[Terminé] Sea sex and Sun - Pv Samuel [+18]

Samuel se fit plus audacieux. Elle sentit ses mains se déplacer dans son dos pour venir se poser fermement sur une partie charnue de son anatomie. Mais, elle poussa un petit cri de surprise suivit d’un rire lorsque l’empoignant plus fermement, il la plaqua contre lui et se leva, lui expliquant qu’en temps normal ça ne l’aurait pas dérangé. Mais… Mais elle comprenait, ils portaient encore leurs uniformes respectifs. Instinctivement, elle enroula ses jambes autour de ses hanches, et resserra ses bras autour du cou du jeune homme.

Sans paraître peiner sous le poids de la femme-liane enroulée autour de lui, il se dirigea vers le local des secouristes, avant de la plaquer contre la paroi en bois. Ses lèvres brûlantes réclamèrent à nouveau ses lèvres, qu’elle lui abandonna bien volontiers, crispant ses mains sur sa nuque. Elle leva le menton, fermant les yeux avec un soupir de plaisir lorsqu’il délaissa ses lèvres pour goûter la peau de son cou, explorer la naissance de son décolleté.

Son bassin vint se plaquer fermement contre le sien, ne lui laissant aucun doute sur le désir qu’elle éveillait en lui. Une bulle de lave éclata dans son ventre, elle se mordit les lèvres pour tenter de garder encore un peu de contrôle sur ses sensations.

Une fois qu’elle fut bien calé entre lui et le mur, et alors que ses lèvres savourait toujours sa peau, elle sentit une de ses mains la quitter, et fouiller maladroitement dans la poche de son uniforme. Elle ramena son regard sur son amant, levant un sourcil interrogateur. Il prit encore quelques instants pour finir son exploration avant de répondre à sa question silencieuse, d’un regard brûlant en agitant un petit porte clef.

Azilys rit.

« Je vois que monsieur est prévoyant. » le taquina-t-elle, les joues empourprées et les yeux brillants de désir et d’un certain soulagement.

Même si elle l’avait taquiné, elle devait reconnaître que le plaisir du moment qui s’annonçait aurait été quelque peu gâché par la peur d’être surprise dans une situation aussi intime.

A nouveau il plongea vers son visage pour un nouveau baiser passionné. Son bras se resserra autour d’elle, elle enroula plus fermement ses membres autour de lui lorsqu’il la détacha du mur pour l’amener vers la porte qu’il tentait d’ouvrir d’une seule main. Elle sentit monter en elle une vague d’impatience, et fut tenter de se libérer pour aller ouvrir elle même, mais à cet instant, la porte céda, leur libérant le passage vers le local sombre qui serait, pour quelques heures, le refuge de leur passion.

Dés qu’ils furent entrés, d’un coup de pied, la jeune femme claqua la porte derrière eux.

L’intérieur du poste de secours était sombre malgré les petites fenêtres qui laissaient entrer les lumières changeantes du festival. Elle entendait, assourdie, la musique de la scène principale et les cri des festivaliers. Mais, pour le moment, ce qui lui importait le plus, ce qui focalisait toute son attention était le goût des baisers de son compagnon, la chaleur de son corps qu’elle percevait à travers leurs vêtements, et la force de ses bras la maintenant contre lui.

Même si elle ne doutait pas de sa force, qu’elle savait qu’il ne la laisserait pas tomber, au sens propre du terme pour le coup, ne connaissant pas l’organisation du lieu, et étant incapable de voir où il mettait ses pieds et s’il y avait un risque qu’il trébuche, elle serra un peu plus fort ses bras autour de ses épaules et de sa nuque, tout en affermissant la prise de ses longues jambes autour de ses hanches.

C’est sans encombres, et avec un impatience certaine, qu’il fit les quelques pas qui les séparaient du bureau où il l’assit, s’attaquant aussitôt à sa blouse. Elle rit de sa réponse à sa plaisanterie, tout en obéissant à son injonction silencieuse de lever les bras. Rapidement la blouse glissa sur le sol, offrant a son compagnon un nouveau territoire qu’il s’empressa de découvrir du bout des lèvres.

Il ne restait à présent entre leurs peaux que le rempart des vêtements du jeune homme, et elle était bien décidée à prendre d’assaut. Sous les baisers du jeune homme et ses caresses de plus en plus orientés, elle se lança à son tour, glissant ses mains sous son T-shirt, le repoussant un instant pour le libérer de son carquant d’étoffe entre deux baisers passionnées.

Elle laissa sa tête retomber en arrière offrant son cou aux baisers de son amant, alors qu’il s’attaquait à son pantalon, glissant ses mains sous l’élastique, et la soulevant légèrement pour le lui ôter d’un geste assuré et précis malgré l’impatience du désir qu’il dégageait. Elle frissonna de désir et d’impatience. A son tour elle posa ses lèvres sur la clavicule du pompier, la parsemant de baisers, savourant le goût salé que l’air marin y avait déposé, remontant le long de son cou jusqu’à la ligne de sa mâchoire. Ses doigts délicats exploraient le torse et les flancs du jeune homme, les muscles de son dos et de ses épaules qu’elle sentait rouler sous sa peau.

Ses lèvres réclamèrent celles de son compagnon pour un baiser passionné, alors que ses mains se faisaient plus impatiente, caressant son ventre, descendant vers la ceinture de son pantalon auquel elles s’attaquèrent avec avidité. Il ne fallu pas longtemps à ses doigts agiles pour venir à bout des boutons et de la fermeture éclair. Elle incita le vêtement à glisser sur les hanches de son propriétaire, s’attardant sur ses muscles fessiers bien dessinés.

Son souffle se fit plus court alors qu’à présents ses doigts jouaient avec l’élastique du seul vêtement restant sur le corps du jeune homme. A ce moment, elle s’écarta un instant pour lui lancer un petit regard espiègle avec un sourire canaille, ses doigts continuant à glisser sous l’élastique du sous-vêtement, attendant l’accord de son propriétaire pour poursuivre son exploration.

Les accords de musiques du festival qui battait son plein ne parvenait qu’assourdis aux oreilles des deux amants. Dans le poste de secours, le froissement des vêtements glissant sur leurs peaux pour s’abandonner sur le sol était à peine couvert par les souffles qui se faisaient plus courts, plus lourds.

Les lèvres se rencontraient, les mains exploraient le corps de l’autre, faisant augmenter la chaleur et le désir. Azilys laissait ses doigts délicats découvrir le corps de Samuel, sa peau bronzée, étonnamment douce, ponctué ça et la par l’irrégularité que quelques cicatrices qu’elle lisait comme du braille. Lorsque son exploration l’amena aux limites d’un territoire encore défendu par une rempart de tissu et qu’elle commença à la prendre d’assaut, le jeune homme leva vers elle un regard malicieux, rendu encore plus expressif par les légère lueurs colorées du festival qui pénétrait par intermittence à travers la fenêtre, soulignant les ombres de son visage, le teintant de couleur joyeuses et espiègles.

Elle lui rendit son regard, ses lèvres incurvée en un sourire en coin qui lui donnait une expression canaille en laissant sa main s’insinuer un peu plus loin sous l’élastique, suivant lentement le chemin dessiné par l’os de sa hanche. Samuel, en profita pour découvrir le goût de son décolleté, prenant son temps, arrêtant son chemin de baisers à la limite de la frontière de dentelle. Une main glissa dans le dos de la jeune femme pour venir dégrafer, avec une dextérité qui démontrait une expérience certaine de ce genre de chose, la pièce de lingerie. Il se redressa, le temps de faire glisser les brettelles sur les épaules blanches de la jeune femme. Elle offrit à son regard sa poitrine nue, laissant ses yeux caresser ses seins blancs.

Elle ferma les yeux et laissa sa tête retomber vers l’arrière lorsque les lèvres brûlantes de Samuel partirent à la découverte de ce nouveau territoire. Elle n’entendait plus la rumeur de la fête au dehors, elle était totalement concentrée sur les sensations qu’elle ressentait, sur le désir et le plaisir qui augmentait crescendo en elle sous les caresses et les baisers de Samuel.

Si elle en croyait la tension qui étirait le tissus du dernier vêtement qu’il portait encore, les choses sensation était partagée. Elle se redressa légèrement, le temps de crocheter ses doigts sous l’élastique et le faire glisser lentement sur les hanches et les cuisse de son amant, le laissant finir sa course dés qu’elle ne sentit plus de résistance.

Ses mains remontèrent le long des bras musclés de son compagnon, glissèrent sur ses épaules et sa nuque avant de venir se presser sur son crâne, maintenant un instant son visage contre sa poitrine, savourant ses baiser et son souffle brûlant sur sa peau délicate. Elle pencha la tête pour venir enfouir son nez dans ses cheveux.

Elle le laissa poursuive son chemin, frémissante d’impatience, ses doigts légers effleurant la peau fine et velouté qu’elle venait de libérer de son carcans de tissus.

Samuel continuait son exploration du corps offert de sa compagne du bout des lèvres, ses mains se débarrassant rapidement du dernier morceau de dentelle. Même si elle s’attendait à ce qui allait suivre, et qu’elle en frémissait de plaisir par anticipation, elle eu un sursaut de surprise qui lui fit refermer ses genoux sur ses tempes, brimant le gémissement de plaisir qui glissa sur ses lèvres en se les mordant.

Une onde de plaisir et de chaleur se déploya dans son corps, la faisant frissonner, elle s’alanguit sur le bureau, s’offrant totalement aux tendres assauts de Samuel, jusqu’à en perdre la tête. Elle se cabra, ses mains vinrent empoigner les cheveux du pompier, le souffle court, et le cœur battant la chamade. Elle tentait de se contrôler, de prolonger le plaisir, mais elle sentait qu’elle perdait pied.

Elle se redressa et presque à regret, elle le délogea, l’obligeant à s’éloigner en le repoussant doucement de ses genoux, avant de se laisser glisser du bureau pour s’agenouiller à sa hauteur, enroulant ses bras autour de ses épaules, réclamant ses lèvres pour un baiser passionné, s’appuyant contre lui pour le faire basculer vers l’arrière et, à son tour, l’explorer du bout des lèvres.

Elle avait bien faillit se faire déborder. Visiblement son binôme avait de l’expérience et savait jouer du corps d’une femme. Ses tendre assauts avaient bien faillit la faire basculer de l’autre coté du miroir, et se connaissant, franchir ce pas aurait quelque peu gâché le plaisir. Un plaisir qu’il n’avait pas encore connu. Les hommes privilégiant le plaisir de leur compagne était suffisamment rares pour mériter quelques efforts.

Et puis, après une telle journée, elle avait envie de prolonger l’instant autant que possible, trouver la quiétude dans l’ivresse d’un shoot d’endorphines, se sentir vivant et vibrante contre une autre peau, se sentir belle et désirable sous les mains de son amant. Elle voulait aussi offrir à Samuel autant d’attention, de douceur, de tendresse et de plaisir qu’il venait de lui en offrir.

C’est pour cette raison qu’elle avait trouvé la force de se soustraire à ses attentions pour reprendre la situation en main. Le sol en planche de leur nid de fortune ne devait pas être très confortable contre son dos, mais il ne semblait pas s’en soucier. Tout comme il ne semblait pas désapprouver sa prise de contrôle. Elle n’avait pas eu besoin de forcer beaucoup pour le faire basculer, et le dominer. Il n’avait pas chercher à reprendre une position dominante, comme beaucoup d’homme ont l’instinct de le faire dans ce genre de situation. Il était juste venu capturer ses lèvres dans un baiser passionné, enroulant ses bras autour d’elle pour la serrer contre lui, l’allonger sur sa poitrine et laisser ses mains explorer son dos, glisser de sa nuque jusqu’à ses hanches, avant que l’une d’elle ne se déporte sur sa cuisse son genou, puis le sol, cherchant à tâtons dans les replis de son uniforme abandonné.

Elle se demandait pourquoi il se tortillait sous elle tout en continuant à la caresser jusqu’à ce qu’elle voit apparaître au bout de ses doigts un chapelet de sécurité.

« Je vois que Monsieur est prévoyant » Dit-elle d’un ton tout à la fois tendre et espiègle, tout en se contorsionnant à son tour pour atteindre son sac et en sortir une boite un peu plus discrète, mais tout aussi bien fournie.

Elle n’avait pas encore envisagé de les sortir, pensant faire durer encore un peu l’insouciance du désir et du plaisir. La plupart du temps, lorsque le moment venait pour ce genre de précautions, elle ressentait une certaine réticence de la part de ses partenaires, une réticence qui gâchait quelque peu la fête. Il n’était pas si courant que ce soit eux qui prennent l’initiative. La plupart des hommes pensaient que la contraception était une affaire de femme, et que les maladies ne les concernaient pas, que ça n’arrivait toujours qu’aux autres.

Elle sourit en faisant danser la boite sous les yeux de Samuel. « Hmm, tu crois qu’on en aura assez ? » le taquina-t-elle avant de s’abandonner contre lui, venant réclamer sa bouche, ses lèvres, sa langue, pressant sa peau contre la sienne, savourant sa chaleur, sa tendresse, et la douce tension qu’elle ressentait contre son bas ventre.

Glissant sa main dans celle de Samuel, elle vint prélever un des petit sachet argenté avant de redresser se redresser, à califourchon sur ses cuisses. Toute la journée, elle avait sentit son regard sur elle, elle savait qu’il avait chercher à imaginer ce qui se dissimulait sous sa blouse d’infirmière. Maintenant qu’ils étaient dans l’intimité, il avait bien mérité d’avoir la réponse à ses questions, même si, dans la pénombre de la cabane, il voyait certainement mieux avec les mains. Tout en souriant, frissonnant un peu sous une nouvelle offensive des papillons dans son ventre, elle effleura délicatement la peau palpitante et veloutée avant de la protéger.

Ses mains, papillons délicats et agaçants s’attardèrent encore un instant, elle lança à son compagnon une regard brûlant et un sourire espiègle, avant de laisser ses lèvres se joindre à la fête.

Elle avait vu la surprise dans les yeux de son compagnon lorsqu’elle avait pris les choses en main. A présent, attentive à ses réactions, elle devinait le plaisir et l’abandon qu’il ressentait sous ses tendres attention, adaptant ses caresses en fonction des frémissements qu’elle percevait à travers la fine membrane, la tension et le relâchement de ses muscles. De temps à autre, elle glissait un regard en direction de son visage, tentant d’apercevoir les signes de son plaisir, mais dans la pénombre de leur refuge, et au vu de leur position, elle ne pouvait que les deviner à travers les tressaillement de son torse et le bruissement de ses soupirs. Elle imaginait ses paupières closes, ses lèvres entrouvertes.

Son but n’était pas de le laisser lui échapper aussi vite. Elle était bien décidé à garder la main, faire durer les choses, l’amener jusqu’au portes du 7ème ciel, sans le laisser les franchir, tout au moins pas si vite, pas de cette façon. Jouer du corps de son compagnon, comme il avait joué du siens précédemment, participait à son propre plaisir. Elle sentait les le feu se rependre à nouveau dans ses veines, son ventre se tendre d’impatience à l’idée de l’accueillir en elle.

Un bruit d’explosion à l’extérieur le fit se tendre, le déconcentrant un instant. Elle le sentit se détendre à nouveau lorsqu’il comprit qu’il ne s’agissait que du bruit du feu d’artifice dont les couleurs s’insinuait jusque dans la cabane par les petites fenêtres, nimbant leurs peau nues de différentes nuances colorées.

Lorsqu’elle sentit qu’il était prêt à lui échapper, elle élargit peu à peu ses caresses et ses baisers à d’autres portion de peau, moins réactive. Elle s’attarda sur son ventre, laissant sa chevelure caresser ses flancs, savourant les frissons que cette délicate caresse provoquait sur la peau du jeune homme.

Prenant tout son temps, gratifiant son torse de baisers et de caresses, s’attardant sur un instant sur sa poitrine, mordillant et embrassant ses mamelons, elle s’alanguit sur son corps, peau contre peau, jusqu’à pouvoir enrouler ses bras autour de son cou, glisser ses doigts dans cheveux courts, pendant que lui même serrait autour d’elle ses bras noueux.

Déjà presque à bout de souffle, à cause du désir et de la puissante étreinte de son compagnon, elle prit le risque de le perdre totalement dans un baiser éperdu.