre ces doigts cette chemise maculée de sang à présent séché. Felicia essaie de la lui enlever, de réprimer son envie de l'embrasser passionnément de peur de lui faire mal. Elle essaie tellement que ses doigts tremblent de nouveau et que la chaleur de la honte de cet aveu rend sa peau si moite. Elle a honte d'avoir peur de perdre Matthew même si le caractère inhérent de leur existence est aussi incertain. C'est le revers de la médaille comme on dit. Mais avec lui, pour lui, elle est prête à se battre.
It's sacrilege, sacrilege, sacrilege, you say
It's sacrilege, sacrilege, sacrilege, you say
And I plead and I pray
And I plead and I pray
✿ Elli


Hope you Know
I hope you know there's a part of you that lives in every note and every step I take along these broken roads that I've been walking and the time between us talking is so much longer now, but I still call you home. I hope you know. -byendlesslove

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MessageSujet: Re: [Terminé] The scar of the past [Terminé] The scar of the past - Page 3 EmptyMar 6 Fév 2024 - 14:40




the scar of the past

It was only one hour ago, it was all so different then, nothing yet has really sunk in, looks like it always did, this flesh and bone is just the way that we are tied in. But there's no one home --  feat. @Felicia Hardy



La solitude m’avait tué. Elle m’avait accompagné tout au long de ma vie et même quand mon père était encore en vie, elle avait été là. Je me souvenais de ces soirées passées seul dans ce vieil appartement mal entretenu. Je me revoyais assis à cette table, seul avec pour unique compagnie la télévision et les retranscriptions des combats de mon père. Je me souvenais de ce sentiment d’isolement, d’abandon le plus total. J’avais été si seul dans cette pièce à peine éclairée, dans ce monde de ténèbres qui m’avait toujours enveloppé. Aussi loin que mes souvenirs remontaient, j’avais toujours été seul. Ce sentiment d’abandon avait toujours fait partie de ma vie, je n’avais fait que le développer au fil des années, parce que c’était la seule chose que je faisais correctement.
En termes de solution de facilité, je m’y connaissais. Cela avait beau aller à l’encontre de cette peur de finir seul, de mourir seul, je n’avais jamais réussi à passer outre. Tout au long de ma vie, je n’avais fait que rapprocher mes frontières, je n’avais eu de cesse de me renfermer et de repousser. C’était ce que je faisais de mieux. J’invoquais souvent des raisons nobles, des raisons déraisonnables qui me permettaient d’assumer mes choix, de trouver du réconfort dans le mal que je faisais en me disant que oui, j’avais bien agi.

Et j’aurais pu continuer sur cette lignée, cela aurait été si facile, si simple. J’aurais pu me détourner d’elle comme je m’étais détourné d’autres. J’aurais pu lui laisser cette possibilité de me haïr, d’être une énième victime de cette sale manière de fonctionner, de ce besoin irrépressible que je ressentais lorsque les choses m’échappaient. Fuir était une solution aisée et j’avais hésité. J’avais longuement hésité à ne pas me retourner, à ne plus la regarder et à passer cette foutue porte. Le problème et la solution à tous mes maux se trouvait en face de moi et bon sang, je ne pouvais pas. Il n’était même pas question de cette promesse faite quelques jours auparavant, ni de ces aveux. C’était elle, juste elle qui me retenait par sa présence, parce qu’elle dégageait. C’était cette bouche que j’aimais voir sourire, c’était ses lèvres que j’aimais goûter. C’était ce regard embué qui me portait et me faisais vaciller. C’était elle.

« Je ne cherche pas ton pardon Feli’, je veux juste que tu saches que je suis conscient de ce que j’ai fait…et que si je suis désolé, c’est pour toi. J’ai tellement souvent agi seul que…que je ne sais plus ce que ça fait de ne pas l’être. Ce serait te mentir de te dire que je ne suis pas perdu, que je ne sais pas comment réagir après…après ça…Je suis complètement paumé, je…je ne voulais pas te faire de mal. »

Je n’étais rien face à elle. Je pouvais affronter n’importe qui, je pouvais combattre n’importe quel personne et me retrouver mille fois au sol, je me serais toujours relevé. Mais pas face à Felicia. Elle avait cette faculté à me ramener à mon humanité la plus primaire, à me rappeler que je n’étais qu’un homme, rien de plus et qu’avec elle, je n’avais pas besoin de faire plus. J’avais encore du mal à comprendre ce qui m’arrivait, à traiter toutes ces émotions qui parcouraient mon corps. Ces sentiments contraires qui brouillaient mon esprit, qui me faisaient hésiter. Elle avait réussi à me cueillir là où d’autres avaient échoués, elle m’avait montré que derrière son costume, derrière son masque il y avait cette femme dont je m’éprenais. Elle était beaucoup plus que ce que je n’avais osé imaginer, elle avait complètement chassé de mon esprit ce vague souvenir que j’avais d’elle lorsque je l’avais croisé pour la première fois. Elle n’avait plus rien de cette gamine et cette femme qu’elle était devenue me touchait, me faisait ressentir des choses que je n’avais jamais été capable d’exprimer, que j’avais toujours voulu refouler.

« C’est ce que j’ai toujours fait, partir. Sur le moment, ça parait toujours plus simple de vouloir partir, d’abandonner…de se dire que c’est la meilleure chose à faire. Mais après…après c’est plus dur et je suis fatigué que ma vie tourne autour de ça, je suis fatigué de partir et de faire fuir les personnes que j’aime…Libre à toi d’être énervée, de me haïr…ou même de vouloir partir, je comprendrais. Mais moi je voudrais que tu restes Feli’, peu importe ce que tu es ou ce que tu fais, je veux que tu restes… »

Comme ce soir-là dans cette église. Cette nuit était ancrée dans mon esprit et premier jour passé ensemble ne me quittait plus. C’était en cédant à ce diable qui m’habitait que j’avais compris. Avant de le libérer, avant de me laisser guider et de n’être que le simple spectateur de mes démons, ma dernière pensée avait été pour elle. Et lorsque j’étais revenu à moi, lorsque j’avais vu ce que j’avais fait à cet homme, ma première pensée avait été pour elle. Parce que malgré les apparences, malgré le fait que j’avais cédé à cette part détestable de mon être, Felicia m’avait marqué. Marqué au sens où elle avait laissé quelque chose en moi, une sorte d’empreinte, un stigmate de la douceur dont elle avait preuve ce soir-là.
Alors qu’elle se laissait glisser de ce canapé pour s’accroupir en face de moi, j’apposais ma tempe contre l’accoudoir, à bout de forces. La douleur reprenait lentement sa place, les blessures sur mon visage recommençaient à me tirailler, à me donner l’impression que ma peau se déchirait. Mes bras tombèrent le long de mon corps et je fermais les yeux, sentant son regard peser sur moi, sentant qu’elle était entrain de m’observer, de me détailler.

« C’est moche, hein ? »

Dis-je sans pour autant ouvrir les yeux, alors que mes lèvres s’étaient brièvement soulevées après ce baiser. Je prenais alors une courte inspiration et me redressais légèrement afin qu’elle puise retirer cette chemise tâchée de sang. Cette odeur était imprégnée dans mon nez. Mon visage, retomba lourdement sur l’accoudoir alors que j’avais de plus en plus de mal à tenir ma tête. Je laissais échapper un long, très long soupire tinter d’un râle de douleur suite au choc de ma joue contre le canapé. Et pourtant, tous ces signaux que m’envoyait mon corps n’étaient rien à côté de ce que mes sens me permettaient de voir. Toute cette souffrance semblait si futile face à cette femme qui avait complètement changée ma vie, changée ma façon de voir les choses.
Dans un nouvel effort incommensurable, je levais mon bras droit –tremblant, afin de venir délicatement poser ma main sur sa joue. Mes doigts replacèrent une mèche de cheveux derrière son oreille, mon pouce glissa sur sa pommette. Je pouvais sentir sa peau frissonner sous mes doigts et j’ouvris finalement les yeux, comme si cela m’avait permis de mieux la voir, de mieux admirer cette femme qui occupait toutes mes pensées.

« Je ne veux pas te perdre non plus, Feli’ et je ne veux pas te voir souffrir à cause de moi. Chez toi, ce n’était pas une promesse en l’air. Tu comptes beaucoup trop pour moi, tu as pris trop d’importance pour que je fasse tout foirer, encore une fois. Tu es la première personne qui me voit comme je suis, qui m’accepte comme je suis et je ne t’en serais jamais assez reconnaissant, la seule chose que je puisse faire, c’est te prouver que tu as raison de croire en moi…de croire en nous. Quand je t’avais dit que je ne pouvais pas effacer toutes ces années de conditionnement, ce n’est pas complètement vrai en fait. Je me rends compte qu’avec toi, j’y arriverai. Tout est différent avec toi, je le dis, je le répète mais c’est la réalité, je n’ai jamais ressenti un truc aussi fort pour quelqu’un. Je te prouverai qu’avec toi je peux y arriver et que nous deux, peu importe ce qu’on est, ça marchera. »

Au prix d’un dernier effort, je me penchais en avant en prenant appuis sur l’accoudoir pour venir déposer un baiser sur le front Felicia, comme pour sceller cette promesse que je comptais tenir quoi qu’il arrive.

« Maintenant…est-ce que tu veux bien m’aider à m’allonger ? »       


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