[Terminé] Vers un avenir incertain [pv Clint Barton]

C’était intéressant de voir comment deux sociétés vivant totalement ou presque isolées l’une de l’autre pouvaient se retrouver avec des similitudes. En réalité, juste les termes pour désigner les choses changeaient, mais dans le font on retrouvait un peu le même système. Bien entendu, il existait un paquet de détails différenciant les deux mondes. Par exemple, le « président » qui semble égalait le titre de roi chez eux, n’arrivait pas au pouvoir de la même manière. Le concept même de démocratie était étranger à ce peuple. Après, si c’était une bonne ou mauvaise chose, chacun s’en fera son opinion.

"Oui. Je suis le prince de la puissante nation de l'Atlantide. Un des plus fort royaume qui existe sous les mers et dont je suis le commandant des armées."

Namor voulait mettre en avant à travers son ton froid et autoritaire que l’Atlantide, en plus d’exister, était puissante et qu’il y avait des raisons de la craindre. Bien qu’il venait en tant qu’homme de paix, il ne voulait pas que des peuples pouvant être hostiles, prennent son royaume de faible pouvant être envahit et piller. Venir parler de paix oui, mais attention aux intentions de ces humains. Ils étaient bien plus belliqueux que pouvait être ceux de sous la surface. Comme on dit, la prudence est mère de vertu et le prince faisait attention où il mettait les pieds.

Il écouta la suite du petit exposer de Clint. Et comme on le disait juste avant, ils existaient des détails différenciant les deux nations. D’après ce que l’Avenger disait, leur président était leur chef mais pas le seul. Si les autres pouvaient être rapprocher aux conseillers du roi, en réalité ils possédaient bien plus de pouvoir et d’autorité. Au final, le prince Namor trouva cette disposition bien étrange. Il comprenait un peu mieux pourquoi on la fait accueillir par ce Barton au lieu du Président car cela semblait être la procédure. Mais il ne pouvait s’empêcher d’avoir une opinion assez dur sur ce système.

"Votre système me parait bien fragile et instable." Car contrairement à l’Atlantide, avoir autant de personnes ayant du pouvoir pouvait mener à des conflits. Déjà, savoir à qui s’adresser pour régler tel problème pouvait paraitre compliquer. Et si chacun avait ses propres intérêts en tête, ne risquons nous pas de faire face à une guerre civile ? Sans doute était—ce exagérer, mais voir le pouvoir aussi diviser pouvait le fragiliser. Car si une décision importante devait être prise, qui aura le dernier mot et au bout de combien de temps ? Au moins avec un roi, tout pouvait être décidé à temps en imposant une autorité incontestable. Namor pouvait faire fausse route, en tout cas ce fut sa première impression.

Barton mit fin à la projection et disposa un appareil qui émit une petite lumière, demandant au prince de parler. Soit, c’était sans doute un moyen à eux de prendre connaissance de sa raison d’être ici, même s’il al dit et redit plusieurs fois au point de déjà en avoir un peu assez.

"Je suis le prince Namor de la puissante Nation d’Atlantide. Mon roi et empereur le puissant et vénérable Thakorr m’envoie car il a était juger bon de venir vers vous pour discuter d’une possible paix entre nos deux mondes. Je suis la pour voir si cela est possible ou non."

Il est vrai que la première impression du Prince ne portait pas honneur à ce monde de la surface. Il paraissait faible, peu fiable. Déjà lors de sa dernière visite, il put voir comment l’armée, à savoir les policiers, furent facilement mit en déroute. Si l’Atlantide menait une guerre contre eux, il était convaincu qu’il écraserait les forces terrestres facilement. Quoi qu’il était possible qu’ils gardent quelques ressources aux cas où leur donnant avantage. Il l’espérait en tout cas pour eux, sinon il ne comprendrait pas pourquoi ce monde aurait survécu tout ce temps sans finir sous le joug d’une puissance étrangère.

En tout cas concernant ce Barton, il fallait avouer que cet humain avait du cran. Il soutenait le regard du prince, ne trembla pas et démontra une force et un courage charismatique. Un bon point, ca lui plaisait de rencontrer quelqu’un ayant la force de ne pas fléchir et montrer ce qu’il y avait de mieux de ceux de son espèce. Si Namor pouvait être sceptique au départ après avoir rencontrer l’archer, il comprenait un peu mieux pourquoi c’est lui qu’on a envoyer à sa rencontre. C’était un humain intelligent, courageux ayant du répondant. Et pas un diplomate trouillard et fléchirait le genoux face à l’imposante aura du mutant des mers.

"Il fonctionne vraiment ? Vous n'avez donc aucun soucis dans votre société, aucune faille ?" Questionna de manière sceptique le prince. Il comprenait ce que voulait lui dire Clint, mais resta peu convaincu que leur système politique soit si efficace que cela, préférant largement le sien à celui des humains.

Par contre, la suite de la discussion semblait piquait un peu Namor. L’Atlantide une légende ? Cette glorieuse civilisation juste un récit fantastique ? Il voulait savoir leur nombre aussi, des renseignements sur leur monde. Sur le coup, le prince pouvait prendre ombrage que l’on insulte sa patrie qu’il avait jurer de défendre et mal prendre ces demandes, les prenants comme des questions visant à en savoir plus pour nuire son monde. Namor était au courant que la surface était peuplée d’être belliqueux à la recherche de conquêtes et d’acquisitions de richesses. L’Atlantide pouvait être une cible tentante pour ces « sauvages incivilisés ». Mais par miracle cependant, le prince royale arriva à garder toute contenance.

"Je comprends. L’Atlantide vous fut cacher pendant longtemps. Contrairement à nous, nous observer fut impossible." Son trident lui démangeait cependant de faire ravaler ces paroles, mais Namor s’aperçu bien vite de l’absurdité de cette attitude. "Contrairement à vous, nous obéissons à un seul roi, le puissant et bien aimé Thakorr ! Nous avons vécus ces millénaires à l’abris de vous les humains sous la surface, permettant à notre civilisation de prospéré. Mais depuis de récents événements, quand la moitié de notre peuple à disparue avant de revenir et le combat contre le Titan… Nous avons décidé de nous ouvrir à vous et voir si vous méritez notre amitié."

Namor ne voulait trop en dire, ne sachant encore s’il pouvait faire confiance en ces gens. Même s’il commençait à considérer Barton, il ne savait rien lui non plus de ses intentions, s’il était un homme tourner vers la paix, ou bien verrait-il la l’occasion d’enrichir les siens par la conquête et le vol.

Namor n’attendait pas réellement de réponse de la part de Clint. Comme il l’avait dit, ils ont observer les humains de loin depuis longtemps. Et même si les civilisations de la surface échappaient en grande partie à ceux des océans, ces derniers ont put noter toutefois bien plus de conflits et d’instabilité. Donc, le prince pensait bien que leur système politique n’était pas infaillible et devait présenter, selon lui, bien plus de faille que le leur. Mais bon, Namor était la pour nouer la paix et s’il ne réfrénait pas son attitude méfiante envers les humains, le projet de son grand-père ne verra jamais le jour. Cependant, la flatterie n’était son genre non plus, alors il ne brossera pas dans le sens du poile.

L’un comme l’autre se montra méfiant vers son interlocuteur et sans doute à juste titre. Que ce soit l’humain ou l’atlante, ils ne se connaissaient pas et ne pouvaient pas connaitre les réelles intentions du peuple adverses. Ce n’était pas facile de jauger entre le bon diplomate ouvert mais prudent afin de ne pas trop en dire. Le prince se demandait pourquoi la tâche lui fut incomber. Par moment, il pensait que son grand-père cherchait à le piéger, ou bien se servir de lui pour des dessins belliqueux. Mais sa mère à sut retourner la situation en lui disant juste avant qu’il ne parte "Tu es l'enfant de deux mondes Namor. Si une personne peut assurer l'entente et la compréhension entre les deux peuples, c'est toi mon fils." Il était vrai que sa situation sur l’Atlantide, n’était pas évidente, enfant bâtard, monstre contre nature. Mais malgré la bonté de sa mère, pendant des années, le prince ressentait surtout de la rancune dans le cœur. Pouvait-il vraiment être le symbole de la paix ?

Déjà, cela semblait mal commencer, surtout quand Clint Barton faisait une proposition qui pouvait être innocente, mais ne manqua pas de piquer le prince des mers. En réalité, deux points l’héritèrent successivement et ne perdit pas l’occasion de hausser le ton.

"Pas une nuisance ?! Vous polluez les océans et provoquez de grandes destructions sur les fonds marins ! C'est un miracles qu'aucun peuple sous la mer ne vous est déjà attaquer depuis !" Difficile de nier l’impact de l’Homme sur la nature et donc des océans. Namor ne disait pas cela à la légère, il fut témoins des ravages provoqués, vu des cités détruite par l’ignorance et l’avarice des humains. Et par conséquent de nombreuses vies fauchés, ceux de son peuple. Beaucoup ont crier vengeance et pourtant, leur souverain à insister qu’ils devaient rester cacher. "Et vous parlez de me garder sous bonne garde comme un prisonnier , me prendre en otage c’est ca ?!" C’était la première impression que cela donnait, et accepter d’être sous « surveillance » n’était pas du tout plaisant. Rester entre les mains de potentiels ennemis était en plus humilaint.

Malgré la colère, une petite voix semblait chercher à le ramener à la raison. Ce que disait Clint n’était pas dépourvu de bons sens. Namor savait qu’il prenait des risques en allant à la surface et que ca ne serait pas forcément un séjour agréable. Il devait prendre sur lui et ainsi, par une puissance surnaturel, arriva à se calmer. Pour se rassurer, il avait vu de quoi étaient capables les forces en place de la surface. Leur puissance restait risible en comparaison de la leur et donc, en restant juste assez prudent, Namor pourra facilement se défaire de ses possibles geôliers et regagner l’eau pour préparer sa revanche.

"Très bien alors. Je dois cependant prévenir les miens de ces nouvelles… Dispositions. J’espère pour vous et les votre que rien de fâcheux ne se produira pendant mon séjour chez vous."

Le ton montait bien vite entre les deux hommes. L’esprit de la suspicions devait bien se régaler de voir ses deux jouets se méfiaient l’un de l’autre et que cela pouvait engendrer à la fin un conflit sans nom et des plus destructeur. Sa sœur Eris lui en serait reconnaissante pour ce beau cadeau. Car si même les atlantes étaient un peuple évoluer et puissant, une guerre ouverte contre la surface risquait d’être longue et dévastatrice, faisant passer les deux guerres mondiales pour de simples chamailleries. Les peuples sous-marins ont tant souffert aussi des conflits de la surface, payant lourdement le prix aussi. Mais ils restaient cachés, ne voulant jamais attiré l’attention.

Mais aujourd’hui, le peuple atlante était de plus en plus about. Une catastrophe de plus risquait de mettre le feu aux poudres et l’ensemble des habitants risquait d’exiger une guerre punitive pour plus que les humains ne soient une nuisance pour eux. Plus que le claps de Thanos, c’était à cause de cette tension sociale qu’on envoyait en avant Namor, afin de discuter de la paix et désamorcer cette bombe. Il y avait encore des partisans de la paix, mais ils risquaient de devenir de moins en moins nombreux. Ou bien au contraire, Namor n’était pas envoyé la pour signer une paix, pour apporter les dernières raisons pour conduire à la guerre. Que son tempérament tempétueux pouvait leur apporter le dernier prétexte pour lever les armes.
Comme la, le fait d’être sous bonne garde et coincé à New-York. N’importe qui crierait au scandale, qu’on retenait prisonnier leur prince et qu’on exigerait réparation. En plus, si Namor se laissait faire pacifiquement, ses détracteurs crieront qu’il est devenu faible et humiliait ainsi les siens. Vu ainsi, le mieux serait de tout refuser et donc, accepter que l’issus la plus probable soit une guerre ouverte ou froide. Les mots de sa mère raisonnaient encore dans sa tête, lui suggérant qu’au lieu de toujours se montrer aussi radicale, d’essayer de retourner une situation à son avantage. Se montrer plus malin qu’on en avait l’air.

"Soit soit ! Je veux bien être partant pour jouer votre invité "d'honneur" dans votre cité. Il me faudra par contre prendre quelques dispositions. Rien contre vous, rassurez-vous pour une fois. C'est juste pour éviter que les miens ne s'inquiètes d'avantages. On peut vouloir la paix, cela ne veut pas dire qu'on n'est pas prudent."

Combien de temps ce séjour allait durer ? Pas trop longtemps il l’espérait. Que leur chef, ce « président » ne fera pas l’affront de faire trop longtemps patienter son hôte. La patience aussi de Namor avait ses limites.

"Je vous laisses donc le temps de mettre tout ceci en place, pendant que moi je fais mon rapport. Cela vous va j’imagine." Le ton restait quand même froid, mais au moins on évitait une crise non ?