C’est la première fois que les deux jeunes femmes s’adonnent à ce genre d’entraînements, il est donc normal qu’il faille faire des ajustements pour trouver un certain équilibre ; elles doivent se comprendre sans parler et, surtout, ne pas mettre l’autre en danger. C’est cette partie qui inquiète surtout la rouquine, qui attend patiemment que sa comparse reprenne sa place, après avoir été rassurée par les paroles de cette dernière.
« Allons-y ! » Cette fois, c’est la bonne, elle en est tout bonnement convaincue. Alors, sans douter des capacités de son amie, la rousse se saisit du fameux ballon, qu’elle lance en sa direction, le propulsant grâce à sa télékinésie : elle le suit des yeux, les lèvres entrouvertes et le souffle retenu. D’une vitesse prodigieuse, le ballon se répercuta contre le bouclier de Soraya, si fort qu’il en fut littéralement explosé. « Ça alors ! » Lance-t-elle, véritablement impressionnée, en se rapprochant de quelques pas pour observer le cadavre de cuir. « Un mort... Je crois que j'y ait été un peu fort… » Un grand sourire ornant ses lippes, elle relève le menton vers Soraya pour lui dire, d’une voix enjouée : « Tu as réussi ! » Partageant son rire joyeux, Jean retourne ensuite à sa place pour piocher un troisième objet au hasard, prenant ainsi dans sa main, un Frisbee. « Prête ? » Encore une fois, lorsque l’accord est donné, l’objet est lancé à pleine vitesse en direction de Soraya, avec une puissance légèrement augmentée pour élever la difficulté.
Voyons si c’est une seconde réussite…
THE FIRE FINDS A HOME IN ME ᭸ clipped wings, I was a broken thing, had a voice but I could not sing. there's a scream inside that we are frightened,we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we are frightened, I’ll shout it out like a bird set free.
Soraya avait tenu a se montrer rassurante et il semblait que son discour avait marché. La victime cette fois ci fut un ballon, qui explosa en heurtant son bouclier, subissant alors l'excès de zèle de la jeune brune. « Tu as réussi ! » Avait-elle clamé, tandit que Soraya de son coté ne pu retenir un fou rire devant l'état pitoyable du ballon, bientôt suivit de son amie. Prochain progectil: un frisbee.
"Je vais essayer de pas lui faire trop mal cette fois."
Dit-elle avant de se mettre en position. Alors que l'objet arrivait vers elle, cette fois ci, pas de casse. Le disque en plastique jaune fluo se contenta de stopper sa course pour être éjécté en sens inverse. Ce n'était pas non plus un retour a l'envoyeur, il avait juste voler un peu plus loin. Une bonne maitrise par rapport aux premiers essais.
"C'est mieux, faut que j'apprenne a être plus douce. Mon but, c'est de protéger, pas de causer des blessures. On essais avec quelque chose d'un peu plus lourd? Il y a des altères au fond. Je vais nous chercher des casques, au cas ou"
Soraya quitta la pièce quelques instant et revint avec deux casque de baseball dont un qu'elle mit sur sa tête, avant de tendre le deuxième a Jean. Elle alla ensuite se remettre en position:
"Et voila, tu peux y aller avec une petite pour commencer"
Le ballon ayant donné son dernier souffle contre le bouclier de Soraya, sous les applaudissements et félicitations de son amie rousse, c’est une autre victime qui se voit balancer contre celui-ci : un Frisbee encore en état d’être utilisé, d’une couleur aussi vive mais effacée à certains endroits, preuve qu’il a bien servi lui aussi. « Je vais essayer de pas lui faire trop mal cette fois. » Joueuse, Jean fait danser ses sourcils sur son front en laissant un frêle sourire prendre place sur ses lèvres, concentrant ensuite une partie de son esprit à la projection d’objet, qui vient cogner contre le bouclier : sans subir une désintégration comme son prédécesseur, le Frisbee est simplement renvoyé sur le côté, de la même façon que s’il avait rebondi. « Wow ! » S’impressionne Jean en haussant haut ses sourcils, suivant des yeux la trajectoire de l’objet propulsé.
« C'est mieux, faut que j'apprenne a être plus douce. Mon but, c'est de protéger, pas de causer des blessures. » Le Phoenix hoche lentement son menton de haut en bas, en signe de compréhension mais aussi de partage : elle est du même avis que Soraya. « On essais avec quelque chose d'un peu plus lourd? Il y a des altères au fond. Je vais nous chercher des casques, au cas ou. » « Des casques ? » Demande-t-elle avec amusement en glissant ses mains dans ses poches arrières, en souriant de bon coeur : son amie s’éloigne et, elle, se retourne vers les fameux altères. En choisissant celle qui lui semble la moins lourde, elle use de sa télékiénsie pour le ramener en sa direction sans avoir à le porter.
La belle brune revient quelques secondes plus tard, tendant un affreux casque à Jean qui, malgré son rictus, accepte de le mettre pour rassurer son amie. « Qu’est-ce que tu me fais pas faire ! » Elle préfère ne pas savoir à quoi elle ressemble ainsi, alors… Elle se remet en position comme Soraya, l’altère suspendu juste à côté d’elle. « Et voila, tu peux y aller avec une petite pour commencer » « Prête ! » Elle se concentre quelques secondes puis lance l’altère comme les objets précédents, en direction du bouclier… En priant intérieurement pour que ce dernier fonctionne !
THE FIRE FINDS A HOME IN ME ᭸ clipped wings, I was a broken thing, had a voice but I could not sing. there's a scream inside that we are frightened,we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we are frightened, I’ll shout it out like a bird set free.
L'annonce des casques et l'arrivée de ceux ci faisaient sensation, surtout lorsque les deux jeunes femmes s'en affublerent. Entre le bleu électrique qu'elle avait donné à Jean et le rouge extincteur qu'elle avait enfiler sur sa tête, a elle, on pouvait dire que c'étaitla grande classe!
"C'est pour la sécurité, c'est le mieux que j'ai pu trouver... désolé!"
Dit-elle avec un petit sourire taquin, sortant alors son téléphone:
"Un petit selfie pour le souvenir? Promis, ca restera entre nous, je vais jamais sur les réseaux."
Suivant l'accord de Jean, Soraya rangea son téléphone, avec ou sans la photo, pour reprendre l'entraînement. Avec des poids et des altaires en guise de projectil, on montait d'un niveau. Alors que Jean projetais vers elle l'une des altaires, le plus petit modèle, Soraya envoya son bouclier. L'objet massif le percuta, comme si il avait rebondit sur quelque chose de souple et élastique et non un mur, comme on pouvait en avoir l'impression avec les objets plus léger.
"Bon, je l'ai un peu plus sentit passé, mais je maîtrise!"
Affirma-elle d'un ton enjoué, heureuse de ne pas avoir à rougir de ses prouesses
« Tu crois que ça met mon teint en valeur ? » Demande-t-elle sur le ton de l’amusement, en nouant son casque sous sa gorge, obéissant seulement pour faire plaisir à son amie puisque, elle n’a aucunement envie de l’inquiéter inutilement. La tranquillité d’esprit de Soraya vaut bien plus que la dignité de Jean, donc. « C’est pour la sécurité, c'est le mieux que j'ai pu trouver... désolé! » Un léger rire emportant ses lèvres, la rousse appuie ses mains contre ses hanches en répondant, aussitôt et sur le même ton que son rictus joyeux : « Je suis curieuse de voir les autres, si ceux-là sont les mieux ! » Lorsque Soraya sort son téléphone, Jean grossit légèrement ses yeux en reculant son menton, comprenant déjà ce que la brune s’apprête à faire… « Un petit selfie pour le souvenir? Promis, ca restera entre nous, je vais jamais sur les réseaux. » Heureusement qu’elle n’a pas peur du ridicule ! « Allez, tu me l’enverras ! » Prenant la pose à côté de son amie, Jean s’adonne volontiers à plusieurs photos, dont une où elle fait une vilaine grimace. « Promis tu ne la publies pas, hein ! »
Une fois la pause terminée, l’entraînement reprend : l’altère projeté contre le bouclier subit un rebond curieux, avant de retomber sur le sol. Ravie de voir que son amie progresse considérablement en peu de temps, Jean tapote ses mains l’une contre l’autre pour l’encourager mais également la féliciter, sans se défaire du sourire qui orne ses lèvres. « Bon, je l'ai un peu plus sentit passé, mais je maîtrise! » La rousse hoche son menton de haut en bas, sans la quitter des yeux, visiblement heureuse d’assister à ce moment grandement important pour Soraya. « C’est génial ! Tu n’imagines pas à quel point c’est fort ce que tu viens de faire… » Prenant un moment de silence pour permettre à la brune de réaliser ce qu’elle a accompli, elle reprend ensuite : « On continue ou tu veux t’arrêter là ? »
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« Tu crois que ça met mon teint en valeur ? » Demanda son amie, faisant joyeusement rire la jeune brune:
"Parfaitement, j'ai penser que c'est le bleu qui t'irait le mieux et j'avais raison!"
A ces paroles, Soraya ajouta une petite moue taquine ou elle tira la langue, plaisantant gentiment avec son amie. Quand a voire les autres...
"On avait le choix entre des casque de Hockey du siècle dernier qui ont plus que bien vécut et un casque de vélo rose a paillette pour enfant. Donc oui, j'ai prit les moins pires"
Et quand a prendre des selfie, Jean s'était d'abord montré réticente, avant de se prendre au jeux, faisant différentes pose, dont une avec grimace, que Soraya s'empressa d'imiter. Pas une pour rattraper l'autre sur ce dernier cliché! Aussitôt, la jeune femme les envoya, a la demande de son amie. « Promis tu ne la publies pas, hein ! »
"Promis, comme je te l'ais dit, je ne vais pas sur les réseaux."
Une fois ce joyeux intermède terminé, l'entrainement pu reprendre de plus belle et la première altère fut arrêtée avec succès « C’est génial ! Tu n’imagines pas à quel point c’est fort ce que tu viens de faire… »
"Merci, mais la, c'est pas grand chose en vrais. Mon record, c'est des munition de gros calibre. Mais c'était une question de survis. Tu sais... les attentats du 29 Septembre. J'y était. J'ai fait le bouclier pour un petit groupe. J'ai du tenir une minute tout au plus... Il faut que j'arrive a tenir plus longtemps."
Mauvais souvenir. Soraya réalisait que c'était la première fois qu'elle parlait de cette journée funeste, hormis avec Helaris qui était a leurs coté ce jour la. Le silence qui suivit était plutôt pesant, montrant que la jeune femme venait d'évoquer un sujet douloureux. « On continue ou tu veux t’arrêter là ? » La voix de Jean la ramena a l'instant présent et Soraya répondit d'un petit hochement de tête:
"On peut continuer, une petite dernière."
sur ces mots, la jeune femme se placa a nouveau, prête a réceptionner le projectile.
Après la cession photos, qui est une pause bien méritée pour les deux, Jean reprend sa mine sérieuse afin de poursuivre l’entraînement qui, il faut bien l’avouer, est une parfaite réussite. Soraya est une mutante foncièrement douée, et il ne lui a fallu que de maigres essais avant d’entrevoir une évolution tout à fait favorable de son bouclier, ce qui est prometteur.
Elle ne tarit d’ailleurs pas d’éloge à son propos suite à l’haltère interceptée, mais perd rapidement son sourire lorsque la réponse de Soraya lui parvient à la suite. « Merci, mais la, c'est pas grand chose en vrais. » Elle s’apprête à lui rétorquer qu’il n’y a pas de petites victoires mais, heureusement, elle se tait. « Mon record, c'est des munition de gros calibre. Mais c'était une question de survis. Tu sais... les attentats du 29 Septembre. J'y était. J'ai fait le bouclier pour un petit groupe. J'ai du tenir une minute tout au plus… » Le souvenir est encore douloureux et cela se comprend ; c’est à la fois déjà loin et très (trop) proche. « Tu leur as sauvé la vie. » Jean presse ses lèvres l’une contre l’autre d’un air sincèrement désolé, car n’ayant pas besoin de fouiller dans la mémoire de sa comparse pour imaginer les sentiments ressentis : la peur, terrible, qui sillonne les veines lorsqu’on croit que sa fin est proche. « Il faut que j'arrive a tenir plus longtemps. » Les mains sur les hanches, la rousse se questionne : doit-elle engager la conversation en ce sens, creuser ce traumatisme encore vif dans l’esprit de la brune, ou bien poursuivre l’entraînement en reportant cette conversation à plus tard ?
« On peut continuer, une petite dernière. » Elles évoqueront donc le sujet sensible un peu plus tard. Jean hoche son menton de haut en bas, se reculant pour prendre sa place initiale, tournant son visage de profil pour fouiller parmi les objets proposés. Elle décide donc de prendre un haltère un peu plus lourd, qu’elle soulève grâce à la télékinésie ; lorsque Soraya décrète qu’elle est prête, que ce soit par une formule verbale ou un simple hochement de tête, l’objet est propulsé sans délai en sa direction, non sans provoquer une certaine tension chez l’assaillante…
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Evoquer les attentats de Septembre était difficile, d'autant plus que Soraya en avait inconsciemment occulté une partie. « Tu leur as sauvé la vie. » Lui disait Jean, pour la rassurer. Mais Soraya, comme toute personne forcé de s'improviser héroïne se heurtait a la réalité: elle n'avait pu protéger qu'un tout petit nombre sur les centaines de victimes. Uniquement ceux qui étaient a sa portée.
"Mais pas tous. J'avais sympathiser avec deux des participantes a l'évènement. L'une est morte sous mes yeux et la deuxième s'est retrouvé en torche humaine... Elle a survécut, mais je ne sais pas avec quelle séquelles. Je me rappel plus de tout. Je crois que j'ai perdu connaissance a un moment, avant l'arrivée des secours."
Comme pour fuir ces souvenirs traumatiques, Soraya décida de reprendre l'entrainement, une dernière fois, la fatigue commençant aussi a se faire sentir. L'altère, aisément soulevée par le pouvoir de Jean, fut envoyée vers elle et encore une fois, Soraya tenta de la réceptionner, avec un peu plus de précipitation. Une fois que le projectile retomba au sol pour rouler sur uqelques mètres, la jeune femme s'essuya le front en soufflant un bon coup. Elle se sentait arriver au bout de ses limites.
"Ca ira pour aujourd'hui je crois, je suis KO."
Dit-elle en se penchant en avant pour appuyer ses mains sur ses genoux, position qui lui permettait de récupérer un peu de force.
Elle voit bien, Jean, que le sujet est encore sensible dans le coeur de son amie, et elle ne cherche pas à dédramatiser l’horreur qu’elle a subi car cela reviendrait sans nul doute à nier sa souffrance et son vécu, et ce n’est point le sentiment qu’elle veut lui procurer, bien au contraire. Soraya a été héroïque ce jour-là, tout comme elle l’avait été lors du Jour des Héros d’ailleurs, et elle préfère l’écouter attentivement plutôt que de se risquer encore à prendre la parole, songeant que la brune a davantage besoin de parler qu’elle. « Mais pas tous. J'avais sympathiser avec deux des participantes a l'évènement. L'une est morte sous mes yeux et la deuxième s'est retrouvé en torche humaine... » Son coeur se serre en faisant remonter le sentiment dans sa gorge, véritablement émue du discours confié par Soraya. Elle ne peut s’imaginer réellement ce qu’elle a vécu lors de l’attentat — et ne compte pas arpenter ses souvenirs pour le savoir, mais elle compatit sincèrement à sa douleur. « Elle a survécut, mais je ne sais pas avec quelle séquelles. Je me rappel plus de tout. Je crois que j'ai perdu connaissance a un moment, avant l'arrivée des secours. » Délicatement, Jean prend l’une de ses mains pour la recouvrir avec les siennes, avant de finalement la prendre dans ses bras pour la serrer tendrement contre son corps durant quelques secondes, lui murmurant d’une voix basse : « Tu as été courageuse, tu peux être fière de toi… Moi, je le suis. » Un instant, elle caresse son dos durant quelques secondes avant de se redresser, hésitant quelques secondes avant de lui dire, avec un sourire de tendresse : « Tu voudrais qu’on essaie de la retrouver ? »
Mais l’entraînement revient rapidement, peut-être pour chasser ce souvenir douloureux et permettre à Soraya de concentrer son esprit sur autre chose : cela fonctionne plutôt bien puisque le nouvel essai est une vraie réussite, comme les suivants. « Ca ira pour aujourd'hui je crois, je suis KO. » Et il y a de quoi ! La jeune mutante a été largement productive aujourd’hui. Un doux sourire aux lèvres, la rousse se rapproche pour déposer une main sur son épaule inclinée. « C’est déjà beaucoup ce que tu as fait en une seule fois. » Retirant sa main de son épaule, elle passe cette même main sur son propre front avant de proposer : « On va boire quelque chose de frais ? Un milkshake ? Il y a un fast-food pas loin, si tu veux. »
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Une fois les confidences faites, et cela, pour la première fois depuis plusieurs mois, Jean se montra compréhensive, affirmant même qu'elle avait été courageuse, alors que la jeune brune n'avait, a ses yeux, agit uniquement par instinct de survis. Elle proposa même de retrouver l'une des amies qu'elle s'était faite: Kate. Mais malgré un premier message envoyé par Soraya, celui ci demeurait encore sans réponse a ce jour. La jeune femme de son coté n'avait pas oser insister d'avantage.
"Je ne pense pas que ce soit une bonne chose. On s'était échangé nos numéros pour rester en contacte avant que ca ne dégénère. Je lui ait envoyer un message des que j'allais mieux, mais elle n'a pas donner suite, alors je suppose qu'elle préfère oublier, tout comme moi. C'est peut être mieux comme ca après tout."
Répondit-elle en secouant la tête d'un air résigné. Elle s'était fait a l'idée de ne plus revoir Kate après le drame. Enfin, devant la fatigue qui commencait a se faire sentir en plus des émotions qui remontait a la surface suite a l'évocation de l'attentat, Soraya préféra mettre fin a l'entrainement, mais les deux amies ne comptaient pas se quitter si vite, puisque Jean proposa d'aller prendre un milk-shake.
"C'est une bonne idée, il nous faudra au moins ca. Ca sera vanille pour moi, mais avant, on va se débarrasser de ces trucs."
Dit-elle, en retirant son casque et en invitant Jean a faire de même, allant ensuite ranger le matériel ayant survécut a leurs exploit puis jeter les cadavres a la benne. Une fois chose faite, elle enfila sa veste, prête pour un doux moment de réconfort en compagnie de sa chère amie Jean.
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Jean Grey
