« Ici ou ailleurs, on se retrouve toujours sous les balles et les menaces, je ne voie pas ce que ca change. Même dans le pays le plus pacifiste ca finirait pareil je paris. » Est-ce qu’il se sent visé par une accusation qui n’est même pas proféré ? Visiblement, puisqu’Ezekiel ferme les yeux quelques secondes en permettant à ses dents de griffer le coeur de sa lèvre supérieure, se sentant obligé de se défendre alors qu’il n’est même pas inculpé. « Je tiens à préciser que ce n’est pas toujours de ma faute. » Preuve qu’il se veut convaincant, il tend son bras droit sur la table pour brandir son index levé en direction d’Hector, bien qu’il apparaisse lui-même comme peu sûr de son slogan. Mais s’il finit par quitter le masque du sérieux pour détendre ses traits avec un élan rieur, il endosse bien rapidement une posture plus grave, et en entendant combien la mission a été éprouvante pour son ami, celui en qui il a le plus confiance, il n’a pas d’autres issus que de se faire violence et de lui formuler des voeux d’excuse, qui sont bien trop rares dans sa bouche : son égo mal-placé l’empêche souvent de reconnaître ses torts, mais puisqu’il n’existe aucun rapport de force malsain avec le colosse, et qu’il lui alloue une confiance pleine, il n’hésite pas à les prononcer sans l’ombre d’une facétie ou d’une honte. « Tout ca reste la faute de ton père. Rien ne l’obligeait à faire ce qu’il a fait et n’a eut que ce qu’il méritait. » C’est vrai, mais ça tord quand même son ventre durant quelques secondes, creusant une plaie déjà ouverte et dont la douleur causée l’oblige à inspirer lentement par le nez, tandis que ses paupières s’abaissent pour que ses yeux observant la nappe blanche immaculée qui recouvre leur table. « Au moins, on en est débarrassés maintenant. » Il pense surtout à sa jumelle, qui a longtemps été un pantin entre ses mains, à son frère aîné mort à cause de lui, mais aussi à sa belle-soeur et son neveu, à jamais meurtris par l’enlèvement dont l’enfant a été victime. Non, définitivement, Vladimir Ranevskaia n’allait manquer à personne.
La conversation, ô combien morose, est chassée par l’explosion provoquée par la pizzeria un peu plus loin, et qui surprend tout le monde sauf lui. S’il n’exulte pas de rage non plus, il apparaît dans un flegme satisfait, si bien qu’il se permet même de prendre son verre pour en boire une gorgée, dans une façon discrète de célébrer la destruction de l’établissement disputé et désormais réduit en cendres. « Un feu d’artifice personnel, évidemment. » Hector n’est pas aveugle, mais Ezekiel feint l’innocence en haussant simplement ses épaules, affichant un sourire amusé qui est suivi par une moue qui se veut totalement innocente. « Qu’est-ce qui te fait dire ça ? » est prononcé d’un ton théâtral, et il s’empresse de reposer son verre sur la table et de se rapprocher de cette dernière, comprenant que le temps passé en compagnie de son ami est compté. Il est prêt à le laisser filer — puisque de toute façon il ne pourrait le retenir et que le plus important est passé maintenant, mais avant de prendre congé, il lui faut obtenir son avis sur celui qui traîne un peu trop dans leurs pattes. Et peut-être dans son esprit aussi mais ça c’est une autre histoire. « Ca depend du quel. Du biblique ou bien d’un gars en particulier ? » Atterré, il cligne plusieurs fois des paupières en espaçant ses lèvres de quelques degrés, restant un court instant suspendu à ce qu’il pense être une blague. « J’ai l’air de m’intéresser au catéchisme ? » Les sourcils froncés, il attend quelques secondes de plus avant de préciser, surpris de devoir le faire. « Caïn, le mec qui est venu avec vous à Sleepy Hollow. Qui m’a ramené. Tu vois qui c’est ? »
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-Je tiens à préciser que ce n’est pas toujours de ma faute.
Hector avait envie de répliquer « PRESQUE », car le nombre de fois où Ezekiel leur avait attiré des ennuis remplirait un annuaire. Enfin, façon de parler. Car avec le jeune homme, on vivait tellement de frasques qu’on en perdait le compte. Le mercenaire pouvait cité un beau paquet de fois où le russe leur avait attiré des ennuis, sachant qu’il en avait oublier un petit nombre. C’était amusant ce genre de chose, vous savez quand vous viviez une situation embarrassante et que vous en vouliez à un proche pour ca, mais en même temps vous en riez et vous l’aimez d’avantage.
Toutefois, paradoxalement devrait-on dire, Ezekiel qui se défendait des accusations non portés contre lui, présenta ses excuses pour ce qui c’était passer avec Vladimir. Sans doute car justement, cet épisode était beaucoup plus sérieuse et n’apportait pas à rire. Ce n’était pas le genre d’histoire qu’on racontait à table, un, dix, vingt ou cent ans plus tard pour faire rigoler tout le monde. Hector rappela donc que tout ceci était la faute de Vlad, qu’Ezekiel n’avait rien fait de mal pour mérité ca. Son père était un psychopathe qui sans doute s’en saurait prit à son fils pour n’importe quel motif, car seul comptait ses plans. Messner acquiesça, oui il n’était plus la et c’était tant mieux maintenant. Ce fou avait disparue pour toujours. Enfin espérons le vu comment les gens ici pouvaient facilement revenir dans cet univers.
L’explosion de la pizzeria vint sonner comme un gong pour signaler qu’on allait changer de sujet. Hector pour plaisanter, parla de feu d’artifice personnel, d’où Ezekiel sur un ton théâtrale joua faussement les indignés.
- Qu’est-ce qui te fait dire ça ? -Oh juste que quelqu'un aurait dut faire attention au gaz.
Avant de clôturer cette rencontre, Ezekiel interrogea Hector sur Caïn. La réponse eut l’effet de surprendre Ezekiel qui se sentait obligé de préciser totalement atterré et visiblement tomber dans la blague de son partenaire, qui ce dernier ne put s’empêcher de rire ne pensant pas que cela aurait été aussi facile.
-On dit pourtant qu’un tour à l’Eglise changeait un homme. Taquinna Messner.
Mais oui, il voyait de qui il parlait, même si l’auteur a du rechercher par derrière pour en être sûr. Du coup Hector redevenait sérieux, se rappelant de ce grand homme mince, brun et plutôt beau garçon. Il semblait plus soigné que Messner qui lui était une figure marqué par la guerre.
-Je ne le connais pas assez. Juste croisé mais il semble débarquer de nulle part. Je pensais que c’était l’un des notre qui la fait entrer, un proche vu qu’il nous a rejoint pour te libérer toi et Luhan.
Messner n’en savait pas plus, bien qu’un peu méfiant par nature, il n’enquêtait pas pour autant sur chaque membre du Devil’s et il les connaissait pourtant tous un minimum. Mais maintenant qu’Ezekiel posait des questions sur lui, le doute se renforçait. Hector fronça donc les sourcils comme s’il sentait près de lui une mauvaise odeur.
-J’en déduis que tu ne le connais pas vraiment non plus ? Tu as besoin que je le garde à l’œil ?
Si quelqu’un venait à menacer le Devil’s avec ses membres et surtout Ezekiel, le Minotaure pouvait se transformer en véritable Cerbère enragé. Après tout, il était un protecteur du patron, qui veillait aussi sur ses proches et employés. Après ce Caïn pouvait être un homme réglo, enfin réglo comme on pouvait l’être parmi eux.
On se bat tous pour quelque chose, surtout pour ce qui nous manque.
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Ezekiel Ranevskaia The Master Of Chess Leader du Devil's Club
Le moins que l’on puisse dire est que le russe accorde sa confiance, la vraie, à très peu de monde. Il y a bien ceux qui ont une forme de tolérance et de crédit à ses yeux, qui peuvent se soustraire à sa méfiance mais qui ne gravitent pas suffisamment autour de son intimité pour être dans la confidence de ses pensées et de ses doutes ; Hector, l’est, lui, et c’est la raison pour laquelle il a été convié à ce petit spectacle, duquel ils se détournent rapidement cependant. Ce n’est pas raison principale de leur entrevue, mais Ezekiel se réjouit d’avoir assisté à la destruction des quatre murs poisseux pour lesquels on l’a tant emmerdé au cours de ces dernières semaines ; alors certes, il aurait pu les céder sans en subir la moindre perte mais son égo mal placé a encore fait des siennes, et c’est donc un tas de ruines et de poussières qu’il leur rend. Si la vision de sa vengeance mise a exécution l’a fait sourire pendant quelques secondes, produisant un air à la fois malicieux et satisfait à son visage, il se tend de nouveau lorsque le nom de Caïn est évoqué. ''On dit pourtant qu’un tour à l’Eglise changeait un homme.’’ Pressant ses lèvres dans un sourire amusé, il fronce le milieu de son nez en demandant, d’un ton espiègle ’’Pour le meilleur ou pour le pire ?’’ Il est peut-être préférable de ne pas savoir.
''Je ne le connais pas assez. Juste croisé mais il semble débarquer de nulle part.’’ C’est là tout le noeud du problème, et Ezekiel hoche son menton de haut en bas en plissant légèrement ses paupières, baissant un instant les yeux vers leur table comme pour mettre de l’ordre dans ses idées ''Je pensais que c’était l’un des notre qui la fait entrer, un proche vu qu’il nous a rejoint pour te libérer toi et Luhan.’’ L’impression d’être un putain d’ingrat roué par la paranoïa s’infiltre dans son esprit et il recule sur sa chaise en essayant de détendre les muscles de ses épaules, puisqu’il ne sait pas trop comment formuler le fond de sa pensée : dans son mutisme, il tente encore de croire qu’il va trouver une façon diplomatique de dire tout haut ce qu’il pense tout bas, en sachant par avance que c’est peine perdue. ''J’en déduis que tu ne le connais pas vraiment non plus ? Tu as besoin que je le garde à l’œil ?’’ Remuant légèrement ses lèvres, il se rapproche de la table en posant de nouveau son regard sur Hector, décidant finalement de ne pas prendre de gant avec son ami le plus proche : de toute façon, Ezekiel ne l’a jamais ménagé et Hector n’a jamais demandé à l’être. ’’Crois pas que j’suis ingrat pour ce qu’il a fait pour moi, je sais très bien ce que je lui dois. C’est justement ça le problème.’’ Marquant une petite pause, il appuie son coude sur la table pour glisser sa main dans ses cheveux en poursuivant, le visage légèrement penché sur le côté, conscient qu’il passe pour un aride incapable de reconnaître la main qu’on lui tend avec générosité. ’’Il bosse pour la mafia italienne, laquelle ne me porte pas vraiment dans son coeur comme tu le sais. Il aurait dû se réjouir de ce qui m’arrivait, pas voler à mon secours, c’est dans leurs intérêts que je sois six pieds sous terre. Il aurait pu me tuer, quand on est partis, j’étais complètement à l’ouest… Mais non, il a tout fait pour que je survive alors ouais, je me pose des questions. Les italiens ne veulent plus venir au Devil’s et lui, il va bientôt y prendre une chambre si ça continue’’ rendu nerveux d’aborder ses doutes à voix haute, presque mauvais dans le ton de sa voix, il racle discrètement sa gorge en reculant aussi bien son buste que ses mains, visiblement contrarié. ’’Tu vas t’dire que j’suis aussi ingrat que parano mais… Je trouve ça louche, c’est tout.’’ Haussant simplement ses épaules avec dédain, il rajoute avant de se taire : ’’Oui, j’voudrais que tu gardes un oeil sur lui. J’sais pas… Peut-être que je m’inquiète pour rien. Mais on sait jamais.’’
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Dans la vie de tous les jours, Hector était connu comme une personne agréable, joueur, amical, drôle et même encourageant. L’image du grand gaillard excellent compagnon, qui pouvait contraster avec celle du mercenaire qu’on connaissait. Pourtant, à cet instant, Messner oublia son aspect amicale pour celui du paranoïaque. Quand on lui faisait comprendre ou mentionner un potentiel danger à cause de quelqu’un, le mutant devenait le plus prudent des hommes.
Il est vrai qu’il ne s’était pas trop pencher sur le cas de Caïn pour les raisons énumérés tantôt. Mais en voyant la suspicion d’Ezekiel , le mercenaire se disait donc qu’il y avait raison de s’inquiété alors. Peut-être pas, mais disons que l’indicateur de risque était élevé à ce moment là. Hector fit rapidement le tour de ce qu’il savait sur lui pour débuter son enquête, c’est-à-dire rien.
- Crois pas que j’suis ingrat pour ce qu’il a fait pour moi, je sais très bien ce que je lui dois. C’est justement ça le problème.
Ezekiel avait beaucoup de défaut, mais l’ingratitude non. Du moins le mercenaire ne l’avait jamais connu ainsi, et donc si malgré que Caïn est contribué à sauver quand même le russe et qu’Ezekiel demeure sceptique, alors son ami devait avoir ses bonnes raisons, raisons qu’il dévoila de suite à l’australien pour faire comprendre sa pensée.
-Il bosse pour la mafia italienne, laquelle ne me porte pas vraiment dans son coeur comme tu le sais. Il aurait dû se réjouir de ce qui m’arrivait, pas voler à mon secours, c’est dans leurs intérêts que je sois six pieds sous terre. Il aurait pu me tuer, quand on est partis, j’étais complètement à l’ouest… Mais non, il a tout fait pour que je survive alors ouais, je me pose des questions. Les italiens ne veulent plus venir au Devil’s et lui, il va bientôt y prendre une chambre si ça continue.
Hector fit une moue pour réflechir, méditant un instant sur ce qu’il venait d’entendre. Il venait de la mafia Italienne ? Vu l’amour entre russe et italien, voir pizzeria qui brûle en face, voila qui pouvait choqué que l’un dès leurs pouvait se promener tranquillement au Devil’s. Hector allait devoir mener une grosse enquête sur lui et la débutait maintenant.
-Etrange en effet. Comment s'est il fait intégrait parmi nous ? Quelqu'un la recommandé ou autre chose tu le sais ?
Peut-être qu’un de leurs proches et connaissance de Caïn a put fait entrer cet italien dans leur monde. Si tel était le cas, ce sera par cette personne qu’Hector débutera, après Ezekiel. Ce dernier se cala dans son fauteuil, raclant la gorge pour annoncer :
- Tu vas t’dire que j’suis aussi ingrat que parano mais… Je trouve ça louche, c’est tout.
Hector fit un léger sourire comme pour rassurer.
-Non tu as raison. Un parfait inconnu qui débarque d’où on ne sait où et te sauve, c’est étrange. Mais je suis sur que si on prouvait sa bonne fois tu lui offrirais à boire pour le remercier.
Mais pour cela, il fallait enquêter et Hector proposa de garder un œil sur Caïn histoire de s’assurer que ce dernier n’avait rien de louche à cacher, du moins louche contre le Devil’s car ils restaient tous ici une mafia quand même. Haussant les épaules avec dédain, Hector avait un peu de mal à interpréter ce geste.
- Tu vas t’dire que j’suis aussi ingrat que parano mais… Je trouve ça louche, c’est tout. -Ok dans ce cas. Si tu le permets, j’enquêterais sur lui en interrogeant les membres du Devil’s. Quelqu’un doit bien savoir au moins un truc sur lui, il n’a pas put apparaitre chez nous comme ca.
Quoi que, avec toutes ces histoires de magies, aliens et j’en passe dans ce monde, cela ne serait pas plus incroyable qu’autre chose après tout. En tout cas, Hector comptait bien découvrir la vérité.
On se bat tous pour quelque chose, surtout pour ce qui nous manque.
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Ezekiel Ranevskaia The Master Of Chess Leader du Devil's Club
Même s’il craint de se dévoiler sur un visage qui n’est pas le sien, à savoir comme un ingrat incapable de se défaire de son masque de méfiance pour admettre la gentillesse désintéressée chez autrui, Ezekiel s’emploie à détailler les raisons de sa méfiance envers le dénommé Caïn, sans savoir comment son ami va recevoir le discours qui est le sien. Hector le connaît suffisamment pour savoir que le plus jeune peut se montrer contrariant, même lourdement agaçant et gravement impulsif, mais qu’il n’est pas suffisamment disgracieux pour nier la bonté qu’on lui offre : s’il s’alarme, c’est peut-être pour de bonnes raisons ? ’’Etrange en effet.’’ que Hector admettre que ses suspicions sont fondées, ça le soulage d’un poids qui lui fait abaisser les épaules et lentement souffler par le nez, si bien qu’il joint ses mains l’une contre l’autre en rapportant ses doigts contre sa bouche, juste sous son nez. ’’Comment s'est il fait intégrait parmi nous ? Quelqu'un la recommandé ou autre chose tu le sais ?’’ L’introduction de Caïn dans le cercle du Devil’s n’est pas si ancien, puisque le brun a été présent dès l’ouverture du night-club, mais Ezekiel ne parvient pas à remettre le doigt sur un souvenir précis, n’étant même pas capable de désigner leur première rencontre ’’J’en ai aucune idée…’’ admet-il en fronçant ses sourcils, ne cessant de creuser sa mémoire pour replacer les images dans l’ordre chronologique… en vain. ’’…J’ai l’impression qu’il a toujours été là. Dès le premier jour, je veux dire.’’ mordillant l’intérieur de sa joue, Ezekiel penche son menton sur le côté sans quitter son ami des yeux puisque, en cet instant, il a pleinement l’impression qu’on l’écoute et le prend au sérieux, et il n’y a rien d’étonnant à cela puisque Hector lui a prouvé maintes fois de sa loyauté.
’’Non tu as raison. Un parfait inconnu qui débarque d’où on ne sait où et te sauve, c’est étrange. Mais je suis sur que si on prouvait sa bonne fois tu lui offrirais à boire pour le remercier.’’ il ne peut s’empêcher de sourire vaguement en songeant que, il lui a déjà offert un verre la veille au soir, sans rien lui partager de ses doutes bien entendu, puisqu’il n’a aucune preuve. Mais des preuves, peut-être que le colosse va en trouver… ’’Ok dans ce cas. Si tu le permets, j’enquêterais sur lui en interrogeant les membres du Devil’s. Quelqu’un doit bien savoir au moins un truc sur lui, il n’a pas put apparaitre chez nous comme ca.’’ il hoche de nouveau son menton de haut en bas avant de dire, tout d’abord ’’Merci’’ de tout ce qu’il fait pour lui, à chaque fois, sans qu’Ezekiel est véritablement besoin de lui demander. ’’Tu as carte blanche… Préviens-moi si tu trouves quelque chose.’’ marquant une petite pause, il passe la pointe de sa langue sur ses lèvres avant de conclure, puisque leur entrevue s’achève ’’Tu avais l’air pressé, tu veux que je te téléporte quelque part ?’’ S’il accepte, Ezekiel l’emporte avec lui au lieu demandé et, si non, il retourne simplement au Devil’s où il est attendu, soulagé d’avoir partagé ses doutes avec quelqu’un d’autre. Quelqu’un de confiance.
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