[Terminé] Un nouveau monde [pv Bucky Barnes]

Namor fut envoyé avec un message de paix, mais connaissant son grand-père, les choses sont toujours plus compliqués qu’elles n’y paraissent. Si leur roi décidait de quelque chose d’hostile depuis le début, le prince serait furieux de ne pas avoir était mit dans le secret des dieux. Servir de pion, de prétexte. Namor quand il devait faire de la politique, il privilégiait toujours le direct. Pas de formules détournés, de petits jeux hypocrites. S’il voulait la paix, il le disait haut et fort. Si c’était la guerre qu’il cherchait, ses intentions étaient connus de suite. Peut-être était-ce cette grande franchise qui faisait peur à son roi et à son gouvernement.

Namor voulu se montrer patient pour recevoir une audience avec au moins le chef de cette nation. Il pouvait comprendre que cela puisse prendre un peu de temps et son homologue en face, confirma que cela risquait de ne pas arriver bien vite. Namor pouvait déjà s’en porter un peu de cette longue attente tout de même depuis le temps, mais le sourire cordiale de l’homme au bras de fer semblait réussir à tempérer le caractère du prince. Ce dernier voyait bien que son hôte n’était en rien à sa situation. Peut-être pas directement, peu importe, le prince voulu bien préciser certaines choses. "Pas trop longtemps j'espère en tout cas. Il est vrai que je peu manquer parfois de patience. Mais si je pouvais attendre mille ans encore, je doute qu'il en soit tout autant pour notre gouvernement. Voyez-vous, faire attendre un invité diplomate aussi longtemps est un signe de méprit. J'ignore ce que notre roi décidera après, mais si votre gouvernement continue à nous faire attendre, nous risquons soit d'offrir notre soutient à une autre nation ou... Pire." Namor ne disait pas cela pour menacer. Au contraire, il voulait expliquer un peu comment fonctionnait la mentalité des dirigeants atlantes. Le prince pouvait bien faire l’effort de comprendre que c’était différends chez les humains, mais pas sur qu’il en soit autant chez les siens.

"Nous avons de nombreux plats variés bien entendu. Je ne suis pas un expert culinaire pour tout énuméré. Mais nous avons des plats composés d'algues, de fruits de mers et de plusieurs variétés de chaire de la faune locale. Généralement, on vous propose un plat avec les diférends aliments séparés que vous devez mélanger. Mais nous savons composés des mélanges forts qui peuvent revigorer un guerrier." Les plats existant étaient si nombreux qu’il serait difficile de tout énumérés. Cela faisait étrange à Namor de parler de choses simples loin de politique ou de guerre, il ignorait encore s’il appréciait ca. "Mais si je dois vous en parler d’un, ce serait le Gul’ntchak. C’est une sorte de gâteau. Sucré, où l’intérieur est fait de chaire de crabe ou de poulpe, le tout entourer d’algues et surmonté de perles de sucres."

Namor partagea son envie de faire visiter à Bucky l’Atlantide, afin que ce dernier se rende compte de la puissance et la gloire de l’empire sous-marin. Sans doute que voir valait mieux que mille mots. Et si vraiment une alliance devait être créée, il faudra bien qu’ils puissent eux aussi venir sur leur territoire.

"Notre capitale se trouve sous le continent de glace que vous appelez Antarctique. Nous possédons sinon d’autres cités rependus au Sud du globe. Nous y faisons presque tout le tour." Pourquoi ne pas justement montrer à quel point leur territoire était grand.

Namor voulu expliquer sans filtre, mais en faisant des efforts diplomatiques pour ne pas brusquer, d’expliquer la situation. A sa connaissance, Barnes n’avait rien à voir avec ce qui se jouait. Ou alors si, c’était un homme pouvant agir dans l’ombre et avait un certains poids dans les décisions, ca Namor n’en avait aucune idée, ne comprenant pas tout ce qui concernait les rôles jouer dans ce monde. Mais n’étant pas de nature paranoïaque, attendant qu’on lui confirme la chose, pour lui Bucky était innocent des décisions prises par son gouvernement. En conclusion il n’avait aucune raison de lui tenir rigueur pour ce qu’il se faisait et se décidera par la suite.

"Nous ne sommes jamais à l’abris d’un conflit. Vous êtes un homme forger dans la guerre comme moi, je peux le sentir. Vous savez alors qu’un rien suffit pour voir deux nations se détruire."

C’était clair, rien ne garantissait qu’à la fin, une paix sera signée. Si même Namor venait avec un présent pour renforcer cette éventualité, rien n’assurait ce dénouement. Surtout entre ces deux souverains si particuliers. Namor n’avait que des échos sur ce président qu’on lui parlait tout le temps et le rassurait que peu. Mais il connait son grand-père pour savoir qu’il ne le connaissait pas. Phrase étrange sans doute, mais pour dire que le prince connaissait suffisamment son roi pour savoir que ce dernier était imprévisible, assez lunatique dans ses décisions, très secret. En gros, il pouvait s’attendre à voir son souverain changer ses plans au dernier moment, adopter une attitude très différentes mais il ne serait prédire en quoi le vieux roi risquait de se métamorphosé.

"Je n’ai rien dit de tel." Répondit le prince un peu sèchement quand Barnes demandait si son peuple comptait envahir le sien. "Si nous prévoyons de vous envahir, ce serait déjà fait. Comme je vous l’ai dis, nous venons pour parler de paix. Mais si cette offre est décliné ou non respecter, les options qui suivront risquent d’être moins agréable." Le peuple atlante agissait comme n’importe lequel, il cherchait à survivre. Au moins, on proposait une voie diplomatique en premier lieu avec ces voisins si inquiétant avant d’en appeler aux armes. Qui gagnerait dans ce conflit ? Difficile à le savoir, mais une chose était certaine, une guerre apporterait autant de destruction et de morts dans les deux camps. "En tout cas la décision ne dépendra pas de moi."

Le sujet changea pour parler un peu des cultures de chacun, où Namor mentionnait un plat typique atlante. "C’est délicieux. Le goût surprend quand on le découvre." Cela ne le dérangerait pas plus que ca que de faire découvrir à Barnes quelques mets typiques et aux facettes de la culture atlante. Il était si fière de sa nation, de ce que son peuple eut put créer qu’il voulait tout faire découvrir. C’est la que Barnes eut une sorte d’appel et présenta ses excuses de devoir abandonner le prince là. "Ne vous inquiétez pas. Allez défendre votre nation. Le devoir d’un guerrier n’attends pas." Namor pouvait comprendre les obligations que Bucky Barnes. Un guerrier devait toujours répondre à l’appel du devoir et pour cela, le prince respectait et ne se fâcha nullement. Au contraire, il trouvait la démarche honorable et rendit la politesse de son hôte d’un hochement de tête.