Description du lieu

The Lucky Mobile



The Lucky Mobile est un bus de tournée ; un autocar aménagé de manière à pouvoir servir de résidence mobile, pesant environ 13 tonnes. Bien qu’il ne soit ni le véhicule le plus discret ni le plus manœuvrable, ses conducteurs ont déjà réussi à lui faire prendre les cols montagneux des alpes alors ils s’entêtent à l’utiliser dans leurs déplacements au sein de New York City et ses environs. Les difficultés ne sont cependant pas les mêmes et il doit régulièrement être réparé…


Long d’une douzaine de mètres et large de trois, l’autocar se distingue principalement par le contraste entre le blanc de sa carrosserie et le noir de ses vitres teintées. Ayant à l’origine une capacité de transport d’une soixantaine de personnes, il a subi des modifications mais celles-ci sont difficilement visibles de l’extérieur. La plus aisée à remarquer, étant visible d’au-dessus, est un renfort de toit d’accueillant des panneaux solaires. Les autres sont dissimulées par des panneaux mouvants, notamment la zone coulissante permettant de déployer un pare-soleil en tissu, et deviennent évidentes lorsque ce qu’elles cachent est déployé.




Partie la plus reconnaissable par rapport à un autocar standard, l’unique porte du bus donne sur un petit escalier en L traversant deux paliers. Le premier, à l’angle, croise le grand siège du chauffeur digne d’un siège de gamer rouge auquel la ceinture de sécurité a été rajoutée et des petits rangements au sein de la paroie. Le second palier se trouve au niveau du siège passager aux coussins rouges, lequel surplombe le petit escalier et l’entrée. Là, on fait face à une porte coulissante automatisée stylisée comme du bois, actionnable depuis le tableau de bord et prévue pour pouvoir être ouverte manuellement si nécessaire. L’entièreté du mobilierest dans des tons de bois, donnant l’impression d’avancer dans un manoir.


La porte coulissante s’ouvre sur une longue pièce de rouges, de bronze et de bois, avec un style luxueux. Le sol est moitié couvert de moquette et moitié de carrelage, délimitant les deux sous-parties que sont le salon et la cuisine. Tout le long se trouvent des plafonniers incrustés dans des espaces noirs qui encadre des vitraux rouges ainsi que la bouche VMC. Le reste du plafond est de beiges et de bruns, avec de nouvelles lumières crues là où il y en a besoin. Les fenêtres teintées sont couvertes de stores gris et encadrées de bois.
Sur la gauche se trouve un guéridon marbré puis un canapé où l’on peut faire aisément tenir trois personnes. La première fenêtre voit sa partie haute couverte d’un panneau supportant un écran plan haute résolution. De même, la seconde fenêtre est majoritairement obstruée par les rangements de cuisine, incluant four-micro-ondes et réserve alimentaire, et surplombe un plan de travail marbré doté d’un porte-verre en hauteur et d’un évier intégré. Le meuble en lui-même contient un faux tiroir puis ceux liés à cuisine et la vaisselle. Le tiroir vertical au coté du canapé est un présentoir à alcool. Le caisson de bois qui s’en suit supporte deux miroirs et est doté d’une porte donnant sur un WC et une douche.
Sur droite se trouve une commode boisée surplombée d’une stéréo et d’un poème encadré , Être Jeune. S’en suit un canapé de trois larges places aux coussins rouges. Son support contient des tiroirs à poignée de bronze noirs tandis que son dossier a plusieurs portes-gobelets. Au-dessus se trouvent deux fenêtres teintées dotées et séparées d’une colonne avec une lampe murale plaquée bronze. Après cela se tient une table à manger couleur bois, repliable et possédant quatre portes-gobelets, ainsi qu’une troisième fenêtre et deux autres colonnes pareillement équipées. Un siège accompagne la tablette, suffisamment grand pour faire se serer deux personnes, et fait dos au coffret de bois qui contient le réfrigérateur ; coffret décoré d’une broderie encadrée. Le tissu est beige et le motif royal, rappelant les socles des lampes murales. Enfin se trouve un miroir de plein pied décorant le renforcement destiné à la seconde porte de bois, laquelle n’est pas automatisée.


La porte s’ouvre sur une longue pièce de rouges, de bronze et de bois, avec un style luxueux. Le sol est couvert de carrelage tandis que le plafond suit la logique précédente : des plafonniers incrustés dans des espaces noirs qui encadrent des vitraux rouges ainsi qu’une bouche VMC, des espaces de beiges et de bruns, avec de nouvelles lumières crues là où il y en a besoin.
C’est-à-dire au-dessus des armoires de bois à doubles portes, lesquelles forment deux haies qui couvrent totalement murs et fenêtres de la pièce. Elles sont au nombre de dix, cinq par paroi, et complétées d’une armoire à simple porte. Extérieurement, il est impossible de connaitre leur fonction. Les plus proches de l’arrière du bus sont des dressings tandis que premières contiennent, rangés à la verticale, plusieurs plans de travail et établis ainsi qu’un banc de musculation. Le prototype inachevé du Simulacre se trouve dans l’une de ces armoires.
Au fond se trouve une seconde porte de bois, manuelle là-encore.


La porte s’ouvre sur une pièce carrée de rouges, de bronze et de bois, avec un style luxueux. Le sol est couvert de moquette tandis que les fenêtres teintées sont couvertes de stores gris et encadrées de bois. Le plafond voit quelques plafonniers incrustés dans les espaces noirs qui encadrent des vitraux rouges et un rétroprojecteur ainsi que quelques espaces de beiges et de bruns avec de nouvelles lumières crues qui accompagnent les lits.
Ceux-ci sont au nombre de trois, tous d’une place, et sont répartis entre les deux parois latérales et celle du fond. Ils disposent d’un tiroir permettant de transformer le lit simple en lit double, quoi qu’il soit impossible d’étendre ainsi le lit du fond en simultanées aux autres. Aux coins arrière de la pièce se trouvent de petits bureaux carrés supportant chacun un ordinateur fixe avec clavier.
Les lits peuvent se replier à la verticale pour devenir des canapés et les deux latéraux peuvent même transformer leur extension en sièges tournés vers l’arrière. De leur côté, si le lit du fond est totalement replié, les bureaux peuvent se déplier pour former un bureau plus large. Enfin, si ni ledit lit ni ledit bureau ne sont ouverts, il est possible de faire descendre un écran de projection, lequel arrive au pied des deux autres canapés-lits s’ils sont ouverts.






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