Alors que Charles essayait de minimiser les faits, je continuais de lire cet article et j'avais beaux le lire et le re lire, je n'arrivais pas à le finir, mon regard et mon subconscient était bloqué sur 3 mots, Humain, tueur et mutants, alors que je portais à nouveau le verre de Whisky à mes lèvres, je fut stopper dans mon élan et à mesure que je me refaisais la lecture du journal, une sensation que je pensais "assouvis" remontait tout à coups. Je pensais que ce sentiment était passé depuis le temps, ce sentiment de rage...Je pensais qu'après Thanos, le sentiments des humains envers les mutants avait été améliorer, je nous pensaient unis pour une fois et une fois de plus il était évident que je me trompais. C'était l'histoire qui se répétait encore et encore, cette même putain d'histoire ou encore, ceux qui devait en subir les conséquences, c'était nous...Mutants. Alors, un tas de questions me venait à l'esprit d'un seul coups, je regardais le journal, les yeux écarquillés, sans même m'en rendre compte, perdu dans toutes ces questions.
Nous revoilà, au point de départ. Pourquoi Charles, même après avoir vu ceci, lu ceci, peut être même avoir ressentit et vécu tout ceci avec sa télépathie, continuais de croire que l'humain était bon et innocent, qu'ils étaient prêt à nous accepter, même après tout ce qu'on avait vécu de similaire. Je ne l'écoutais que d'une oreille quand il vantais les capacités des forces de l'ordres pour l’enquête en cours, je sais qu'il savait déjà ce que je pouvais bien pensez de leurs capacités, des incapables rien de plus. Alors, je reposais sans réelle délicatesse le journal, la ou je l'avais pris et bu une gorgée du breuvage que contenait le verre, avant de me retourner vers Charles
"Epargne moi ce discours, Charles!" lui avais-je répondu sèchement. Comment pouvait-il leurs lécher les pieds, on savait très bien que nous étions plus que qualifié pour résoudre cette histoire et cela ne prendrait pas des semaines " Pendant que l'on discute de leurs grande capacités, a sauver le monde...Les nôtres meurs Charles et d'autres suivrons!" Je me dirigeais vers Creed pour lui glisser quelques mots à l'oreille, lui expliquant la situation" Quelqu'un s'amuse à tuer les mutants, part en éclaireur, trouve le et tue le. Je te rejoins au plus vite" Après ces quelques indications, Victor partit en trombe. J'avais confiance en ces talents de pisteur, je savais d'ailleurs par la même occasion, qu'il me retrouverait. Peut être était-ce aussi de ma faute, j'étais tellement préoccupés par Genosha que je ne pensais même plus, à me tenir informé des nouvelles du monde. Je me dirigeais à présent vers la fenêtre du bureau et regardais dehors, avec un but bien précis en tête, il était évident que je devais agir. "Tu sais déjà ce que je m'apprête à faire, Charles, je ne peux pas rester la sans agir et toi non plus! Il doit payer le prix fort. J'agirais avec ou sans toi, mais je ne resterais pas les bras croisés en attendant que ça ce passe. Si tu préfère rester ici, je te demanderais qu'une seule chose...Ne me fait pas obstacle". Il était évident que j'allais y mettre mon grain de sel, reste à savoir quel camps allait choisir mon vieil ami.
Charles sentit la rage monter dans le cœur de son ami, cette rage qui le nourrissait depuis qu'il était enfant. C'était un insidieux poison dont il ne serait jamais guéri, peu importe ses efforts pour le combattre. Ils s'en étaient aperçus à plusieurs reprises. Erik se laissait guider par sa colère, tandis que Charles étouffait la sienne. Ce n'était sans doute sain pour aucun des deux hommes, et cette gestion opposée de leur colère les amenait fréquemment au conflit.
Charles ne fut nullement surpris de la réaction d'Erik. Il en fut cependant peiné, comme toujours. Et comme toujours, il allait tenter de le convaincre que son chemin n'était pas le bon, bien qu'il ait en partie raison.
« Ne fais pas justice toi-même Erik. Tu ne seras pas perçu en héros, mais en criminel. »
C'était injuste, mais c'était vrai. Si Erik se chargeait de retrouver le tueur, il le ferait avec perte et fracas. Il serait arrêté, ou devrait à nouveau prendre la fuite. Le monde humain avait des lois, et les mutants n'avaient pas à les enfreindre, si juste soit leur cause à leurs yeux.
« Si tu réponds à la violence par la violence, tu desserviras notre cause. N'as-tu donc rien appris de nos expériences passées ? »
Mais il semblait impensable de ne pas agir, malgré tout. Un compromis était peut-être possible. Charles ne voulait pas s'opposer une fois de plus à Erik. Son vieil ami avait évolué, il avait créé sa Confrérie, il parlait de paix et de vie en harmonie. Il pouvait peut-être envisager une autre voie que celle de la fureur et de la mort.
« Nous pouvons agir, ensemble. Je m'engage à retrouver nos frères et sœurs mutants, et à te conduire à eux pour les délivrer. À condition que tu t'engages en retour à ne pas tuer leur tortionnaire. »
J'étais souvent en désaccord avec Charles, mais je devais reconnaître qu'il avait souvent raison et ces mots me traversaient comme une balle de gros calibre. J'étais souvent aveuglés par la haine, mais jusqu'ici la haine m'avais plutôt bien servis. Mais il avait raison quand il disais que de répondre par la colère ne servirait pas notre cause, alors je respirais profondément et je tentais de me calmer. " Je ne cherche pas à être un héro..." je cherchais simplement à vivre en paix en tant que mutants, mais ce n'étais pas l'avis des humains, eux aussi avaient déjà abattue leurs cartes, nos expériences passées en étaient la preuve. " Tu sais très bien que les humains ne veulent pas de nous, Charles. Il suffit de regarder l'actualité ou de te remémorer nos expériences passés." Faisant référence bien évidemment au journal que je venais de lire, " Combien de mutants devra mourir avant que tu comprenne que tu fais fausse routes?!" j'étais triste, ce qui ce passait me touchais profondément. Mais, je réussissais à garder mon calme, du moins à le contrôler, j'ignore combien de temps je réussirais à contrôler cette rage avant qu'elle n'éclate.
Alors je pensais, à génosha et aux habitants qui s'y trouvaient. Je savais que s'y je leurs demandaient, ils se battraient pour moi, avec moi. Mais je réalisais, que malgré les guerriers qui s'y trouvaient, il y avait aussi des familles, des enfants...Et je ne voulais pas les sacrifiés dans une guerre civile. Charles me fit une offre, il voulait qu'on fasse équipe pour retrouver nos amis perdu, mais je devais m'engager à ne pas tuer leurs tortionnaire, alors je réfléchissait un moment " Très bien, Charles. Comme au bon vieux temps... " Charles était un précieux atout pour retrouver les mutants disparus, je me demandais même s'il n'avait pas déjà commencer les recherches, étant au courant de l'affaire depuis un moment déjà. Reste à voir, si je réussirais à tenir paroles et de ne pas tuer les kidnappeurs.
C'était toujours le même débat. Toujours les mêmes arguments, qui revenaient à chaque fois que des mutants se faisaient attaquer. Erik se sentait persécuté depuis toujours, à raison, vu ce qu'il avait vécu dans son enfance. Il avait fait un transfert psychologique évident, pour lui les mutants d'aujourd'hui étaient les juifs d'hier. Mais Charles n'avait pas le même vécu, ni la même vision des choses. Lorsque Magneto affirma que les humains ne voulaient pas d'eux, le professeur ne put s'empêcher de lever les yeux au ciel.
« Ce ne sont que des actes isolés Erik. Ta vision du monde est toujours si radicale ! Regarde notre société actuelle : nous ne sommes pas traqués, ni catégorisés, on ne nous impose aucun recensement, il n'existe pas de lois restrictives vis-à-vis des mutants. Bien sûr, nous serons toujours stigmatisés par quelques réfractaires au changement, mais ils sont loin de constituer une majorité. »
Si Charles était un irréductible idéaliste, Erik était un implacable pessimiste. Pourrait-il un jour accepter l'idée qu'humains et mutants puissent cohabiter, vivre ensemble, sans qu'il y ait sans cesse des conflits ? Les mutants supplanteraient l'espèce humaine à l'avenir. C'était un fait scientifique avéré, bien que peu connu du grand public, pour des raisons évidentes. Mais cela n'arriverait pas avant plusieurs générations, et d'ici là, il fallait bâtir les fondations d'un monde meilleur. Charles s'enorgueillissait d'en avoir posé quelques pierres.
« Ma route, je l'ai choisie voilà bien longtemps. Nous avons pris des chemins différents tous les deux, et pourtant, au fond, nous aspirons aux mêmes choses. »
Il perçait dans sa voix une pointe de tristesse. De regret, sans doute. Ensemble, ils auraient pu être les rois du monde. Ils auraient pu aider tant de mutants... Mais Charles refusait de le faire au détriment des humains. Jamais les deux vieux amis ne seraient pleinement en accord. Ils parvenaient tout juste à collaborer, de temps en temps. Lorsque cela comptait vraiment. Des compromis étaient parfois envisageables. C'était ce que proposait Charles aujourd'hui. Restait à voir si Erik était capable de l'accepter.
Un silence suivit l'offre du télépathe, silence qu'il respecta patiemment, se contentant d'attendre que Erik rende son verdict. Il ne chercha pas à lire ses pensées : au-delà du respect et des promesses d'antan, Charles craignait surtout d'y percevoir des doutes, ou pire, un mensonge. Que Magneto accepte son offre tout en songeant qu'il ne respecterait peut-être pas sa part du marché. C'était une possibilité à laquelle Charles ne voulait pas songer. Il préférait tenter, une fois encore, de lui faire confiance.
« Bien. Dès que je saurai où ils se trouvent, tu en seras le premier informé. Nous les libérerons ensemble, mon vieil ami. »
Les mots étaient consciencieusement choisis. Il préférait parler de libération que d'affrontement, évoquer un concept de paix et d'espoir plutôt que de haine et de vengeance. Sur ces mots, Charles tendit la main, pour que Erik la serre, afin de confirmer leur accord.
Il était vrai que ce débat revenais dans la discussion chaque fois que je voyais Charles. Moi lui rappelant que les humains ne nous accepteraient jamais et lui me répondant que c'était toujours des groupuscules qui ne nous acceptaient pas. Mais devais-je réellement lui rappeler que ces petits groupes nous faisaient beaucoup de mal, comme par exemples nous envoyer un barrages de missiles sur une plage alors qu'on faisait tout pour protéger le monde d'une nouvelle guerre mondiale ou encore se servir de nous comme des cobayes afin de créé des sentinels pour nous éradiquer et maintenant, un groupuscule kidnappe et tue des mutants pour je ne sais quelles raison, par simple plaisir si ça se trouve. Souvent quand des groupes agissent par haine ou par crainte à l'encontre de quelques choses qu'ils n'accepte pas, comme les religions, les ethnies ou les diversités sexuels ou encore la cruautés envers les animaux, d'autres groupes lève le ton et crie leurs désaccords, leurs soutien et leurs tristesses, que la qui nous pleurent, nous mutants, mis a part nous même. Personne...Même ceux qui étaient victimes d'harcèlement avant, nous harcèle eux aussi, nous voyant tous comme des monstres. Qui nous protége aujourd'hui, qui nous pleurent ou nous soutiennent...Personne et pourquoi, parce que nous sommes qu'une menace et cette situation arrange beaucoup de monde.
Alors certes, ne nous sommes pas "traqué" entre guillemets comme Charles me le disais, quoi que en vue de la situation actuelle, je suis pas sur d'être d'accord avec ce terme, il est vrai que nous ne sommes pas recensé, ni même catégorisés, mais ou je pouvais être sur, c'était juste une question de temps avant que tout cela change. Mais si Charles avait toujours espoirs que je sois d’accord avec lui, moi j'avais espoir qu'il ouvre enfin les yeux et peut-être que cette mission était ce qui lui fallait pour qu'il comprenne que j'avais raison. Je l'écoutais que d'une oreille, je ne cherchais même plus à le convaincre. Je lui serrais la main qu'il me tendait pour signé notre accord, nous allions une nouvelle fois, combattre ensemble pour aider la cause mutante. Mais je savais déjà que tout ne ce passerait pas comme prévu, j'y étais déjà préparer et à mon grand regret, j'étais persuadés que Charles n'était pas prêt pour ça. J'espérais me tromper sur toute la ligne...
"Oui, ensemble." Disais-je avec un sourire qui se voulait rassurant " Au travail! Nous allons avoir besoin de toutes l'aide nécessaire " je tournais les talons et me dirigeais vers la sortie.
Erik serra la main de Charles, et bien qu'il passa dans son regard une once de doute et de tristesse, le télépathe préféra ne pas en tenir compte. "Ensemble". C'était tout ce qui comptait. Ils devaient pouvoir compter l'un sur l'autre, ils devaient pouvoir s'entraider malgré leurs visions différentes. Comme toujours, Charles gardait espoir. Il lui rendit son sourire rassurant.
Mais lorsque son vieil ami tourna les talons et sortit de son bureau en annonçant qu'ils auraient besoin d'aide, Charles se rembrunit. Car s'il pouvait gérer Erik, il ne connaissait pas les mutants qui étaient susceptibles de l'accompagner. Il ne pourrait pas tout contrôler, et empêcher que les choses dégénèrent. Il valait mieux donc mettre les choses au clair tout de suite. Il avança son fauteuil pour suivre Magneto avant qu'il ne soit sorti du manoir, et lui répondit :
« Je n'impliquerai pas les X-Men dans cette affaire. Et j'aimerais que de ton côté, tu n'impliques pas ta Confrérie. Le kidnappeur est un homme seul, nous pouvons aisément le neutraliser tous les deux. Deux mutants qui libèrent leurs confrères emprisonnés, c'est une action héroïque qui pourra être encensée par l'opinion publique. Une armée de mutants qui s'attaque à un seul humain, c'est un acte de guerre. Si tu souhaites vraiment que tes protégés vivent en paix, ne les mêle pas à tout ça. »
Il ne voulait pas défendre celui qui commettait ces atrocités sur ses semblables, mais il voulait absolument éviter un bain de sang. Actuellement, l'opinion générale était plutôt favorable aux mutants, mais malgré son idéalisme, Charles n'était pas idiot. Il savait que la moindre étincelle pouvait mettre le feu aux poudres. La situation n'était pas simple, mais s'ils y allaient ensemble, rien que tous les deux, ils pourraient la démêler aisément, pour le bien des mutants.
Afin d'éviter de se relancer dans un nouveau débat, le télépathe ne lui laissa pas le temps de répondre, que ce soit pour argumenter contre sa décision ou au contraire pour l'accepter. Il posa sa main sur le bras de Erik - à défaut de pouvoir la poser sur son épaule, ce que sa position assise l'empêchait de faire - et il lui adressa un nouveau sourire, tout en concluant leur conversation :
« Je suis sincèrement heureux de te revoir, Erik. Je te souhaite de trouver la sérénité que tu recherches, pour toi et pour tes protégés. »
Il actionna l'ouverture automatique des grandes portes du manoir et glissa dans la main de Erik sa carte de visite, avec le numéro de téléphone de l'Institut. Ainsi Erik pourrait le contacter rapidement, sans avoir nécessairement besoin de se déplacer jusqu'ici.
Je me dirigeais donc vers la sortie du manoir des X-men, alors que Charles sur mes talons me confiait qu'il n'impliquerais pas les X-men et qu'il me conseillait de ne pas impliquer les membres de ma confrérie, bien que c'était un conseil bien avisé, je ne surprotégeait pas mon groupe, estimant qu'il devait faire leurs propres choix, surtout quand des situations comme celle la, leurs implication était nécessaire et que s'ils voulaient apporter leurs pièces à l'édifice, je ne pouvais en aucun cas les en empêcher et dans ces cas la, il était en mon devoir de les guider. Surtout que Victor Creed était déjà partis en éclaireur depuis un moment. Je me tournais vers Charles une fois les pieds mis à l’extérieur " Comme dans tes habitudes Charles, tu oublie que tes X-men ne sont plus des enfants et tu continu tout de même de les couver. Je suis certain que la plus part d'entre eux veulent se battent, tels est la cause Mutante" je repris un peu mon souffle " Je suis heureux aussi de te revoir Charles..." Et sur ces mots, je tournais les talons et repris ma route " A plus tard mon vieil ami " disais-je en m'éloignant.
Je ne pouvais lui garantir que la confrérie ne se battrait pas, contrairement à mon ami, je refusait de les couver, je savais aussi que même si tous me suivraient aucun ne me désobéiraient. Cette fois ci, plutôt que de reprendre un taxi, je préférais la voie rapide des airs et après un petit temps de vol, je traversais le champs d'illusion et vit alors apparaître Genosha. Je voyais de la haut, mes confrères se regrouper alors que je perdais de l'altitude, restant dans les airs, mais assez bas pour que tous m'entendent parfaitement et dans une voix assez forte je commençais un discours.
" Mes amis, une fois de plus les humains s'en prennent à nous. Peut être, êtes vous déjà au courant de la situation, mais pour ceux qui l'ignorent...Voici déjà quelques jours, un homme kidnappe les mutants et s'amuse à les torturer assez longtemps, pour que ceux ci demande par eux même qu'on abrège leurs souffrances. Une histoire qui se répète une fois de plus...Nous sommes encore, les victimes de leurs peurs et de leurs mépris. Des attaques d'individu qui agisse de leurs propres chefs, ces mêmes individus qui nous prennent à partis depuis toujours dans le monde entier, mais combien d'entre eux, nous pleurent?! Nous les monstres qui les terrorises depuis toujours." je fis une petite pause, je voyais leurs regards, leurs mépris, ces même mutants qui ont déjà été victime dans leurs vie de la haine des humains. " Je ressent votre colère mes amis, c'est pourquoi je vais me rendre sur les lieux quand nous trouverons la position des kidnappeurs et je ne vous demanderais pas de m'accompagner" Je savais quand disant cela, tous voudront venir et j'avais raisons, je pu entendre certain si ce n'est tous, élever la voix pleine de deception car voulant participer au sauvetage des nôtres et me donner allégeance et soutiens pour ce qui allait venir. "Je ne pourrais emmener tout le monde, il est essentiels que pour le moment nous agissons pas comme une armée partant en guerre, mais je vous le dit mes amis " Une guerre approche et nous aurons l'occasion de nous battre!"
Ces derniers mots en eu l'effet escompter, tous était prêt pour une guerre. Mais dans la situation actuelle, je me contenterais que de deux ou trois personne. Dent de sabre était déjà partis donc cela faisait un, pour les autres je pensais au Crapaud, à Blob, à Avalanche, ou encore à Psylocke, qui pars leurs pouvoir, pars leurs intelligence ou simplement pars la confiance que j'avais en eux étaient les principaux intéressés, mais je devais aussi pensés au bien êtres de Genosha et ils étaient tous indispensable au bien êtres de l’île et de ces habitants.
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