Je suis né à Harlem à la fin des années 70. Je n'y ai pas grandi, donc je connais les lieux sur une vue d'ensemble. Ce n'est que lorsque je reviens à New York que je redécouvre les lieux.
Années 80
J'ai grandi en Louisiane, aux antipodes de New York, c'est coloré, animé, les gens sont proches les uns des autres, la musique est aussi différente. Et il y a des espaces pour grandir. Il y a moins d'insécurité, moins de pollution... Et donc, je vivais dans un endroit où il faisait bon vivre. Proche de ma famille, j'ai grandi avec mon père qui m'emmenait à pèche et ma mère qui prenait des soins des plus démunis. Mes parents ma sœur et moi aidions beaucoup les défavorisés, c'est d'ailleurs toujours le cas, même si les parents ne sont plus là désormais. Mais la vie de la communauté a toujours fait parti intégrante de la famille. Il était donc important de continuer. L'activité de pèche avec mon père était un moment privilégié que j'avais toujours gardé en mémoire. Nous deux, sur ce satané bateau dont mes parents étaient si fiers ! Des souvenirs inoubliables. Sans compter les fêtes de familles et celles de la communautés. Nous étions tous liés et c'était une chose qui me paraissait importante et c'est également ce qui a fait le plus fort de mon caractère : la défense des plus faibles !
Début des années 90
Je ne peux pas dire que j'adorais l'école, mais j'y allais volontiers. Je savais que mes parents trouvait l'éducation importante et je savais que je jouais mon avenir. J'étais donc assidu et concentré. Mais vite, je savais que mes aspiration étaient ailleurs. Je m'étais longtemps demandé ce que j'allais faire de ma vie, mais en vieillissant, le vision devenait plus claire et les études ne semblaient pas être le domaine où j'allais m'éterniser au grand damne de mes parents.
Fin des années 90
Adolescent cette envie va grandir et s'installer pour de bon. Quant à faire quelque chose de ma vie, il fallait que cela me plaise. Le sport allaient cimenter les fondations de mon futur. Les arts martiaux pour commencer et les acrobaties en tout genre que j'adorais pratiquer en petit comité non sans mal. Et quand je rentrais à la maison, les reproches de ma mère avaient tout fait de m'ennuyer plus qu'autre chose. Mais voilà ce que j'aimais faire, le pitre en apprenant à devenir plus fort pour ce qui m'attendait. Et avec mon baccalauréat en poche, mes années d'arts martiaux et mes cabrioles à la style yamakasi, j'allais prendre la décision, la toute première, importante de ma vie. J'allais entrer à l'armée !
Années 2000 - 2010
Je me doutais bien que j'allais devoir faire mes preuves. Comme dans tout ce que l'on commençait un jour, j'allais prendre du plomb dans l'aile et forger mon caractère en même temps que mon destin. Et j'allais bien évidemment suivre une orientation particulière qui m'amènerait chez les parachutistes pour y rester. C'était ce que je voulais, voler, sauter et défendre mon pays.
La formation n'a pas été facile, loin de là mais je me suis accroché et je me suis perfectionné. J'avais des qualités qu'ils recherchaient et je découvrais de nouvelles capacités en augmentant celles que je possédais déjà. J'ai fait de nombreuses missions, me spécialisant dans l'anti-terrorisme, ce qui me tenait à cœur. J'apprend l'Arabe et commence à en apprendre sur nos ennemis potentiels au fur et à mesure.
Entre 2010-2014
Mais vite survient un projet dans lequel je serais intégré grâce à mes capacités d'acrobate et ma force humaine physique. Mais notamment mes prouesses tactiques à ma capacité à cogiter rapidement. J'avais de très bonnes notions de pilotage même si je les laissais aux autres. Je préférais l'action. J'étais tout de même à même de piloter, mais je n'en avais pas fait ma spécialisation. Et je me rendais compte que j'aurais peut-être du. Mais qu'importe, j'avais l'occasion d'intégrer quelque chose de fantastique qui me donnerais beaucoup plus d'autonomie. Ce projet était un dispositif volant de combat complet nommé "Falcon EXO7". J'allais pouvoir voler, mais prendre mes propre décisions et surtout, avoir une maniabilité qui n'existait pas dans le pilotage des hélicoptères. J'allais pouvoir développer des possibilités tactiques différentes et sur tous les niveaux, terriens ou aériens. Ce dispositif permettait des choses incroyable. Tout était intégrer dans un seul costume, pack dorsale à ailes rétractables avec mini aile armée et téléguidée au son de la voie... vraiment une arme incroyable de dissuasion et très maniable. Les ailes pouvaient également dévier les balles, ce qui n'était qu'un plus. Il valait tout de même mieux éviter les missiles mais comme je pouvais aller plus vite en réaction qu'en pilotant un hélicoptère, cela rendait les chances d'être touché moindre. Néanmoins, il fallait une vitesse de réaction fulgurante et c'était cette capacité plus que les autres qui avait fait de moi l'un des candidat idéal avec un appui aérien et terrestre.
Je vais mener de nombreuses autres missions grâce à Falcon, mais les pertes humaines n'étant pas nulles, il arriva un moment où je perdit un frère d'arme. Riley, mon pilote, allait en faire les frais. C'est à cet instant précis que je réalisais que piloter des avions ou hélicoptères de combats me limiterait. Je savais que je ne piloterais ces engins que s'il le fallait vraiment. J'allais apprendre à connaître mon dispositif pour être à même d'apporter des modifications moi même et de le réparer. Je devais connaître mon outil de travail sur le bout des doigts.
Et puis les missions se sont fait plus rares et les buts devenaient différents même si je travaillais toujours à m'attaquer au terrorisme à la racine en continuant d'aller en Afghanistan la plupart du temps. Le reste du temps, j'avais pour mission de commencer ma reconversion à l'amicale des anciens combattant. Et finalement, cela devint un peu plus que du mi-temps. Et les missions devinrent très longues à venir. Pourtant, Dieu sait, que je n'étais pas prêt à raccrocher les gants. Mais au bout de deux fois le temps d'un engagement, il fallait se résigner.
2014-2016
Mais je fit la rencontre qui allait changer ma vie. Je n'aurais pas su dire qu'un jour cet homme allait changer mon futur et me redonner l'espoir de continuer un jour à faire ce que je savais faire de mieux : travailler à la sauvegarde de mon pays. Cet homme n'était autre que Steve Rogers, Captain America. Quelles étaient mes chances de croiser sa route, je ne le savais pas, mais je me disais que c'était le destin qui m'avait placé sur sa route et que Dieu avait une raison à cette rencontre. Une seule course aura suffit à celer mon destin. Captain America incarnait toutes les valeurs pour lesquels je m'étais battu. Le courage et l'abnégation de cet homme était un exemple. Je connaissais ses exploit, comme tout le monde, mais je savais dans le détails quels avaient été ses missions, j'en connaissais les grandes lignes et ils avaient été à de nombreuses reprises une inspiration pour moi. Mais je ne savais pas à quel point cette rencontre allait modifier mon futur. Je ne rêvais que d'une chose, plus jeune, c'est suivre son exemple et me battre pour les causes justes et sauver des gens, tout comme il avait pu le faire, mais avec mes armes.
Steve allait vite m'en donner l'occasion. Mais il fallait qu'il ait une pleine confiance avant que cela n'arrive et s'il m'était donné de prouver ma valeur, alors je ne manquerais pas de lui montrer le genre d'homme que je pouvais être. Je lui offrait simplement de venir me voir à l'amicale. Je me disais que cela serrais un bon début. Et j'avais brisé la glace en parlant de mon expérience de soldat en quelques mots. Et avait tout de même beaucoup de choses à rattraper. Alors si je pouvais l'aider au passage à combler certaines lacune, et bien pourquoi pas ? Et j'eu la chance de le voir débarquer un jour et nous avons pu parler. Je savais qu'il s'était passé quelque chose ce fameux matin. Et je sentais que nous pouvions devenir plus que de simples connaissances. Mon instinct, et très certainement le sien, nous avaient dit que nous pouvions devenir plus que des connaissances.
Et un jour, Steve débarqua et me demanda son aide. Je ne pouvais qu'accepter. Comment aurais pu refuser ? J'avais une chance inespérée de faire ce que je savais faire de mieux. J'avais toujours cette vivacité d'esprit et la forme qui me permettait de suivre. Et Steve avait pressenti que je pouvais l'aider s'il était venu à moi. J'aurais une nouvelle occasion de renfiler mes ailes pour une cause qui n'était plus que la mienne. Le SHIELD étant compromis, il aurait eu du mal à trouver assistance.
Je n'avais pas pu être des défenseurs de l'attaque de New York, je n'avais pas mes entrées au SHIELD à l'époque, et peu de gens connaissaient même son existence. Mais avec Steve, j'en avais appris un peu plus, pour savoir dans quoi j'allais me lancer. Je lui offrais mon assistance et je lui offrais une arme qui pourrait les aider dans cette tâche. Et lorsqu'il fallut enfiler le costume pour les Avengers lors de missions de récupération du SHIELD et de chasser les dernières actions d'Hydra pour s'approprié le monde, je n'hésitais pas à le suivre, ainsi que les autres Avengers. C'était une occasion en or de faire parti de quelque chose de plus grand, avec des possibilités infinies. Je connaissais comme tous les Avengers. Mais j'apprenais à travailler avec eux.
La Sokovie devait être une mission importante. Je commençais vraiment à savoir travailler avec les Avengers, mais plus avec Steve. Nous avions travailler sur différentes tactiques de combats et de manœuvres spécifiques incluant des lancers. Tout avait bien commencé, nous étions en place, j'étais chargé de suivre les mouvements et de scanner les environs et les transports susceptibles de servir à une attaque.
Malheureusement, tout ne se passait pas comme prévu. Nous étions presque arrivé à nos fins, mais un incident allait tout changer. Nous faisions attention à protéger les civils, mais plus on en fait, plus c'est difficile de gérer et l'accident arriva. Un coup dévié qui démoli une partie d'un immeuble et qui tue des civils ! Le mal était fait.
Après les incidents en Sokovie, des accords furent créés. Nous avions le choix de les signer et d'être sous le contrôle de l'armée des Etats Unis, ou de prendre une retraite plus ou moins bien méritée. il me semblait que je ne pouvais pas les signer, ni même me retirer. Je me rangeais à l'avis de Steve pour garder un semblant de liberté sans avoir à choisir. Les Avengers étaient maintenant divisés en deux camps, celui des accords et celui de la liberté ou retraite anticipé. Encore une fois, j'étais aux côtés de Steve pour l'aider. D'autres suivirent bientôt et cela ne se terminait pas très bien. Certains d'entre nous allaient être emprisonnés. Voilà ce qui nous arrivait pour avoir voulu défendre notre liberté et celle des Avengers qui refusaient d'être contrôlés.
2017-2018
Lorsque Thanos entrait dans la danse et me rappelait que je faisais toujours parti des Avengers. Il était évident que nous ne pouvions plus nous permettre de rester divisés. Même si cette fois ce n'était seulement le monde qu'il fallait sauver, mais également l'Univers, puisqu'il s'agissait de cela. Adieux les vieilles rancunes. Il nous fallait de nouveaux nous battre comme un seul homme.
Cela nous mena au Wakanda. C'est là que nous allions tous perdre. Rien n'aurait pu nous préparer à ce que la moitié d'entre nous dispaissent pendant 5 ans. Thanos avait réussi à prendre toutes les pierres et après pris la vie au passage de quelques uns des plus grands des Avengers. Un seul claquement de doigt avait suffit à faire disparaître la moitié de l'humanité.
2023
Ce n'est que lorsque tous le monde revint et que Thanos revint lui aussi que je reprend là où nous en étions restés. La bataille était loin d'être finie. Pas le temps de réalisé ce qui s'était passé, il fallait en finir. Le nombre de l'ennemi était pourtant supérieur et surtout plus fort, en théorie. Et pourtant, nous avions su l'emporter et un seul homme avait suffit à réduire à néant les espoir de Thanos de tous nous détruire en y laissant la vie au passage.
Je me sentais fier de faire parti alors de ces hommes et femmes qui avaient tout donner pour survivre et sauver l'humanité. J'avais su prouver ma valeur et accompagné ces héros, parce que c'était de cela qu'il s'agissait. Steve le savait, lui aussi. Mais après notre victoire, Steve avait décider de raccrocher son bouclier. Ce que je n'avais pas su prévoir, pourtant, c'est qu'il m'aurait fait un cadeau inestimable : son bouclier. Mais le bouclier s'accompagnait de tous un tas de responsabilités auxquelles je n'aurais pas su penser. Il me fallait vraiment me mettre dans le crâne maintenant que j'étais la prochaine génération, le New Captain America !
2024
New York célèbre ses héros. Que dire sur le sujet, les américains voulaient remercier les sauveurs de Thanos. Je le comprenais très bien, mais était-ce vraiment nécessaire ? Nous nous devions de le faire pour les gens, la population qui voulait nous célébrer. La ville elle-même, par ses dirigeants, voulaient rendre hommage à ceux qui leur avaient rendu leur liberté et qui avaient permis à tous de revenir.
Tout se passait bien, la musique, les discours, la fête était bien là. Mais ce fut de courte durée. Une anomalie allait tout faire capoter et cette anomalie n'était autre qu'une ancienne Avengers ! Après la mort de Vision durant la guerre contre Thanos, elle perdit l'esprit et s'effondra. Mais avec les pouvoirs qu'elle possédait, elle représentait un véritable danger. Nous avions tort de croire qu'elle serait parti sans vouloir se venger !
Nous allions l'apprendre à notre dépend. Mais si ce n'était que cela, mais des intrus s'étaient mêlés à la fête et tout était parti en sucette rapidement. J'en avait fait le frais. D'un revers de main, d'un coup de champ de force j'avais atterri dans un immeuble ! Non sans mal, j'avais récupéré, mais cela aurait pu être bien pire. Et lorsque tout semblait rentrer dans l'ordre, il fallait tenter de ne pas envenimer les choses en calmant les ardeurs de certains. Alors, je n'avais pas pu combattre, mais je pouvais calmer les esprits pour finir la journée sans plus de mal qu'il n'en ait déjà eu. Un véritable carnage qui n'était absolument pas nécessaire ! Nous avions gagné une bataille, mais pas la guerre. Il fallait se préparer. Et il me fallait travailler, il était évident que sur ce coup là, je réalisais que j'avais encore beaucoup à faire. Ce genre d'ennemi serait mon plus grand défi.