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 [Terminé] Blocus à l'université

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The (Dark) Phoenix
Jean Grey
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MessageSujet: Re: [Terminé] Blocus à l'université [Terminé] Blocus à l'université - Page 2 EmptyMer 3 Jan 2024 - 17:29



BLOCUS À L’UNIVERSITÉ
06.01.2025 AVEC @Reed Richards 7dtx


« Qu'est-ce que la tolérance ? C'est l'apanage de l'humanité. Nous sommes tous pétris de faiblesses et d'erreurs ; pardonnons-nous réciproquement nos sottises, c'est la première loi de la nature. » Voltaire



Les sirènes hurlantes des policiers ayant fait fuir une bonne partie des manifestants, ne restent que ceux qui, loin de fuir l’adversité, demeurent pour tenter d’apaiser la situation périlleuse qui se dessine : mais les policiers, sans nul doute effrayés à l’idée de faire face à une personne aux capacités défiant leur armement, jouent les gros bras en s’extirpant de leurs voitures, hurlant à tout-va qu’ils sont ici pour un mutant recalcitrant et qu’ils le cherchent. La rousse fronce alors ses sourcils, songeant immédiatement qu’aucun d’entre eux ne montera dans cette voiture : ils ont l’air bien trop hostiles pour qu’elle leur alloue une quelconque confiance.

Et puisque la plupart ne sont que des gamins bien trop jeunes, c’est vers l’un des adultes les plus avants qu’ils se tournent, demandant au professeur Richards s’il est un mutant : « Non. Je n’en suis pas un. » La réponse du concerné lui fait une drôle sensation puisque, les pensées de l’homme ricochant en impression étrange, elle fronce légèrement ses sourcils sans pour autant remettre en question l’affirmation tenue, pensant que ce n’est vraiment pas la priorité. Plutôt que de chercher une quelconque vérité dissimulée ou travestie, elle s’avance d’un pas pour prendre la parole à son tour, mentant de manière éhontée mais, pour la bonne cause, prenant également la défense de son professeur. Ses paroles semblent apaiser la situation, preuve qu’elle a bien fait de s’engager dans un cursus de politique, mais c’était sans compter sur le mutant effrayé qui, pensant peut-être que le vent va tourner en sa défaveur, prend la fuite après avoir détourné l’attention par un éclair fendant le ciel pour se répercuter sur le sol.

Les évènements, ensuite, s’enchainent à une vitesse prodigieuse, et elle a à peine le temps la course folle des balles à sa poursuite, le sauvant de justesse. Il disparaît après quelques foulées derrière un mur, s’échappant sur le campus entre les voitures qui s’étalent à perte de vue ; le temps qu’elle abaisse ses mains en reprenant son souffle, il est déjà loin et elle ne peut que s’en sentir soulagée. Elle sait qu’elle a pris le risque de se dévoiler mais elle n’allait tout de même pas assister à la mise à mort de ce gamin sans broncher !

Mais alors qu’elle s’attendait à subir le courroux de son professeur, c’est vers les policiers que ce dernier se tourne, hurlant toute sa colère et, avec raison. Il menace même de leur flanquer un procès et, curieusement, c’est l’argument qui semble faire mouche : ils abaissent leurs armes en échangeant des regards aussi hésitants que coupables, l’un d’eux s’apprêtant à parler lorsqu’une cohorte de voix s’unit pour les blâmer.

Il leur faut quelques secondes pour réagir, tant la pression sociale est forte. Visiblement, ils n’aiment pas être filmés car sitôt que la caméra est brandie, ils rangent leurs armes et l’un d’eux lèvent ses mains en l’air, prenant la parole au nom de tous, semble-t-il : « Ecoutez, écoutez… Tout ceci semble être un affreux malentendu. » C’est sûrement un malentendu s’ils ont tiré sur un gamin, oui. « On est venus car on nous a appelés en urgence, il y avait un mutant qui faisait du grabuge. » tente-t-il de se justifier tandis que la rousse échange un regard avec son professeur, avant que le policier ne reprenne sa tirade. « Visiblement, on a eu une mauvaise information. » C’est ça… Elle mordille l’intérieur de sa joue avant de les observer remonter dans leurs voitures sous les regards accablants et accusateurs, jusqu’à ce qu’ils quittent le parking.

Les bras croisés contre son buste féminin, elle reste quelques secondes immobile avant de se retourner vers le professeur Richards, auquel elle adresse un frêle sourire avant de dire, d’une voix sincère et calme : « Merci pour lui. » Lui, le gamin perdu qui a eu si peur de mourir qu’il a cru bon d’attaquer le premier… Il allait falloir qu’elle le retrouve, d’ailleurs. Mais bon, pour l’instant, il était l’heure d’aller en cours…



THE FIRE FINDS A HOME IN ME clipped wings, I was a broken thing, had a voice but I could not sing. there's a scream inside that we are frightened,we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we are frightened, I’ll shout it out like a bird set free.
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Reed Richards
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MessageSujet: Re: [Terminé] Blocus à l'université [Terminé] Blocus à l'université - Page 2 EmptyDim 14 Jan 2024 - 17:17

Blocus à l'université

A partir du moment où nous venons au monde, nous sommes insérés dans une société complexe. Nous la nourrissons pas notre présence et par notre identité et elle nous nourrit en retour. De ce fait, nous sommes influencés par le monde qui nous entourent et par le regard que les gens nous portent. C’est naturel et c’est presque une réaction primaire. C’est pour cela qu’il n’est pas étonnant de constater que les policiers baissent leurs armes quand ils aperçoivent les caméras sur eux. Ils ne veulent sans doute pas faire tache sur leur profession. Ils se confondent en excuses, affirment que c’est un malentendu et souhaitant simplement intercepter un mutant qui faisait du grabuge. Ils l’avaient devant eux ou en tout cas un bouc émissaire tout désigné en la personne de la télékinesiste, mais décident de faire l’autruche et de s’en aller. Peut-être qu’ils espèrent cueillir l’homme-électrique avant qu’il s’évapore dans la nature ? Je jette un regard envers l’élève rousse. Regard qui se croise dans une certaine incompréhension.

Je dévie ensuite le regard.

Je me mets alors à me curer l’oreille. Franchement, cette journée commence vraiment mal et je suis déjà épuisé. Je commence à tourner les talons pour partir dans l’amphithéâtre, mais c’est sans compter la jeune élève protectrice qui tient à me dire merci et surtout, merci pour lui. Elle pouvait alors à nouveau apercevoir mon regard envers elle. Un mélange entre le blasé et le mécontent. Oh toi cocotte, j’avais presque oublié ta présence, mais tu fais très bien de venir me rappeler que tu existes encore. J’ai deux où trois mots à te dire. Je me mets alors à fouiller dans mes poches et dans mon sac pour savoir où j’avais foutu mon casse-tête. J’avais l’air totalement déconnecté de mon environnement et au contraire des cow-boys qui voulaient tirer sur le jeune imbécile de mutant, je pense plutôt bien gérer la pression sociale en ayant rien à foutre de ce que les autres pensent de moi. Mince à la fin… Où est-ce que je l’ai foutue ? Ah oui, c’est vrai… Je tends alors la paume de ma main vers l’étudiante.

« Rendez-moi mon rubik's cube. » J'attends qu'elle me le redonne et j'en profite pour lui dire. « Je peux savoir à quoi vous jouiez tous les deux ? Vous avez un tel manque d'attention que vous vous sentez obligé d'utiliser vos pouvoirs à la vue de tous ? Et bien c'est réussi. Vous allez être sous les feux des projecteurs de l'université pendant longtemps. »

Ma main à couper qu'elle va me dire que ma vie vient d'être sauvé grâce à elle. C'est vrai. Mais, ce n'est pas une raison pour se mettre en scène de la sorte. Je parie mon logement qu'elle aurait pu agir avec bien plus de discrétion. Enfin bon, ce qui est fait est fait et nous ne pouvons plus revenir en arrière. Je me place également dans le lot. Leur petite guéguerre de gène X a bien failli finir en catastrophe si je n'étais pas intervenu avec un plan fait à l'improviste. Elle doit trouver cela injuste peut-être ? Le monde est injuste de toute manière et ça lui fera les pieds. Concernant l'autre énergumène, je doute qu'il puisse revenir un jour à Columbia étant donné ce qu'il a fait. Tant pis pour lui. À chaque cause il y a des conséquences et le fait qu'il vient de foutre son cursus scolaire en charpie à cause d'un coup de tête ne me concerne plus. Mon attention est focalisée sur la demoiselle qui n'a peut-être pas conscience que les prochains jours dans l'école seront très difficiles à gérer pour elle.

« Vous vous rendez-compte que je viens de risquer ma carrière pour désamorcer vos enfantillages ? Vous vous rendez-compte que vous venez de vous révéler à tout Columbia ? » Elle souhaite sans doute prendre la parole, mais mon index vient devant ma bouche « Non ne me répondez pas ! C'est rhétorique. Sachez jeune fille, que je suis très pris en ce moment avec la rentrée. Cependant, lorsque l'occasion se présentera je vous ferais venir dans mon bureau en fin de journée. Je n'en ait pas terminé avec vous. Maintenant… Allez en cours. »

Mon index qui était vers ma bouche se dirige alors en pointant l’entrée de l’université. Ma voix est plutôt autoritaire et j’espère que la demoiselle n’est pas une rebelle comme son copain Jo l’électricien. Il va falloir qu’elle respecte mon autorité la télékinesiste !
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MessageSujet: Re: [Terminé] Blocus à l'université [Terminé] Blocus à l'université - Page 2 EmptyDim 14 Jan 2024 - 20:52



BLOCUS À L’UNIVERSITÉ
06.01.2025 AVEC @Reed Richards 7dtx


« Qu'est-ce que la tolérance ? C'est l'apanage de l'humanité. Nous sommes tous pétris de faiblesses et d'erreurs ; pardonnons-nous réciproquement nos sottises, c'est la première loi de la nature. » Voltaire



Assiégés par les caméras braquées sur eux, faisant mille témoins de la menace qu’ils brandissent en direction des étudiants et professeurs rassemblés devant l’entrée de l’université, les policiers n’ont pas d’autres choix que d’abandonner la bataille avant que celle-ci ne commence véritablement, marmonnant de frêles excuses avant de bondir dans leurs voitures pour rebrousser chemin, sans un mot de plus.

Soulagée que la situation s’achève ainsi, sans qu’aucun dégât ou accident ne soit à déplorer, la rouquine soupir avec bonheur en suivant visuellement la cohorte de voitures qui quittent le parking, son souffle se transformant en une buée fragile qui s’élève avant de disparaître dans les airs. Elle se murmure presque ’’une bonne chose de faite’’ pour se féliciter d’avoir su rester calme, un vague sourire commençant à naître sur ses lèvres tandis qu’elle se retourne pour poser un regard apaisé sur son professeur… Qui ne semble pas vraiment partager son humeur. Un peu surprise de l’air bougon qu’il affiche, Jean fronce ses sourcils en poussant ses lèvres en avant, restant quelques secondes interdite lorsqu’elle le s’éloigner sans un mot, ni même un regard. Qu’importe, il en faut plus pour se débarrasser de la rousse, qui s’empresse de le rejoindre pour lui faire part de toute sa gratitude, pensant naïvement que sa démarche serait bien accueillie mais… « Rendez-moi mon rubik's cube. » Hein ? Un peu surprise que ce soit la première chose qu’il trouve à lui dire, elle fronce les sourcils avant de les hausser, ayant l’air de ne pas comprendre de quoi il parle. Puis, tandis qu’elle palpe les pans de sa veste épaisse, elle sent une masse rigide dans sa poche gauche alors elle y enfourne sa main pour en ressortir le précieux sésame, intact, qu’elle dépose dans la paume qui réclame son dû. « Voilà. » dit-elle avec un franc sourire, ne s’attendant visiblement pas à ce qui suit…

« Je peux savoir à quoi vous jouiez tous les deux ? Vous avez un tel manque d'attention que vous vous sentez obligé d'utiliser vos pouvoirs à la vue de tous ? Et bien c'est réussi. Vous allez être sous les feux des projecteurs de l'université pendant longtemps. » HEIN ? Ébahie, elle fronce durement ses sourcils en le regardant, ne tardant pas à lui répondre, à l’ingrat de service : « Je jouais à vous sauver la vie, la votre et celle de l’autre étudiant. » Le ton n’est pas rude, mais il est certain qu’elle ne veut pas totalement se laisser marcher sur les pieds, quand bien même se sent-elle intimidée par la situation, tant elle n’a pas l’habitude d’être l’élève après laquelle on rechigne. « Vous vous rendez-compte que je viens de risquer ma carrière pour désamorcer vos enfantillages ? Vous vous rendez-compte que vous venez de vous révéler à tout Columbia ? » Euh… Elle n’avait pas réalisé non, mais ça se voit sur son visage qu’elle vient de le comprendre : les mains sur les hanches, elle plisse légèrement ses paupières en regardant un instant ailleurs, observant brièvement les visages autour d’eux avant de reporter son attention sur son professeur. Mais elle ne peut pas lui répondre puisque, d’un geste de l’index, il lui somme de se taire : on ne lui avait jamais fait le coup, même lorsqu’elle était enfant. Heureusement que Charles possède une meilleure pédagogie. « Non ne me répondez pas ! C'est rhétorique. Sachez jeune fille, que je suis très pris en ce moment avec la rentrée. Cependant, lorsque l'occasion se présentera je vous ferais venir dans mon bureau en fin de journée. Je n'en ait pas terminé avec vous. Maintenant… Allez en cours. » Elle pourrait lui répondre mais tout ce qu’elle dira pourra et sera utilisé contre elle lors de son procès alors, faisant usage de son droit à garder le silence, elle se contente d’un regard contrarié avant de tourner les talons pour suivre la direction de l’index : l’entrée de l’université

Définitivement, elle aurait dû rester chez Peter. C'est encore pire que ce qu'elle avait imaginé.



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