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 let nature be our greatest teacher

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Alison Blaire
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MessageSujet: let nature be our greatest teacher let nature be our greatest teacher EmptyJeu 14 Mar 2024 - 12:54


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Samedi 08.02.25, plage de Staten Island
@Namor McKenzietenue


« Les océans fournissent 80 % de l’oxygène que nous respirons ; ils sont le système vital de la planète. Les requins jouent un rôle essentiel dans la santé de nos océans et s’ils disparaissent, les conséquences sur l’écosystème marin seront catastrophiques. L’écosystème océanique est fait de chaînes alimentaires intimement liées : les requins chapeautent l’ensemble et sont ce que les scientifiques appellent des ‘’clés de voûte’’, ce qui signifie que leur disparition entraînerait l’effondrement de l’ensemble du système. » Un silence de stupeur parcourt les invités qui, tous assis sur des chaises parfaitement alignées face à l’estrade qui domine l’assemblée, retiennent presque leur souffle en semblant apprendre une vérité que tout le monde sait déjà, mais qu’il est bien plus confortable d’ignorer. Parce que s’ils sont réunis pour la bonne cause de l’écologie, certains ne sont présents que pour s’offrir une belle publicité dans les médias : à défaut d’être véritablement engagés, ils sont sincèrement soucieux de l’image qu’ils renvoient. S’ils éprouvent présentement une réelle anxiété à l’idée de causer un désastre écologique, nul doute qu’ils auront oublié les belles promesses qu’ils se formulent sitôt qu’ils retourneront dans leur jet privé pour regagner leur villa avec piscine à débordement. « Si les océans meurent, nous mourrons tous, donc sauver les poissons, les oiseaux marins et le plancton est plus important que de trouver un remède contre le sida. Ce genre d’allégations fait de moi quelqu’un de politiquement incorrect, mais peu m’importe, je préfère de loin être écologiquement correct. » Si certains s’offusquent de la comparaison qu’on pourrait discuter, Alison, elle, ne cille pas ; le dos droit, la nuque haute et le menton légèrement incliné, elle porte des lunettes de soleil ambrées qui ne l’empêchent point de garder leur maître de cérémonie en visuel. Vêtue de collants semi-opaques qui laissent voir la peau de ses cuisses, elle s’est sortie de bottes marrons qui montent jusqu’en dessous de ses genoux et d’une simple robe noire aux manches longues. Ses longs cheveux blonds tombant en rideaux de chaque côté de son visage, elle presse ses lèvres l’une contre l’autre dans un sourire amusé, en entendant le brouhaha offusqué qui se répand autour d’elle : visiblement, le discours de Paul Watson provoque des émules. Peut-être, avec raison ?

Les photographes, tenus à bonne distance grâce à un système de sécurité et des barrières installées le long de la plage privatisée pour l’occasion, se régalent de clichés volés, puisque tout le gratin de New-York est ici attroupé : des acteurs, des musiciens, des mannequins, des créateurs et même des politiciens, concilier sur la même surface pour tenter de récolter des fonds afin de protéger ceux qui sont marins. La chanteuse, elle, attend patiemment que la fin de la conférence en plein air prenne fin pour se hisser sur ses jambes graciles dans un mouvement souple, en ondulant légèrement ses épaules comme pour détendre les muscles de son dos. « Bon, c’était super. » Super intéressant et super déprimant en même temps, mais puisque les grosses fortunes de la ville ont assisté à ce palabre, elle peut espérer que ces dernières se montrent aussi concernées que généreuses, non ? « Quand même, il est un peu alarmiste. » Derrière elle, l’adjoint au maire la fait rapidement déchanter, et ses épaules s’affaissent en même temps qu’elle perd son sourire. Pivotant sur ses talons pour lui faire face, la blonde qui n’a peur de rien sinon d’oser lui accorde quelques mots, en accolant l’une de ses paumes contre sa propre hanche. « On vous paye combien pour rester dans le déni ? » Papillonnant de ses longs cils noirs maquillés, elle penche davantage sa nuque sur le côté sans le quitter des yeux, claquant sa langue contre son palais avant de poursuivre, sur le même ton piquant : « C’est effarant comme tous les politiciens refusent d’assumer leurs responsabilités concernant le climat, sans pouvoir s’empêcher de tirer profit de cette cause… » Marquant une petite pause, pendant que les rangées de chaises se vident peu à peu de leurs occupants, elle surenchérit en s’avançant d’un pas pour se positionner face à lui. « Parce qu’il me semble que vous allez recevoir un certain pourcentage de la somme récoltée aujourd’hui, je me trompe ? » Non, elle ne se trompe pas, mais il y a trop d’oreilles indiscrètes et de caméras pointées en leur direction pour qu’il veuille poursuivre cette conversation : l’adjoint au maire, refermant les pans de sa veste de costume, ne demande pas son reste et s’éloigne en tenant le bras de son épouse, flanquée d’une fourrure autour des épaules.

Sans changer de position et sans même perdre son sourire satisfait, la blonde le suit du regard avant de se retourner vers l’homme restant, qu’elle ne reconnaît pas — il faut dire qu’elle n’a ni la mémoire des prénoms et encore moins des visages, sauf si c’est Beyonce qui est devant elle, mais quoique le brun soit tout à fait charmant, il ne ressemble ni de près ou de loin à la diva tant admirée. « Vous n’êtes pas d’accord avec moi ? » Il a intérêt à l’être, ou alors c’est un parfait idiot.
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MessageSujet: Re: let nature be our greatest teacher let nature be our greatest teacher EmptySam 23 Mar 2024 - 10:10

C’était une de ses premières missions officielles si on puisse dire. Une conférence en plein air, un forum organisé autour du thème de l’écologie. Au vu des accords passés entre les Nations Unis et l’Atlantide, on avait sans doute jugé bon d’organisé un petit événement sur la défense des océans, invités l’ambassadeur du peuple marin et voila de quoi faire bonne figure et donner l’illusion qu’on faisait quelque chose aussi bien pour la planète que pour la paix. Mais Namor n’était pas dupe. Il voyait, sentait toute l’hypocrisie de l’événement. Le discours donné par ce Paul Watson était juste, mais le prince voyait bien qu’il n’avait pas l’intonation d’un meneur et que le publique aura tot fait d’oublier son discours une fois les portes franchis.

En tout cas ses paroles auront retournés plus d’un, ce qui était amusant à voir, mais tant que les choses ne changeront pas… Car c’est bien plus que voir les océans pollués qu’on risquait de voir, mais les peuples des mers se soulevaient et lançaient une guerre. Les risques étaient plus importants, mais il fallait croire que cette Elite déconnectée ne prenaient pas grand-chose au sérieux si ce n’était leur propre nombril. Le discours prenait fin et l’assistance se vidait petit à petit. Le prince ressentait une forme de frustration en lui, qu’il tâchait de garder enfoui en lui.

L’assistance se vidait peu à peu, se faisant photographiait au passage par les journalistes invités et accordant quelques belles déclarations, demandant surtout aux plus pauvres de leur espèce de faire des efforts pour le bien de la planète. En gros, monsieur et madame tout le monde devraient se privés pour eux les plus riches et pollueurs poursuivent leur train de vie habituel. Ce ne sont pas les gens communs qui faisaient traverser des cargos ou du pétrole sur les mers, faisaient dix voyages en jet ou en yacht privé dans la semaine ou encore ordonnaient l’exploitation des richesses sous-marines.

Tout le monde n’était pas encore partie. Une femme non loin de lui se faisait bien entendre et assommer un des convives de questions et remarques, comme si elle l’accusait de quelque chose. De quoi ? Namor n’en était pas sur, mais les voyant richement vêtu, ils devaient faire partie de ceux qu’il accusait lui dans sa tête. La femme qui était une magnifique blonde aux cheveux en cascade le remarqua et semblait vouloir le faire entrer dans la discussion. Savait-elle au moins a qui elle s’adressait ?

-Vous n'avez pas peur de parler autant et à n'importe qui.

C’était un compliment. Enfin je crois, même mon propre personnage pouvait me faire douter sur ce genre de point, mais bref. Namor faisait surtout une constatation, se disant qu’elle n’avait soit pas peur de s’en prendre à quelqu’un de haut placé pour se faire entendre, ou bien qu’elle bénéficiait d’une très bonne protection.

-Le respect des océans est un enjeux plus important encore que vous ne le croyez. Avant vous ignoriez que des peuples vivaient dans ces eaux et ça, nous pouvions vous le pardonner. Mais maintenant, chercher à persévérer dans la destruction de nos milieux de vie est considérés comme une agression envers un peuple étranger.

Le prince Atlante rappelait le discours donné lors de la rencontre avec le président et d’autres représentants de nations étrangères. Cette situation n’allait pas plaire à tout le monde Namor en était consciente, mais ca il s’en moquait à vrai dire. Il était la pour défendre les intérêts de son peuple et donc, n’acceptera jamais que les siens se laissent massacrés et humiliés pour satisfaire les caprices des puissants de la surface.


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MessageSujet: Re: let nature be our greatest teacher let nature be our greatest teacher EmptySam 23 Mar 2024 - 16:34


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Samedi 08.02.25, plage de Staten Island
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« Vous n'avez pas peur de parler autant et à n'importe qui. » Alison ignore si la réponse est un reproche ou un compliment, mais dans le doute, elle opte pour la deuxième option : haussant ses épaules avec un air insouciant au visage, elle presse ses lèvres charnues dans un sourire mutin sans le quitter des yeux. « Pourquoi devrais-je avoir peur ? Je dis ce que je pense, tant pis si cela met l’hypocrisie de certaines personnes en lumière. » Attaque purement ciblée contre l’adjoint au maire qui s’éloigne en tenant le bras de sa compagne, et vers lesquels la blonde se retourne pour les toiser d’un oeil de vipère, avant de revenir auprès de son interlocuteur, qui reprend la parole. « Le respect des océans est un enjeux plus important encore que vous ne le croyez.  » La blonde resserre ses phalanges pliées autour de sa pochette, qu’elle applique contre son ventre en penchant légèrement son menton sur le côté, se demandant bien ce qu’il veut dire ; le discours du Capitaine Paul Watson n’est pas suffisamment alarmant ? « Avant vous ignoriez que des peuples vivaient dans ces eaux et ça, nous pouvions vous le pardonner. » Elle comprend bien vite de quels peuples il veut parler et, sous cette pensée, ses yeux glissent sur son corps de haut en bas, non pas d’un oeil lubrique mais plutôt comme si elle cherchait à savoir s’il appartenait à lui d’eux — après, si elle peut se rincer l’oeil, elle ne va pas se priver, Ali. « Mais maintenant, chercher à persévérer dans la destruction de nos milieux de vie est considérés comme une agression envers un peuple étranger. » Le ‘’nos milieux de vie’’ ne lui échappant pas, elle accentue la largueur de son sourire en croisant ses bras frêles contre sa poitrine généreuse, ses cheveux tombant de chaque côté de son visage comme un rideau d’or. « Ainsi donc, vous êtes l’un d’eux ? » C’est plus rhétorique qu’autre chose puisqu’elle l’a compris dans son discours mais, la remarque est légitime : ce n’est pas inscrit sur le beau visage de son interlocuteur. « Je vous rejoins mais je pense qu’il faut nuancer votre propos. Malheureusement, ceux qui décident ne questionnent jamais le plus grand nombre avant de prendre des décisions importantes… La politique est un monde de requins, et les gens ordinaires qui vivent une vie ordinaire, n’ont pas leur mot à dire. Vous comprenez ce que je veux dire ? » Il faut espérer que oui, puisque son discours ne tend pas à l’énerver mais plutôt lui faire réaliser que celui-ci est périlleux, car mettant tous les habitants de la surface au même palier. La preuve, peut-être, qu’elle n’est pas qu’une belle poupée écervelée privilégiée qui n’a pas conscience des enjeux autour d’elle. « Vous avez eu la preuve aujourd’hui… L’adjoint au maire préfère se dire que c’est faussement alarmant plutôt que de prendre des décisions qui s’imposent, des décisions que des gens comme moi voudraient encourager. Mais ce ne sont pas les gens comme moi qui décident, malheureusement. »

Défaisant l’étau de ses bras pour qu’ils retombent le long de son corps après son discours, elle pivote son menton en direction de l’eau qui s’étend comme un drap bleuté qu’on aurait mis à sécher, si tranquille qu’on perçoit à peine le remous des vagues. « Comment c’est, chez vous ? » Demande-t-elle avec une vraie curiosité dans la voix, en reportant toute son attention sur le beau brun qui lui fait face, ayant hâte d’entendre sa réponse mais étant trop bavarde pour se taire elle-même. « Votre foyer doit vous manquer. »
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MessageSujet: Re: let nature be our greatest teacher let nature be our greatest teacher EmptyDim 31 Mar 2024 - 10:46

En effet, elle n’avait pas peur de parler, provoquer, dire la première chose qui lui passait par la tête. Pour certains cela pouvait être une qualité, mais pour d’autres un sérieux problème. Chez les atlantes par exemple, on faisait attention, on ne provoquait pas. On respectait la personne en face, on ne s’adressait pas à n’importe qui comme à notre voisin. Namor se demandait si pour ce genre de comportement, il y avait des risques ici.

-Pourquoi devrais-je avoir peur ? Je dis ce que je pense, tant pis si cela met l’hypocrisie de certaines personnes en lumière.
-Mais certaine personne peuvent ne pas apprécier et chercher à vous faire taire.

Namor lui n’avait pas peur de dire ce qu’il pensait non plus. Il y allait… A sa manière. Faut dire qu’ici sur la terre, il avait un message à faire passer, et aucun politicien ou milliardaire ne lui faisait peur. S’il en vexait un car il parlait des pollutions commises, tant pis il ne laisserait pas Atlantis se faire marcher dessus. Mais cette femme elle, vivait dans ce monde dirigeait par ces puissants pollueurs et corrompus. Ils pouvaient nuire directement à elle non ? En vrai Namor s’en moquait, il trouvait juste cela bizarre et ignorait s’il aimait ce qu’il voyait ou pas.

Namor expliqua donc que la pollution maritime attirait de plus gros risques, la colère de peuples marins qui pouvaient fortement nuire à ceux de la surface. La femme semblait l’écouter, croiser ses bras sous sa poitrine, la faisant gonfler, déjà généreuse. Cela n’échappa pas au prince qui était un mâle après tout et que malgré son aspect bourrue le faisant ressembler à un frigo froid et intimidant, avait de l’attirance.

-Ainsi donc, vous êtes l’un d’eux ?

L’un d’eux ? Namor leva un sourcil perplexe, aimant plus de précision sur la pensée de la blonde. Il fut désigné de bien des manières depuis son arrivé, mais au vu du contexte, elle devait le désignait comme l’un des résidents marins, un représentant d’un de ces peuples vivant caché sous les eaux.

-Je vous rejoins mais je pense qu’il faut nuancer votre propos. Malheureusement, ceux qui décident ne questionnent jamais le plus grand nombre avant de prendre des décisions importantes… La politique est un monde de requins, et les gens ordinaires qui vivent une vie ordinaire, n’ont pas leur mot à dire. Vous comprenez ce que je veux dire ?

Cela lui rappelait son entretient avec Nick Fury avant son entretiens avec le président et cela semblait l’agacé quelque part.

-Tout cela fut déjà vu avec votre président et plusieurs représentants de vos nations aussi. Des conditions ont étaient mises. Maintenant c’est à vous de sensibilisé vos élites s’ils préfèrent s’enrichir au milieu d’une guerre au risque de tout perdre, ou assurer la paix et leur survie.

Ce n’était pas une menace, du moins pas contre la blonde. Mais il fallait savoir que si l’Atlantide rentrait en guerre, peu importe le vainqueur, la destruction sera grande des deux côtés et le nombre de pertes lourdes. Les atlantes étaient prêt à sacrifiés leurs vies si leur monde était menacé même s’ils préféraient évité dans un premier temps de rentrer en conflit.

-Vous avez eu la preuve aujourd’hui… L’adjoint au maire préfère se dire que c’est faussement alarmant plutôt que de prendre des décisions qui s’imposent, des décisions que des gens comme moi voudraient encourager. Mais ce ne sont pas les gens comme moi qui décident, malheureusement.
-Votre adjoint est un imbécile. Mais je suis certains qu’il n’aimerait être affiché comme celui qui, par égoïsme et flegme, à provoqué une guerre sanglante.

Namor avait toujours apprit que c’est par des manières radicales qu’on faisait comprendre les choses aux gens. Il avait comprit que les élites de ce monde n’avaient rien à faire de l’écologie, tout ce qui comptait, c’étaient les avantages, le confort, le pouvoir et surtout… Une bonne image. Ils les entendaient parler de paix mondiale, se targuer de vertus comme quoi ils défendaient la paix. Donc se voir attribuer la responsabilité d’une guerre pourrait les faire réagir.

-Comment c’est chez vous ?

La question eut l’effet de surprendre Namor qui visiblement ne s’y attendait pas. Interloquer, il voyait dans le regard de la jeune femme la sincérité de sa demande, animée par une curiosité presque enfantine. Elle fit remarquée en plus que son foyer devait lui manquer. Oh oui, elle n’avait pas tort. Son monde lui manquait, vivre sur Terre ne lui plaisait pas, mais tout ce qu’il pouvait vouloir et ressentir, il avait apprit à le refouler pour le bien de son peuple, ou plutôt pour le bien des désirs de son roi. Pourtant, il ne pouvait s’empêcher de souffler intérieurement en y repensant, se demandant bien ce qu’il devait faire encore pour mérité le respect de son grand-père.

-Vaste. A la fois silencieux et pleins de vie. Vide et remplit de beauté. L’océan est un univers à part où on se sent libre. Remplit de trésors et d’endroits variés.

Il essayait de décrire au mieux, autrement que par la vision de celle d’un soldat.

-C’est chez moi, je suis habitué à le voir tous les jours, mais je ne peux m’empêcher de voir nos cités comme des joyaux de la mer, brillant de l’éclat qui est son peuple et que j’ai juré de protégé à jamais.


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MessageSujet: Re: let nature be our greatest teacher let nature be our greatest teacher EmptyVen 5 Avr 2024 - 17:22


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« Mais certaine personne peuvent ne pas apprécier et chercher à vous faire taire. » Cela pouvait presque sonner comme une mise-en-garde ou un conseil bienveillant mais, une main appuyée sur sa hanche arquée, Alison laisse un sourire amusé prendre place sur ses lèvres tandis qu’elle répond, d’une voix curieusement enjouée : « Personne n’a jamais réussi à me faire taire ! C’est un rêve pour certains mais… » Haussant ses épaules avec une petite fierté, elle attend quelques secondes avant de conclure sur le même ton : « C’est mission impossible. » Lèvres maquillées et serrées l’une contre l’autre dans un sourire joueur, la chanteuse penche son menton sur le côté en attendant la suite de la conversation, qui prend une tournure bien sérieuse : la pollution des océans et la menace que cela peut représenter pour les hommes de la surface. Autant dire que si le discours d’Alison est tempéré, essayant de nuancer les responsabilités de chacun dans cette affaire, Namor est bien moins diplomate sur la question. « Tout cela fut déjà vu avec votre président et plusieurs représentants de vos nations aussi. Des conditions ont étaient mises. » Voilà qui est rassurant, si bien qu’elle hoche son menton de haut en bas sans perdre son sourire. « Maintenant c’est à vous de sensibilisé vos élites s’ils préfèrent s’enrichir au milieu d’une guerre au risque de tout perdre, ou assurer la paix et leur survie. » C’est bon, elle l’a perdu, son sourire. Est-ce qu’il vient de sous-entendre que si les dirigeants n’obéissent pas, ce sont les pauvres gens qui ne peuvent rien faire qui vont en subir les conséquences ? Elle fronce lentement ses sourcils au-dessus de ses yeux verts, le considérant comme une brute épaisse qui n’a visiblement rien à envier aux riches dirigeants de ce monde : comme eux, il est incapable de voir plus loin que le bout de son nez. « Donc, les Atlants seront prêts à rentrer en guerre contre des gens qui n’ont aucune emprise sur ce qui se passe ? » Elle ne dira pas qu’ils sont cons mais elle le pense suffisamment fort pour qu’on puisse le lire sur son visage.

Agacée, elle hausse ses sourcils d’un air désabusé en fouillant dans sa pochette pour en sortir un baume à lèvres, qu’elle vient passer sur ses lippes sans interrompre le brun, quand bien même le trouve-t-elle beaucoup moins charmant tout à coup. « Votre adjoint est un imbécile. » Il n’est pas le seul, pense-t-elle en remettant son baume dans sa pochette, sans le regarder à présent. « Mais je suis certains qu’il n’aimerait être affiché comme celui qui, par égoïsme et flegme, à provoqué une guerre sanglante. » - « Il y a eu des guerres avant vous, et il y en aura après vous. Et vous savez ce qu’elles ont toutes en commun ? Ce sont toujours les petites personnes qui en souffrent le plus. Pas les élites, pas les politiciens, pas les plus fortunés. Ce sont toujours ceux qui ne peuvent pas influencer le court de l’histoire qui s’en retrouvent premières victimes. » Est-ce qu’il va comprendre que sa façon de pensée est mauvaise ? Elle en doute, puisque le schéma semble être bien installé dans son esprit, mais sait-on jamais qu’il ait un éclat de génie à son contact ; ce ne serait pas étonnant. À force de côtoyer une lumière on peut en devenir une, non ?

« Vaste. A la fois silencieux et pleins de vie. Vide et remplit de beauté. L’océan est un univers à part où on se sent libre. Remplit de trésors et d’endroits variés. » Il parle de son foyer avec une nostalgie qu’elle juge idéalisée, mais qu’elle ne condamne pas ; ce qu’elle condamne est leur façon de gérer cette situation. « C’est chez moi, je suis habitué à le voir tous les jours, mais je ne peux m’empêcher de voir nos cités comme des joyaux de la mer, brillant de l’éclat qui est son peuple et que j’ai juré de protégé à jamais. » - « C’est beau, une telle dévotion. » Non, ce n’est pas ironique : elle est sincère bien qu’elle soit toujours contrariée de son discours excessif. « Je vous dirai ce que j’en pense si, un jour, j’ai la chance d’y aller. » Autour d’eux, les employés commencent déjà à remballer les chaises installées sur la plage privatisée, si bien qu’elle se sent rapidement de trop dans le décor et qu’elle commence donc à s’éloigner de quelques pas, sans véritablement voir si son interlocuteur la suit ou non.
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MessageSujet: Re: let nature be our greatest teacher let nature be our greatest teacher EmptyJeu 25 Avr 2024 - 8:41

Elle confirmait être « une grande bouche » comme disait l’expression populaire. Que personne n’arrivait à la faire taire. Namor se posait bien des questions, enfin celle qu’il se posait ne faisaient que s’accentuer, car il était étonner que des gens importants à la surface n’arrivaient à faire taire une femme devant bien les déranger. Elle devait bénéficiée d’une bonne protection quelque part. Ou bien les « puissants » de ce monde étaient en réalité bien faibles et alors, le prince des mers se demandait si un paix avec ces gens était vraiment une bonne idée.
Parlant d’écologie, Namor rappela l’accord qui à était passé et des risques encourus si il n’était pas respecter. Quelque chose qui n’était pas au goût de la blonde qui fronça les sourcils comme si elle le défiait du regard.

-Donc, les Atlantes seront prêts à rentrer en guerre contre des gens qui n’ont aucune emprise sur ce qui se passe ?

Tout était sur le ton de l’accusation, même du jugement, une expression qui ne plaisait pas non plus au prince qui à son tour, fronçait les sourcils et levait le menton pour lui répondre.

-Si les gens sont innocents comme vous le dites, qu’ils le prouvent. Que je n’ai plus à voir des gens, des couples jeter leur détritus dans l’eau par feignantises. Qu’ils se fassent entendre et respecter par leurs élites. En tout cas, notre peuple ne se laissera pas faire, il exigera le droit d’exister et d’être respecter.

Une guerre ne visait jamais des gens particulier, il y avait toujours des dommages collatéraux et souvent, on s’en moquait de savoir si en face on avait un vrai responsable lié au conflit ou pas. Namor aimerait bien éviter des victimes innocentes, mais s’il devait choisir, il préférera toujours protéger son peuple au détriment d’un autre. Si ceux de la surface menaçait trop sur ceux des mers, il faudra bien agir. Elle semblait se maquiller pendant qu’il parle en plus.

- Il y a eu des guerres avant vous, et il y en aura après vous. Et vous savez ce qu’elles ont toutes en commun ? Ce sont toujours les petites personnes qui en souffrent le plus. Pas les élites, pas les politiciens, pas les plus fortunés. Ce sont toujours ceux qui ne peuvent pas influencer le court de l’histoire qui s’en retrouvent premières victimes.

Il ne pouvait pas dire qu’elle n’avait tort. Namor avait mener de nombreux combats au cours de sa vie pour savoir comment les choses se passaient. Les dirigeants envoyés comme des pions leurs armées mourir pendant que eux restaient à l’abris. Au moins, chez eux leurs chefs politiques partaient sur le champ de bataille. Enfin des fois. Ceci aidait le peuple à garder confiance en eux et apprécié. C’était peut-être pour ca que ceux de la surface ne respectaient pas tant que ca l’autorité. Leurs « présidents » ne prenaient pas part au combat, les élites ne faisaient pas parties de l’armée. Ils se contentaient de lancé des guerres à l’abris dans leur forts luxueux. Le prince atlante était étonné que le peuple de la surface ne se soit pas rebeller contre de tels chefs lâches.

-Ils restent donc bien planqués et vous, vous obéissez à leurs ordres malgré l’amertume que vous éprouvez à leur égard. Je parle des gens qui ne portent pas vos élites dans leur cœur et pourtant…

C’était un véritable autre monde à l’opposé de celui de Namor, le prince avait du mal à comprendre la logique derrière ce système. La population serait elle trop asservit à ce point ? Il ne pensait pas encourager une rébellion sur terre, mais avec ce qu’il apprenait chaque jour, le prince aurait aimé voir les humains regagner leur dignité en ne se laissant plus marcher dessus. Mais les choses devaient être plus compliqués que cela sans doute. Parlant de mondes qui s’opposaient, Alison questionna sur le sien, dont le prince donna un descriptif à la fois globale et symbolique, ce qui semblait impressionnait quelque part l’humaine.

- Je vous dirai ce que j’en pense si, un jour, j’ai la chance d’y aller. .
-Pour l’instant Atlantis reste fermer à la surface et ne s’ouvre qu’à de rares occasions. Si vous prouvez en être digne, alors peut-être en aurez-vous l’occasion.

Le peuple atlante restait méfiant vis-à-vis de la surface, donc voir certains habitants du haut venir chez eux risquait de mal se passer. Namor fut en quelque sorte, le seul atlante pouvant venir histoire d’établir la confiance entre les deux peuples. Et bientôt, ce qui était prévu de base, des humains auront le droit petit à petit de venir.
On enlevait autour d’eux les chaises, la scène montée se retira peu à peu pour laisser l’endroit tel qu’il était avant. Namor se disait que cette capacité de tout remettre en état était encourageant. Bon ce n’était qu’une simple scène avec des chaises qu’on enlevait, rien à voir avec ces usines en bords de mers, mais c’était encourageant quand même quelque part. Ce qu’il remarqua aussi, c’était la jeune femme qui commençait à s’éloignée.

-Vous devez partir ?


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MessageSujet: Re: let nature be our greatest teacher let nature be our greatest teacher EmptyMar 30 Avr 2024 - 18:04


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Samedi 08.02.25, plage de Staten Island
@Namor McKenzietenue


À sa façon de lever le menton et baisser le sourcil, Alison comprend que ses mots frappent et déplaisent celui dont elle ignore encore l’identité, mais inutile de croire que si l’information était portée à sa conscience, elle changerait de ton. Elle ne va pas jouer les hypocrites pour servir l’égo mal placé de sa Majesté, puisqu’elle n’est nullement là pour ménager qui que ce soit : elle n’a pas épargné l’adjoint au maire, dont elle ne va pas le faire avec le brun qui a une belle gueule mais qui prononce des mots bien laids. ’’Si les gens sont innocents comme vous le dites, qu’ils le prouvent.’’ mon dieu qu’il est con, pense-t-elle en roulant des yeux vers le bas, son menton se baissant tandis qu’elle appuie ses paumes sur ses proches hanches en peinant à croire ce qu’elle vient d’entendre. ’’Jusqu’à preuve du contraire, c’est à la justice de prouver la culpabilité et non l’inverse.’’ laisse-t-elle filer à travers son discours en passant la pointe de sa langue sur ses dents du haut, en redressant sa figure pour soutenir son regard. ’’Que je n’ai plus à voir des gens, des couples jeter leur détritus dans l’eau par feignantises. Qu’ils se fassent entendre et respecter par leurs élites. En tout cas, notre peuple ne se laissera pas faire, il exigera le droit d’exister et d’être respecter.’’ - ’’Sinon, vous pouvez l’exiger vous-mêmes à nos élites, comme vous dîtes. Au lieu de s’en prendre à ceux qui ne peuvent rien imposer à personne.’’ Est-elle vraiment en train de lui expliquer une chose aussi basique ? Tordant sa bouche colorée dans une grimace agacée, elle prend néanmoins le temps d’exploiter sa vision des choses en évoquant les victimes malheureuses et injustes qui tomberaient lors de cette bataille, des deux côtés : il ne semble pas vraiment pouvoir la contredire, et cela permet à la blonde de faire redescendre la nervosité qui s’était accumulée en elle au fil de leurs échanges. Du moins pour quelques minutes. ’’Ils restent donc bien planqués et vous, vous obéissez à leurs ordres malgré l’amertume que vous éprouvez à leur égard. Je parle des gens qui ne portent pas vos élites dans leur cœur et pourtant…’’ Elle arque l’un de ses sourcils en remuant légèrement son menton dans le vide, comme pour le questionner sur cette phrase laissée en suspend : et pourtant quoi ? semble-t-elle lui dire dans le silence de son regard, avant de croiser ses bras fins contre son buste féminin. ’’J’ignore comment est la politique chez vous mais ici, c’est ainsi. Il y a longtemps qu’on a arrêté de couper la tête de nos dirigeants quand ils nous déplaisent.’’ Arborant un minois malicieux, elle presse ses épaules vers l’intérieur de sa gorge en levant légèrement le menton pour le regarder, puisqu’il est quand même assez grand malgré le fait qu’elle porte des talons.

’’Pour l’instant Atlantis reste fermer à la surface et ne s’ouvre qu’à de rares occasions. Si vous prouvez en être digne, alors peut-être en aurez-vous l’occasion.’’ Joignant ses paumes l’une contre l’autre au niveau de la naissance de sa poitrine, elle prend un air tout à fait innocent en décrétant, avec un sourire charmeur : ’’J’en suis digne, bien sûr. J’irai peut-être faire un concert là-bas un jour, qui sait !’’ Agrandissant légèrement ses yeux sous cette idée saugrenue, elle se permet un léger rire avant de remettre la hanse de son sac sur son épaule, commençant à s’éloigner avant d’être interpellée par la voix du brun. ’’Vous devez partir ?’’ Pivotant sur ses talons en inclinant légèrement son menton sur le côté, elle considère l’homme d’un oeil curieux avant de refaire un pas en sa direction. ’’Je n’ai rien de prévu si c’est la question que vous me posez, seulement…’’ parvenant auprès de lui, elle lève son joli minois pour pouvoir le regarder, lui murmurant alors d’un ton amusé : ’’Ils sont en train de débarrasser la plage de nos sièges, je crois qu’on va finir par les gêner.’’ Non pas que ça la dérange : elle a l’habitude de déranger, principalement parce qu’elle parle sans aucun filtre. Ce qu’elle pense, elle le dit. C’est à prendre ou à laisser. ’’Mais on peut aller ailleurs, si vous le souhaitez.’’ Sinon, pourquoi la retenir ?
crédits/idontbeatgames



HEART LIKE ICE, SOUL LIKE FIRE he calls me the devil, I make him wanna sin every time I knock, he can't help but let me in ‘cause I’m hot like hell. does it burn when I'm not there ? and you're by yourself, am I the answer to your prayers ? I'm giving you that pleasure heaven and I'll give it to you hotter than hell.
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