[S.H.I.E.L.D.] Sarah Wilson - Life will make you grow

Sarah voit le jour à Harlem au sein de la famille Wilson, déjà composée d'un frère aîné du nom de Sam. Bon, sachant qu'elle a vécu surtout en Louisiane, on se demande comment elle a pu naître là bas. Eh bien c'est facile ! Darlene, sa mère, forcée par sa famille pour venir les rejoindre lors de ce grand rassemblement familial, avait pris l'avion jusqu'à New York avec son Paul son mari, ainsi que son premier né. Courageux de sa part, en sachant qu'elle était bien enceinte. En tout cas, sans doute le voyage a-t-il permis de relâcher la pression chez Darlene, et ainsi Sarah naissait dans un hôpital d'Harlem après que sa mère ait perdu les eaux lors de la coupe du gâteau. Mis à part une maman courageuse, et un père angoissé de voir sa femme aussi courageuse, Sarah avait donc un frère de dix ans son aîné. Un frère qui aura toujours eu une place importante dans son coeur, et qu'elle adore encore aujourd'hui, bien que les événements liés à la condition de Sam en tant que Captain America et le snap leur aient imposé depuis une distance d'obligation. Malgré un présent morose, Sarah ne regrette pas son enfance. Ses parents avaient décidé de quitter Harlem des années auparavant pour se départir de l'ambiance extatique de New York. La Louisiane fut donc le berceau parfait pour le couple, qui d'ailleurs décida de se reconvertir dans la pêche et l'aide aux plus défavorisés. C'est donc des couleurs plein la tête, des rires emplissant ses oreilles et le sel marin chatouillant ses narines que Sarah se souvient de son enfance. Et elle avait Sam à ses côtés. Sam le magnifique, le droit, l'incroyable et protecteur Sam, qui à ses yeux méritait d'être autant son héros que le héros des autres.

C'est comblée par l'amour et le soutien que la jeune Sarah a grandi, trouvé elle aussi sa voie, en se passionnant pour les plantes grâce à sa mère qui lui avait ramené une lavande prête à dépérir et que Sarah par recherches et soins avait réussi à remettre d'aplomb. Le buisson existe d'ailleurs encore, dans leur maison familiale. Que l'hiver passe, ou l'été force, cette lavande est devenue une longue haie dans laquelle nombre d'insectes mellifères viennent à présent trouver refuge, et il est de commune mesure dans la rue de dire que cette plante enchante vos sens quand elle est en pleine floraison.
Sarah s'était donc tournée vers les sciences, et plus particulièrement tout ce qui touchait à la biologie végétale. Elle avait reçu durant ses années collège puis lycée, des prix pour ses inventions, dont une concernait ce fameux petit boîtier permettant par accolé d'électrodes l'écoute des fréquences vibratoires des plantes. Elle rêvait en grand, souhaitant intégrer des structures comme les laboratoires affiliés de Stark Industries. De son côté, Sam cémentait ses aspirations par le sport, aidé dans les cours par sa frangine l'intello, bien que cela exaspérait leur mère. Mais elle s'en fichait, tant que Sam était heureux, Sarah l'était aussi.
Malheureusement, quand Sam quitta le lycée et décida de partir directement pour l'armée, ce fut le taulé. Loin de sa sœur donc, mais gonflé par une envie de servir la nation et protéger ainsi sa famille. Leur père comme leur mère n'étaient pas très enclin à le laisser s'éloigner, sachant que leur entreprise familiale commençait à se faire la part belle, et que Paul souhaitait que Sam prenne le relais. Sarah avait donc pris la décision de mettre de côté ses propres projets pour soutenir ses parents, disant alors adieu à une bourse d'études à Columbia et un stage chez Stark. Ses parents s'en sont voulus d'ailleurs, et ont toujours fait en sorte de la remercier pour cette décision, mais Sarah en faisait abstraction, en disant que cela restait dans ses projets, et que ça lui passerait. Ce qui était totalement faux.

Sarah avait donc tu ses rêves, et les retrouvait comme elle le pouvait en s'occupant du jardin de la maison, de sa serre. Elle s'engouffrait aussi dans l'escalade, qui lui permettait d'être plus libre, et en contact direct avec la nature. Pendant ce temps là Sam devenait parachutiste, puis intégrait un programme spécial et très secret, faisant la fierté de ses parents et de sa petite soeur. Quand Riley est mort, Sarah n'a pas cherché à comprendre le pourquoi du comment et est de suite montée rejoindre son frère pour lui apporter soutien et réconfort. C'est d'ailleurs à cette période que le monde apprend l'existence des Avengers et que Sam sera embarqué dans le projet deux ans plus tard. Malgré la distance grandissante entre eux en raison d'un planning chargé, Sarah n'a jamais cessé de lui envoyer des messages, des vidéos, ou de lui indiquer par planning partagé les divers événements familiaux où il pouvait faire une apparition. Car Sam avait beau lui manquer, son absence pesait d'autant plus ses parents, qui à chaque nouvelle concernant Falcon mourraient d'inquiétude. Les accords de Sokovie puis la Civil War ne firent qu'accentuer ces angoisses, à tel point que son père en eut un AVC. Bien entendu, Sarah ne put en parler à Sam, étant donné son positionnement dans cette guère qu'elle trouvait totalement injuste. Elle savait son frère loyal et dans le vrai, bien que cette opinion se devait d'être tue en raison de la surveillance constante dont sa famille était victime suite au statut imputé à Sam.

Et c'est à cette période d'intense vulnérabilité qu'apparaît en cours d'escalade le fameux David. David Flannagan. Beau, fringuant, imposant et charmeur, le Capitaine Flannagan fêtait sa future promotion en tant que Major en s'étant fait payer par son escouade des défis à relever sur toute la côte Est pendant une semaine. Bien sûr, en voyant Sarah, sa positivité, sa force de caractère et sa façon d'escalader ces pentes comme si c'était juste de la routine le prit instantanément aux tripes. Et il se fit un plaisir de flirter, la charmer, jusqu'à ce qu'elle accepte le lendemain de l'accompagner en Floride pour son prochain défi : le surf. Bien sûr, elle accepta, sentant pour David un intérêt croissant en raison de sa manière de voir les choses, et de ce besoin croissant de se déconnecter de sa vie actuelle.

Et cela a fini par durer ... dix ans ... dix ans de couple, vous rendez-vous compte ? Bientôt onze. David avait mis dans la poche les parents de Sarah, en leur disant qu'il ne voyait pas d'inconvénient à ce qu'elle continue à faire tourner l'entreprise familiale et s'adonne à ses passions. Devant eux, il était le parfait beau fils en devenir, militaire comme leur fils. Mais quand il était avec Sarah, au fur et à mesure des années, il se montrait plus froid, plus sec, plus humiliant. Il n'hésitait pas à se moquer par moments de cette entreprise de pêche, et laissait Sarah s'occuper de l'intendance quand il revenait de mission. Plus de rendez-vous, plus de passion, c'est comme si elle était devenue sa femme de ménage, littéralement.

Et elle jonglait. Entre l'entreprise, son fiancé, le peu de passion lui restant. Le snap va cependant tout changer. La perte de Sam finit d'achever ses parents et mettre l'entreprise de pêche dans le mal. Son père commence à faiblir pour de bon du coeur, ce qui inclut des factures médicales. Et sa mère se fait renverser sur le lieu du mémorial monté pour Sam, par un extrémiste appartenant aux courants de droite alternative, en fonçant de son SUV sur les manifestants. Malgré cette solitude et ces pertes devenues pesantes et cette crise rendant le monde fou, Sarah tient pendant cinq années l'entreprise à bout de bras. Heureusement pour elle, gérer les conserves et rations militaires à base de produits de la mer lui a permis de renflouer les caisses. Mais en raison de l'absence plus longue de David, de ses luttes pour garder la face et maintenir l'entreprise, Sarah ne trouvait plus de sens. Tout n'était que travail et responsabilités, et elle se sentait faner. Seul les messages envoyés sur le numéro de Sam lui permettaient de tenir, de continuer sa routine et espérer que la situation change.

Malheureusement, Sarah n'en pouvait plus. Elle était seule, avec sa belle famille sur le dos la pressant toujours de se marier avec David, et en insistant sur le fait qu'elle ne serait pas toujours jeune et en pleine santé. Qu'elle devait faire un enfant, que c'était important les petits enfants pour la pérennité de la famille. Alors, Sarah avait abandonné peu à peu la gestion de l'entreprise de pêche, ne se contentant plus que de gérer la partie import export et les process de leur petite conserverie. Dans quel but ? Celui de prendre des études, quitte à aller dans un community college. Et elle avait repris du poil de la bête, se remettait à rayonner, briller par son intelligence et rapidement trouver un stage dans un petit laboratoire de biotechnologie. David, de retour après le blip tout comme Sam (bien que l'un était en mission et l'autre victime du snap), découvre ce que sa femme a fait. Une dispute violente éclatait alors, où il lui intimait de lâcher ces rêves de gamine, et qu'elle pouvait devenir femme au foyer si ce n'était que ça. Mais Sarah refusait, elle lui disait qu'elle avait le droit de faire ses propres choix. Cette nuit là, David était parti en claquant la porte après avoir poussé violemment sa fiancée. Elle n'a jamais su ce qu'il avait fait durant les cinq jours qui suivirent.

Alors, il y a de ça sept ... huit mois environ, quand Sarah avait déjà commencé à se départir de plus en plus de l'entreprise qui finissait de parachever sa déchéance sous une criblée de factures impayées par celui qui avait repris la gestion, Sarah appela Sam pour lui demander de l'aide. Depuis un an, elle travaillait dans un laboratoire de biotech végétale en département R&D en Louisiane, regardée avec condescendance parce qu'elle était revenue aux études via un collège communautaire, et qu'à son âge reprendre des études aussi complexes et ce genre de job, c'était mal vu. Même avec un bon C.V. Malgré tout, elle avait essayé de garder un œil sur l'entreprise mais comme dit, elle n'y arrivait plus. Autant à cause de ça, que des problèmes de Sam, qu'elle soutenait coûte que coûte.

Sam était donc descendu en Louisiane pour constater les dégâts, accompagné d'un homme que Sarah n'avait jamais vu jusqu'alors. Un certain Bucky. Pendant qu'elle faisait la liste des différents produits manquants pour retaper le bateau en étant bien trop concentrée sur la dite liste, il lui adressa la parole en se présentant de lui-même. Sarah, un peu décontenancée et perdue dans une myriade de calculs, n'avait pas de suite compris sur le moment l'intention. Répondant poliment et timidement, avec un sourire qui finalement se faisait sincère et chaleureux à ses présentations, elle lui donnait à son tour son prénom ... qu'il se mit à répéter. Sarah, confuse et intriguée par cette manière qu'il avait de la regarder, ne savait pas trop quoi faire et ... était donc repartie la tête dans ses calculs.
Ce fut après que les choses dérapèrent. Malgré la menace de Sam, Bucky et elles commençaient à devenir proches. Ils ne flirtaient pas, mais parlaient, s'aidaient dans les différentes tâches de retape du bateau. Bon, il était vrai que par moments Bucky faisait le beau en récupérant le matos, mais elle riait simplement en lui disant d'avancer ses grosses fesses. Et plus ça continuait, plus tout le monde y mettait du sien pendant ces congés bien venus, plus elle était réceptive aux regards et sourires que Bucky lui lançait. Il y avait eu aussi ce moment où elle s'était sentie triste et, dans un geste pour la réconforter, Bucky lui avait proposé de monter sur son dos. Ce moment avait été un des meilleurs depuis des années, où elle s'était mise à hurler de rire en tentant de l'arrêter. Puis, un soir, sur un coup de tête et bien évidemment loin du regard de son frère, c'est elle qui prit les devants en lui proposant de venir dîner pour le remercier de son aide ces derniers jours. Durant cette fameuse soirée faite dans un des meilleurs restaurant de fruits de mer du coin, ils parlèrent en dépiautant crevettes, moules et autres produits, le tout accompagné de une ... deux ... ? bouteilles de vin ? Et ce fut là, entre les rires et la soudaine arrivée de son blues, que Sarah s'était livrée. Sur le fait qu'en vrai, elle n'était pas vraiment heureuse, qu'elle ne se sentait plus réellement comme elle était avant le départ de Sam. Elle ne savait pas ce qui avait provoqué ça chez elle, ni chez lui d'ailleurs. Est-ce qu'elle avait été tactile avec lui ? Oui. Elle se souvenait parfaitement avoir pris ses mains et fait comme si les deux étaient normales. Bucky avait même souligné que c'était un peu bête, mais pour elle, ça faisait partie de lui et méritait le même traitement. Est-ce qu'elle se souvenait du baiser ? Oui. Mais la cause, les mots, plus vraiment. C'était incroyablement fort, à tel point qu'elle avait l'impression qu'il la retenait pour ne pas s'effondrer. Ils étaient partis ensuite chez elle, et combien de fois l'avaient-ils fait ? Une, deux ... trop de fois pour que ses hanches la soutiennent le lendemain. Est-ce qu'elle avait aimé ? Est-ce qu'elle l'avait aimé. Oui. Intensément. Même si ce fut éphémère. Il lui avait redonné le souffle nécessaire pour aller de l'avant, et quitter la Louisiane pour New York.

Sam acceptait la décision de Sarah de vendre pour de bon le bateau. Mais d'un commun accord, ils gardaient la maison familiale. Ce fut donc forte de cette décision que Sarah remontait là où tout avait commencé pour les Wilson et ce malgré les tensions présentes dans la ville de New York. Elle était là aussi chercheuse en biotechnologies végétale pour un laboratoire présent dans divers états, qui alors en raison des compétences de Sarah et de sa demande de rapprochement avec son fiancé, ainsi que de son statut de femme enceinte, accepta qu'elle soit mutée dans les locaux établis dans la Grosse Pomme. David, qui habituellement venait parfois à New York sans le lui dire se retrouva pris de court pour une raison échappant à la jeune femme. Il lui mentait, comme elle finit par lui mentir sur sa relation d'un soir avec un homme qui parfois hantait ses pensées. Cependant, un matin alors qu'elle se préparait au travail, des nausées la prirent violemment. Un test de grossesse plus tard, elle apprenait qu'elle était enceinte. Et les calculs étant bons ... Sarah était enceinte de Bucky. Réalisant donc le problème et l'arrivée imminente de son petit ami les jours suivants, Sarah cacha sa grossesse un temps et demanda le concours d'une amie du collège communautaire devenue depuis gynécologue de falsifier les dates des échographies ainsi que les stades d'avancée du fœtus pour que David ne se rende pas compte que ce bébé en devenir n'est pas le sien. Cela lui coûta sur la durée, à un tel point qu'elle vomissait laborieusement et elle sut qu'il n'était plus possible pour elle de le cacher. Il fallait laisser ce bébé vivre. Il avait le droit de vivre, d'être accepté et aimé, même si elle se dégoutait de lui avoir imposé cela.

Elle vécut ainsi dans le mensonge pendant sept mois, faisant mine devant sa belle-famille, qui s'attendait d'ailleurs à ce que David passe enfin le cap de la bague au doigt. Mais pour une fois, c'était Sarah qui disait que ça ne pressait pas. Et là ... autant dire que ce fut la douche froide. Tout le monde la pressait à lever le pied, abandonner son boulot mais elle refusait. Dans leur appartement commun, David ne l'aidait toujours pas et ne lui accordait même plus de regards. Ne se souciant même plus de lui, la jeune femme fait sa vie, et s'accorde le temps nécessaire autant pour son travail, que pour ses passions et son enfant en devenir. Même si malheureusement, les événements survenus dans le Bronx ont mis en deuil la famille de son oncle, qui avait perdu l'un de ses fils dans les affrontements mutants, et qu'un climat de plus en plus hostile et malsain s'instaurait en ville, elle continuait. Mai et la commémoration du Blip lui passèrent au dessus de la tête, étant donné qu'elle travaillait, mais suite aux informations circulant dans les médias, elle s'inquiétait de l'état de son frère et essayait de reprendre contact avec lui, et lui apporter une nouvelle fois un soutien fort.
Vient soudain septembre 2024. L'attentat. Sarah n'était pas loin de l'un des lieux ciblés, alors qu'elle faisait simplement du shopping. C'est sans comprendre le pourquoi du comment de cette soufflerie violente qu'elle se retrouve à terre et inconsciente. On l'emmène de suite à l'hôpital pour vérifier ses constantes et qu'aucune complication de grossesse n'a été générée. Heureusement, l'oxygène en aérosol et la purge du gaz inspiré fut salvatrice et Sarah put sortir sans encombre de l'hôpital.

David la pressurise encore. Elle se doit. elle se doit de s'arrêter selon loi. Et qu'il lui promet de changer. Mais Sarah ne l'écoute pas. Tout ce qui lui importe c'est son équilibre à elle, et celui de son enfant. Pas David. D'ailleurs, son fiancé se dispute de temps en temps avec elle sur le sujet, ce qui fait que Sarah préfère se murer dans son laboratoire ou partir chez sa famille. Et sans doute que cela risque dans les prochains jours de lui coûter encore niveau santé ...

Précisions quand au laboratoire où Sarah Wilson travaille : BloomTech Solutions est un laboratoire de base créé dans la Sillicon Valley. Celui-ci, de par son expansion et ses divers partenariats à l'internationale, a pu établir de façon pérenne des cultures cellulaires végétales via suspension. Celles-ci sont vendues dans le monde en tant que matière première sous forme de poudre, de liquide en exsudats et extraits, de mélanges à base d'huile végétale, capsules à billes se dégradant sous émulsion. Ils sont aussi garants d'une méthode efficace de conservation de tissus végétaux d'importance sous azote liquide, qui sont réutilisables via un protocole de désincubation  pour fournir à nouveau un matériel végétal viable et capable de fournir de nouvelles cellules filles via multiplication sur milieux spécifiques.

- Vitamine bêtaHS4 : Cette vitamine permet de par sa molécularité, de maintenir les structures de plantes sorties de leur environnement naturel spécifique, empêchant tout pourrissement lors de l'établissement des procédés de non équilibrage volontaire du rapport auxine/cytokinine. Elle a été extraite d'une variété d'orchidée spécifique, présente sur Terre. Variété Classée confidentielle.

- Système à impulsion de champ magnétique type SMF : créé dans le cadre d'un protocole optimisé d'établissement de cals en suspension liquide et sous agitation constante, dans le cadre de recherches sur la camomille matricaire, ce système a été créé sur une base  générateur SMF avec une batterie de 220 V pour produire une variété de diverses intensités d'impulsions SMF dans une rangée de 0.5 µT-15 millitesla (mT). Ce système permet de stimuler les apigénines (composé chimique de la famille des flavones, ayant des propriétés anti-inflammatoires)  et enzymes anti oxydantes présents dans cette plante et baisser la biosynthèse des flavonoïdes par impulsions magnétiques. C'est cette stimulation artificielle qui par les bonnes doses d'impulsions permettent la production de molécules d'intérêt. Cependant cela met aussi à terme la viabilité des cellules en difficulté, ce qui après répétitivité d'essais sur flacons de suspension de 5L de cellules (soit 2L de milieu liquide et 500 mL de cellules (rapport de 1/5) a permis d'établir le point le plus favorable permettant une conservation optimum des cellules productrices, et l'apparition de ces molécules d'intérêt, qui seront ensuite extraites selon d'autres process.
Il est aussi testé sur d'autres plantes dites "résistantes" et persistantes afin d'étudier l'utilisation pertinente de ce système dans la production de molécules spécifiques par cellules.